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Rythmes

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Réforme des rythmes scolaires : arrêtons de marcher sur la tête !, Points de vue. Ces communes d’Alsace où la réforme des rythmes scolaires, « ça marche » Tiens, une ville où les rythmes scolaires passent plutôt bien. Rythmes scolaires : "Maintenant les enfants vont à l'école tous les matins à la même heure, c'est plus régulier". Rythmes scolaires : une réforme cruciale, biologiquement - Education - Le Nouvel Observateur. Le blog de Marie-Aleth Grard · Impatience. Notre société nous entraîne à tout vouloir tout de suite. Les médias, les magasins ouverts à toute heure…, tout encourage cette course au temps.

Il en va de même pour les lois votées au Parlement. Parfois elles nous enthousiasment lorsque nous y retrouvons le fond du combat que nous portons. Ainsi pour la loi de refondation de l’école de juillet 2013 où apparaissent pour la première fois l’incitation à la pédagogie de la coopération qui permet la réussite de tous les enfants, la formation des enseignants à la connaissance de ceux qui ont la vie plus difficile, le changement de rythme scolaire : une demi-journée journée supplémentaire avec une ouverture à des ateliers proposés à tous les enfants – parfois le premier espace où certains pourront vivre quelque chose d’heureux à l’école. Les nouveaux rythmes scolaires sont mis en place depuis septembre dans 4000 villes. Dans la très grande majorité de celles-ci (plus de 90%), cela marche bien. Rythmes scolaires : je me sens gêné de trouver la réforme bonne.

Rythmes scolaires : "Un concentré de mauvaise foi et d’hypocrisie !" Christian Forestier est en colère. Cet inspecteur général honoraire de l’Education nationale, ancien recteur de l’académie de Versailles et coprésident du comité de pilotage de la Conférence nationale sur les rythmes scolaires (initiée par Luc Chatel, le prédécesseur de Vincent Peillon), s’indigne que les enseignants défilent jeudi 14 novembre contre le retour de la semaine de quatre jours et demi. Il s’en explique. Pas loin d’un enseignant sur quatre a fait grève aujourd’hui contre la réforme des rythmes scolaires. Qu’en pensez-vous ? - C’est un concentré de mauvaise foi et d’hypocrisie ! On ne peut pas être à la fois le pays où les enfants de l’école primaire ont le plus grand nombre d’heures de cours et où ces heures sont concentrées sur le plus petit nombre de jours de classe.

Sauf à imaginer que nos enfants sont génétiquement différents de ceux du reste du monde... Tout le monde était d’accord ? Mais que s’est-il passé ? Mais l’on entend aussi l’inquiétude des familles... Rythmes scolaires : je me sens gêné de trouver la réforme bonne. Rythmes scolaires : des raisons d’espérer - Ladamunio. Une fois de plus, contester semble plus facile que construire. On trouve tout de même des messages positifs sur cette réforme des rythmes scolaires, bien nécessaire mais pas suffisante pour redorer le blason de l’école. Ils émanent notamment des collectivités locales elles-mêmes et de leurs représentants, des enseignants aussi.

Ils soulignent l’importance de la volonté des différents partenaires, de la constance de leurs choix, et de la concertation indispensable. Ils témoignent de la nécessité de prendre de la hauteur par rapport au sujet et aux difficultés organisationnelles. L’engagement des collectivités locales Ainsi, dans les Landes, où 78% des communes ont appliqué la réforme à la rentrée 2013, l’engagement des élus est essentiel : il s’agit de mettre en œuvre collectivement la Refondation de l’Ecole. La constance de certains syndicats, favorables Certains syndicats d’enseignants restent également favorables à la réforme. Et un terrain qui s’organise Sur les syndicats : Avec la semaine de 4,5 jours à l'école, mes filles s'éclatent et moi, j'écris sur le frigo. Rentrée scolaire à l'école de Charly-Oradour, en Moselle, le 4 septembre 2013 (POL EMILE/SIPA). L'année dernière, avec les quatre jours d’école pour 24 heures par semaine voire 26 heures par semaine, tout la famille était épuisée à la maison.

Aujourd'hui, on souffle un peu et c'est plus cool depuis la rentrée des enfants. Je suis maman de deux filles : Salomé pour l’aînée et Manon pour la petite dernière. Elles fréquentent l'école Marie Talet à Angers, où les nouveaux rythmes scolaires ont été appliqués depuis septembre dernier. Même si le rythme de la maison n'a pas trop bougé par rapport à l'année dernière, en tant que maman, j'ai noté de réelles améliorations pour les enfants.

Des enfants plus concentrés De toutes manières, pour les cinq jours travaillés de la semaine, tout le monde est sur le pont dès 7h30. Le soir, c'est leçons, douche et dîner pour les enfants... Il faut savoir s'organiser Est-ce les nouveaux rythmes scolaires qui ont favorisé cette amélioration de notre quotidien ? Une réforme des rythmes scolaires à contretemps ? Le petit Louis et la petite Marie, qui allaient au Conservatoire le mercredi matin, puis au poney, ne sont pas contents d'avoir classe ce jour-là. Ils doivent se lever tôt, ce qui les prive de la soirée DVD de la veille. L'après-midi, ils ont maintenant musique et sport. Du coup, ils ratent le club d'anglais ! Leurs parents sont mécontents et le font savoir. D'autant que Louis a choisi de faire de la boxe, Marie de la diététique et du code de la route ! Des activités offertes par leur établissement parisien que jamais leurs parents n'auraient pu imaginer. Kévin non plus n'est pas content.

La maman de Kévin est ravie que son fils fasse des activités deux fois par semaine et ait école un matin de plus. La caricature est exagérée, mais la réalité est pourtant celle-là. Rythmes scolaires : interview exclusive ! Et bien voilà ! Maintenant, ça vous intéresse ! Quand on hurlait dans le vide en février, vous nous disiez que tout allait aller bien madame la Marquise et qu'on s'énervait pour rien.

Et maintenant, vous avez le catastrophisme facile. Rien de ne va, c'est la débandade. La couverture médiatique de la réforme des rythmes scolaires est une vaste blague. Avant, vous nous accusiez de crier au loup sans preuve, maintenant, vous voyez un désastre là où il n'en est rien. J'ai donc décidé de me recentrer sur l'essentiel : mes enfants. Voici donc l'interview de Poussin, 9 ans en CM1, et Poussinette, 7 ans, en CE1, dans une école publique du XIIème arrondissement parisien. 1.

Poussinette : Au début j'étais contente parce que je me disais qu'on allait plus travailler mais en fait ce n'était pas la réalité. Poussin : J'ai pas aimé parce que je me suis dit qu'on allait être plus fatigué et qu'on n'allait plus pouvoir faire la grasse mat' le mercredi. 2. Poussinette : je trouve que c'est très bien. 3. Rythmes scolaires :SEPT CONSTATS AFFLIGéS. Trop, c’est trop. La préparation d’une grève des enseignants le 14 novembre me conduit à faire ces constats qui dépassent ses enjeux et devraient interpeller parents et enseignants. Premier constat : Heureuse surprise ?

Quand Darcos a établi la semaine de 4 jours, il n’a été question ni de grève des enseignants, ni de manifestation des parents obligés de garder leurs enfants, ni d’exigence de dispositifs de garde ou d’animation. La sensibilité syndicale à « la fatigue », à « l’anxiété », au « déboussolement» des enfants, aux difficultés des parents qui travaillent et qui ne partent pas en week-end, ne s’est pas beaucoup exprimée. Deuxième constat : Capacité d’attention… La réforme Peillonpeut sembler dérisoire au regard des véritables besoins. Troisième constat : Fatigue… Dès le CP, journée de 6 heures et devoirs parfois considérables, en dépit de l’interdiction motivée datant de 1956 et réitérée régulièrement par des circulaires jusqu’en 1971. Quatrième constat : Inégalité… Pourquoi je ne serai pas en grève le 14 ! Tous les billets sur les rythmes Billet invité : Laurent Lançon Je défends l'ouverture de l'école sur le local (village, associations, habitants, parents...).

Je défends une école ouverte, pensée comme un lieu de rencontres, pierre angulaire d'un village, qui permettrait les échanges intergénérationnels, l'enrichissement mutuel (village/école; école village), laissant entrer la vie extérieure à l'école. Trop souvent, les écoles sont des lieux fermés et déconnectés avec les villages. Cette réforme ouvre à cela. Personne ne semble vouloir s'investir dans l'école et laisse cette tâche aux PE. On a une école qui cloisonne et segmente. Pour ce qui est de mon positionnement politique, il ne peut y avoir de creusements entre les communes riches et les communes pauvres. Pour ce qui est de ma position syndicale, il en va de même. Je me méfie énormément des discours réducteurs et les raccourcis faciles. Pour toutes ces raisons, je ne serai pas en grève le 14 novembre.

Je travaille 4 jours et demi et j'aime ça ! Ras le bol des gens qui critiquent sans savoir, ras le bol des cancans de personnes qui ne se bougent pas pour essayer de changer les choses, pour ouvrir l'école sur des perspectives ancrées dans la vraie vie...D'accord pour dire quand cela ne va pas, mais parler sans savoir encore NON ! Je suis directrice d'école d'une petite école rurale, d'environ 80 élèves, dont 55 en élémentaire. Notre école a adopté le passage à 4 jours et demi dès cette rentrée... et contrairement à ce qu'on nous dit dans les journaux, je ne perçois pas du tout ce changement comme une catastrophe.

Je crois fermement qu'il NOUS appartient, à nous communauté éducative, de nous approprier ces modifications, pour en faire l'école que nous voudrons ! Avec les moyens que nous avons (il est bien sûr, hors de question d'augmenter encore les impôts locaux des habitants), les bonnes volontés, compétences, possibilités et propositions de chacun, je suis sûre que nous pouvons organiser quelque chose de bien pour nos enfants ! 4,5 jours : idées à reproduire, pièges à éviter. Par Charivari dans Accueil le 30 Janvier 2014 à 09:10 (Je remonte cet article au cas où vous ne l'auriez pas vu) Ca y est, c'est parti, certaines écoles sont à 4,5 jours. C'est le cas là où j'habite, notamment. Quand je discute avec les parents ou bien les enseignants de ces villes "pionnières", je réalise que nous avons intérêt à partager ces expériences. Il y a des idées à prendre, et aussi des écueils que l'on pourra éviter. 1. 2. (*) ... et rien d'autre.

Je recopie ci-dessous toutes les idées qui sont dans les commentaires de cet article (ce sont vos commentaires, pas les miens : quand il y a écrit "je", c'est celui qui a écrit le commentaire qui parle, pas Charivari) : L'emploi du temps en classe Ca marche Avec mes CE1, j'ai Cap Maths je n'ai rien changé à ma programmation de maths sauf que le mercredi je peux faire les problèmes de la banque de problèmes (depuis qu'on n'avait plus le samedi, je n'arrivais jamais à les faire tous, ou alors au pas de course). Ca ne marche pas Et aussi : Réforme des temps scolaires: 10 questions que vous vous posez. Les rythmes scolaires, peut-on dépasser les lieux communs ? Dans le cadre de la refondation de l’école, la question des rythmes scolaires est mise en avant. Le nouveau ministre Vincent Peillon en a même fait un de ses chantiers prioritaires. « Je ne crois pas qu’il soit bon pour nos élèves d’avoir beaucoup moins de jours de classe que les autres, et (...) des journées très chargées. (...)

Je veux qu’il y ait une réforme profonde du temps scolaire.[1] » Le retour à la semaine de 4 jours et demi devrait être effectif à la rentrée 2013. Le ministre ne se dit pas non plus "hostile" à l’allongement de l’année scolaire sur les vacances d’été. De fait, les « chiffres » sont imparables : 144, c’est le nombre de jours de classe par an d’un écolier français. Elle représente l’année la plus courte en Europe ! 6h… c’est le nombre d’heures de classe par jour à l’école primaire.

De multiples commissions nationales se sont penchées sur cette question. De plus, s’interroge-t-on vraiment sur ce qu’on met toujours en avant : « l’heure de cours ».