Un vaccin pour guérir de Parkinson ? Thérapie génique: primeur pour le Parkinson. Un premier succès dans la maladie de Parkinson C’est la première étude qui montre que la thérapie génique peut être appliquée avec succès dans le cas de la maladie de Parkinson chez l'homme. Cette étude a réuni 45 patients parkinsoniens dont le traitement à la levodopa ne permettait plus d’avoir un contrôle suffisant de la maladie. Qu'est-ce que la thérapie génique? Le principe de la thérapie génique a été développé il y a une dizaine d’années déjà.
Elle recourt aux gènes pour traiter ou prévenir l’apparition d’une maladie. Les gènes sont introduits dans les cellules malades par l’entremise de virus rendus inoffensifs. Quelle thérapie génique dans la maladie de Parkinson? Dans cette étude prometteuse, le gène a été injecté directement dans la région cérébrale touchée par la maladie de Parkinson (noyau sous-thalamique). Résultats de la thérapie génique chez les parkinsoniens La migraine et la nausée figurent parmi les effets secondaires les plus fréquemment cités. En direct du système nerveux : la sérotonine. Après tous ces efforts vous sentez la chaleur vous envahir et vos muscles tirer ? Mais la douleur reste supportable. Encore une fois, votre système nerveux se mobilise pour faire face à tous les situations que vous imposez à votre organisme. L'effort gérer par le cerveau Comme tous les mammifères, nous avons une température constante.
Malgré l'effort physique elle est régulière et ce grâce, entre autres, à la sérotonine. Cet acide-aminé est un neurotransmetteur fondamental dans le système nerveux central. C'est grâce à lui que l'on peut s'adonner au sport sans que notre température corporelle ne se dérègle, ni ressentir trop de douleur. Les neurones présents au niveau de l'attache des muscles du dos à la colonne vertébrale - le raphé dorsal - sont connectés au système nerveux central.
Ces neurones spécialisés sont donc appelés "neurones sérotoninergiques". Une production aléatoire Des effets parfois génants La sérotonine produit différents effets sur notre organisme. Manque de sérotonine. Les néoneurones impliqués dans l’apprentissage et la mémorisation. Dans le cerveau adulte, les néoneurones contribuent à la formation de nouvelles cellules du cerveau et permettent la mise au point de neurones, regroupés en réseau, qui peuvent alors devenir efficaces. © Jonathan Clarke, Wellcome Images, Flickr, cc by nc nd 2.0 Les néoneurones impliqués dans l’apprentissage et la mémorisation - 2 Photos Des chercheurs de l'Institut Pasteur et du CNRS viennent d'identifier chez la souris le rôle des néoneurones formés par le cerveau adulte. En parvenant à les stimuler de manière sélective, les chercheurs montrent que ces neurones particuliers améliorent les capacités d'apprentissage et de mémorisation de tâches difficiles.
Cette nouvelle propriété de ces cellules cérébrales dans l'intégration d'informations complexes pourrait ouvrir des perspectives dans le traitement de certaines maladies neurodégénératives, comme Alzheimer. Cette publication est en ligne sur le site de la revue Nature Neuroscience. Des applications pour traiter les maladies neurologiques. Un million de CPU ARM pour simuler le cerveau. Des chercheurs anglais de l’Université de Southampton, Cambridge et Sheffield travaillent sur le projet SpiNNaker (Spiking Neural Network architecture ou architecture de réseau de neurones dopés en français) qui consiste à regrouper un million de processeurs ARM dans un noeud qui sera utilisé pour simuler 1 % du cerveau humain et mieux comprendre les fonctions des ses diverses régions.Chaque puce au coeur de ce système contient 18 processeurs ARM.
L’architecture a été conçue par l’Université de Manchester qui est aussi un des grands acteurs du projet. Les premiers exemplaires ont été livrés et testés. Les scientifiques espèrent que cette machine permettra de tester les hypothèses de psychologistes et neurologistes, de concevoir de nouveaux remèdes et de mieux comprendre le traitement d’informations par le cerveau. Pour cela, SpiNNaker va reproduire le fonctionnement des neurones. ALZHEIMER, PARKINSON: De puissants anticorps thérapeutiques contre les plaques amyloïdes.
ALZHEIMER, PARKINSON: De puissants anticorps thérapeutiques contre les plaques amyloïdes Actualité publiée le 05-12-2012 Ces chercheurs du Rensselaer Polytechnic Institute sont parvenus à développer des anticorps bien plus puissants que ceux du système immunitaire, capables, à faible concentration, d’empêcher la formation des protéines toxiques liés aux maladies d'Alzheimer et de Parkinson mais aussi au diabète de type 2. Il s'agit donc d'une étape importante vers la création de nouvelles molécules thérapeutiques pour prévenir ces maladies, une étape relayée dans l’édition du des Actes de l’Académie nationale des Sciences américaine (PNAS). Alors que l'apparition de ces maladies dévastatrices est associée à l'agrégation de protéines inappropriées en particules ou plaques nocives pour les cellules cérébrales (maladie d'Alzheimer et de Parkinson) et pancréatiques (diabète de type 2), ces anticorps, s’avèrent des armes prometteuses.
Réagissez à cette actu sur Santé Blog Neuro. Parkinson : les allèles qui favorisent la progression de la maladie. La maladie de Parkinson est l'une des maladies neurodégénératives les plus fréquentes, juste après la maladie d'Alzheimer. © Dr. Laughlin Daves, radpod Parkinson : les allèles qui favorisent la progression de la maladie - 3 Photos À lire, le dossier sur la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson reste encore très mystérieuse. Elle se caractérise entre autres par l’accumulation anormale d’une protéine, l’alpha-synucléine, au niveau d’une région cérébrale médiane appelée substantia nigra (ou substance noire).
Cette pathologie conduit à la mort précoce des neurones chargés de produire la dopamine, un neurotransmetteur indispensable aux régulations motrices. On savait que la génétique constituait l’un des facteurs de risque de développer la maladie, puisqu’environ 15 % des personnes atteintes ont également un proche affecté. Alpha-synucléine : le bon dosage contre Parkinson Cependant, l'allèle H1 joue lui aussi un rôle dans la vitesse de propagation de la maladie. A voir aussi sur Internet. Un traitement contre la maladie de Parkinson à l’essai - Sciences. Jeudi 07 juin 2012 à 11h45 Un premier test pour un vaccin thérapeutique contre la maladie de Parkinson a été lancé sur 32 patients d’une clinique viennoise. Il s’agit d’une "première mondiale", selon la société de biotechnologie autrichienne Affiris, spécialisée dans le développement des vaccins. "La première étude clinique au monde pour le développement d’un vaccin contre la maladie de Parkinson a été lancée", a indiqué la société Affiris dans un communiqué.
Le vaccin thérapeutique appelé PD01A s’attaque à l’alpha-synucléine, une protéine jouant un rôle majeur dans le développement et la progression de la maladie. Le PD01A pourrait alors "éduquer le système immunitaire pour qu’il génère des anticorps dirigés contre l’alpha-synucléine", a précisé Affiris. Selon les études médicales menées jusqu’à présent, la maladie de Parkinson est causée par le dépôt d’alpha-synucléine sous forme pathologique au niveau du cerveau. Le Vif.be. Perspectives thérapeutiques - France Parkinson. Accueil > La Recherche > Perspectives thérapeutiques Si les causes de la maladie de Parkinson sont encore mal connues, les avancées de la recherche ont permis une amélioration considérable des traitements, au cours des deux dernières décennies.
C'est le syndrome cérébral le mieux étudié en France, où la recherche sur la maladie est très active. Des pistes très prometteuses sont ainsi aujourd'hui ouvertes. En raison des difficultés que pose le cerveau à la recherche, la maladie de Parkinson bénéficie principalement des efforts de la recherche fondamentale ; cela signifie que le processus de recherche se déroule en deux temps : recherche visant à faire connaître tel mécanisme du cerveau, par exemple, puis application clinique des nouvelles connaissances dans le but de traiter les symptômes.
C'est la diversité des symptômes, dans la constitution des syndromes individuels, qui rend difficile une recherche appliquée directe. Deux champs principaux sont ainsi ouverts : Les biothérapies. Un vaccin contre la maladie de Parkinson en cours d'essai clinique. Un vaccin thérapeutique développé par la société de biotechnologie autrichienne Affiris AG, nommé PD01A, est en cours d’essai clinique de phase 1 pour le traitement de la maladie de Parkinson, ce qui constitue une première mondiale.
L'essai vise principalement à vérifier son innocuité et la tolérance. Le vaccin amène le système immunitaire à produire des anticorps dirigés contre la protéine alpha-synucléine qui s’accumule dans les neurones (cellules nerveuses), particulièrement ceux du locus niger qui produisent le neurotransmetteur dopamine, et cause leur mort. Les médicaments actuels visent la stimulation de la production de la dopamine et l'amélioration de la sensibilité des cellules nerveuses à ce neurotransmetteur.
Ils agissent sur les symptômes sans cibler le processus de la maladie lui-même. Maladie de Parkinson : le premier vaccin en phase clinique. La maladie de Parkinson est encore très méconnue. Elle est pourtant la deuxième maladie neurodégénérative en incidence, derrière la maladie d'Alzheimer. Elle reste aujourd'hui incurable. Le vaccin PD01A sera-t-il la solution ? © Heidi Cartwright, Wellcome Images, Flickr, cc by nc nd 2.0 Maladie de Parkinson : le premier vaccin en phase clinique - 2 Photos À lire, notre dossier sur la maladie de Parkinson Nom de code : PD01A.
Rappelons que cette maladie neurodégénérative se caractérise par la destruction progressive des cellules nerveuses de régions spécifiques du cerveau, comme le locus niger, entraînant chez le patient des difficultés dans l’exécution de ses mouvements, notamment du fait de forts tremblements. En effet, les traitements actuels se tournent quasi exclusivement vers des médicaments à base de DOPA afin de rétablir le système dopaminergique qui se trouve perturbé.
L'acteur canadien Michael J. Pour l’instant, l’essai clinique n’en est qu’à ses débuts. A voir aussi sur Internet. 08/06 > BE Autriche 146 > Vaccin thérapeutique contre Parkinson en essai clinique de phase 1. SantéVaccin thérapeutique contre Parkinson en essai clinique de phase 1 Le laboratoire privé de biotechnologie viennois " Affiris AG " a testé un vaccin thérapeutique contre la maladie de Parkinson - la deuxième maladie neuro-dégénérative [1] après celle d'Alzheimer - à 32 patients ayant acceptés de participer au test clinique de phase 1. Les symptômes de cette maladie sont principalement liés à la motricité : de forts tremblements, des gestes rigides, saccadés et incontrôlables, des raideurs musculaires aux bras et aux jambes, la lenteur des mouvements et des troubles de l'équilibre rendent difficile l'exécution des mouvements du patient. Environ 1% des plus de 60 ans seraient touchés.
C'est la première fois, à l'échelle du monde, qu'est testé un vaccin contre cette maladie. PD01A s'attaque donc a l'alpha-synucléine, protéine responsable de la maladie via son accumulation néfaste dans les neurones. Parkinson : 15 patients traités par thérapie génique. Des chercheurs français ont obtenus des résultats intéressants sur 12 malades traités en France et 3 au Royaume-uni. Quinze malades atteints d'une forme avancée de la maladie de Parkinson ont été traités en France et ailleurs en Europe par une thérapie génique, grâce aux recherches menées par l'équipe de Stéphane Palfi, professeur en neurochirurgie de l'hôpital Henri-Mondor à Créteil et chercheur CEA/Inserm.
Les résultats préliminaires de ce traitement ont été présentés lundi à Paris, lors du 20e congrès européen de thérapie génique et cellulaire qui vient de se terminer. Même si l'ensemble des données de ces essais thérapeutiques ne pourront être dévoilées totalement que dans trois mois environ, par leur publication dans une revue scientifique de référence, les premiers éléments divulgués lundi dans les grandes lignes, mais pas dans les détails, ouvrent de nouvelles perspectives pour l'avenir. La maladie de Parkinson concerne plus de 100.000 personnes en France. Glybera, la première thérapie génique autorisée en Europe. Par Janlou Chaput, Futura-Sciences Son nom est porteur d’espoir : thérapie génique . L’expression s’est popularisée depuis la fin des années 1990, quand des jeunes enfants souffrant d’ immunodéficience très sévère, les fameux bébés bulle, testaient un nouveau traitement censé les soigner.
En apportant un variant génétique fonctionnel pour prendre la place de ceux préexistants, on voulait redonner un système immunitaire efficace à ces jeunes patients pour qu’ils puissent mener une vie normale. Mais en 1999, un enfant américain décédait durant l’expérimentation tandis qu’en 2002, deux petits Français déclaraient une leucémie . La thérapie d’avenir que l’on évoquait systématiquement pour guérir toutes les maladies génétiques essuyait un premier échec . De telles mésaventures n’ont pas dissuadé la Chine d’autoriser en 2003 les premières thérapies géniques du monde. Cette pathologie touche une à deux personnes sur un million. Ce schéma explique le principe de la thérapie génique. Des cellules souches âgées ont retrouvé leur jeunesse d’antan. À partir de cellules souches, les scientifiques essaient de reconstituer des organes entiers en laboratoire. Si on cumule cette technologie à celle qui permet de rajeunir des cellules, on pourrait greffer à un patient âgé le cœur de ses 20 ans. © Eugene Russo, Plos One, cc by 2.5 Des cellules souches âgées ont retrouvé leur jeunesse d’antan - 2 Photos Nous avons l’âge de nos artères… et de nos autres organes.
Avec le temps qui passe, ceux-ci perdent en efficacité et se fragilisent. En leur redonnant toute leur fonctionnalité lorsqu’ils commencent à défaillir, on pourrait peut-être augmenter notre espérance de vie. La greffe se présente comme la solution idéale. Mais là encore, la technique n’est pas toujours au point. Des cellules souches inversent leur horloge cellulaire Des chercheurs canadiens de l’université de Toronto viennent d’emprunter une piste prometteuse. Retrouver le cœur de ses 20 ans A voir aussi sur Internet Sur le même sujet. [Faut-il en conclure qu’on peut manipuler les gens et les faire marcher au pas cadencé ? Certes, mais on les fait tellement marcher au pas cadencé par d’autres moyens »] Clinatec : cette discrète clinique où l’on implante des nanos dans le cerveau | Le si. Un centre de recherche d’un nouveau genre s’apprête à mener ses premières expériences.
Implants de nanotechnologies dans le cerveau, neuro-stimulation, « médecine régénérative », jusqu’à des technologies pouvant changer le comportement : telles seront les recherches menées à Clinatec, à Grenoble, sur des patients volontaires. Une certaine opacité entoure ce projet, résultat d’une alliance entre industrie nucléaire, « start-up » de nanotechnologies et neurochirurgiens. Comment seront encadrées ces recherches ? Quel contrôle sera exercé sur leurs applications commerciales et industrielles ? C’est une « clinique expérimentale » où l’on teste des dispositifs électroniques implantés dans le cerveau. Au sein de Clinatec, on parle interface cerveau-machine, neuro-stimulation profonde, nano-implants dans le crâne. Des implants cérébraux contre la dépression ou l’obésité Point commun de ces recherches : le développement de dispositifs médicaux implantés dans le corps humain.
L’union fait la force contre Parkinson. Parkinson - Actualités médicales et pharmaceutiques sur Parkinson. Grant de la Fondation Michael J. Fox. Maladie de Parkinson : contrôler les troubles du mouvement. Maladie de Parkinson : les avancées étonnantes de la science. Maladie de Parkinson : les chercheurs sur de nouvelles pistes. Maladie de Parkinson : vers un nouveau traitement ? Parkinson - Actualités médicales et pharmaceutiques sur Parkinson.