Lieu des camps de migrants et leur nombre. Nombre de migrants à Paris. Pourquoi les centres d'hébergements n'accueillent que des hommes. Conditions de vie des centres. Migrants à Paris : la carte des 29 camps démantelés en un an et demi. Un campement de plus de 2 000 migrants évacué dans le nord de Paris. Ce campement, situé entre les stations de métro Jaurès et Stalingrad, grossissait depuis plusieurs semaines.
Soudanais, Afghans et Erythréens s’étaient installés dans une myriade de tentes et matelas entre l’avenue de Flandres et le quai de Jemmapes, dans les 10e et 19e arrondissements de Paris, dans des conditions sanitaires et humaines très dégradées. Ces derniers jours, un certain nombre de familles et d’enfants avaient rejoint le campement de fortune, surtout du côté « afghan ». « Certains étaient là depuis quelques semaines, d’autres sont arrivés la veille », explique au Monde Pierre Henry, porte-parole de l’association France Terre d’Asile, qui rappelle qu’il s’agit de « la 29e évacuation en un an » de campements situés dans l’Est parisien.
Paris : un centre d'accueil pour migrants ouvrira en octobre. Par Christophe Guirard , Avec AFP Le site parisien, installé "dans une ancienne friche SNCF" du nord de la capitale, sera réservé aux hommes seuls qui pourront y rester "de cinq à dix jours", a annoncé mardi par la maire de Paris Anne Hidalgo lors d'une conférence de presse détaillant ce projet lancé fin mai.
Le centre pour migrants ouvre ses portes à Paris. Exclusivement réservé aux hommes, ce centre d’accueil de 400 places est un lieu de transit : les réfugiés sont censés y rester de cinq à dix jours maximum LE MONDE | • Mis à jour le | Par Louise Couvelaire.
Malgré l’ouverture d’un centre à Paris, les « migrants se cachent » Alors qu’il reste de nombreuses places, le camp refuse des arrivants.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Louise Couvelaire Une semaine après son ouverture et alors que beaucoup craignaient une saturation immédiate, le centre humanitaire parisien de premier accueil pour les migrants situé boulevard Ney (18e arrondissement) est loin d’afficher complet : 220 lits occupés sur 400 disponibles et 80 personnes orientées ailleurs – familles, femmes, mineurs isolés… –, selon les derniers chiffres communiqués par Emmaüs Solidarité, l’association qui gère les lieux, mercredi 16 novembre. Ce lendemain matin, pourtant, une centaine d’entre eux fait la queue, avant même l’ouverture du centre à 8 heures. Certains sont là depuis 5 heures. A l’entrée, un jeune homme de l’association Utopia56 leur sert du café et commente : « Cet endroit est totalement sous-dimensionné. Sous-dimensionné mais à moitié vide ? Devenir invisibles.
Paris : à Stalingrad, les migrants continuent d’arriver - le Parisien. Quatre ouvriers s’activent avenue de Flandre (XIXe).
Depuis le milieu de la matinée de ce lundi, ils installent un barriérage sur le terre-plein où jusqu’à vendredi dernier et l’évacuation du campement de Stalingrad, les migrants s’entassaient. Armé de son téléphone, Nikita filme les va-et-vient du chariot élévateur. « Le responsable m’a dit que c’était pour un événement sportif… On sait très bien que c’est pour empêcher les migrants de se réinstaller », peste cet activiste et soutien des réfugiés. Tous attendent l’ouverture du camp de la Chapelle (XVIIIe) dans les prochains jours.
D’après ses estimations, ils seraient environ 400 dans le quartier ce lundi matin. Un chiffre nuancé par un riverain, membre du collectif Stalingrad. « Il n’y a pas eu de vague d’arrivées. Migrants: une prime de 2.500 euros pour rentrer chez eux - L'Express Styles. Le gouvernement a temporairement décidé "de porter à 2.500 euros le montant maximum d'aide au retour" pour les étrangers (hors Union européenne ou pays dispensé de visas) acceptant de rentrer volontairement dans leur pays, a indiqué Didier Leschi, le directeur général de l'Ofii (Office français d'immigration et d'intégration).
Cela représente une augmentation conséquente du dispositif en vigueur, puisque l'allocation de base de 650 euros, qui avait déjà été augmentée une première fois de 350 euros en octobre, est désormais majorée de 1.850 euros, précise un arrêté du ministère de l'Intérieur daté de début novembre. Il s'agit toutefois d'une action ponctuelle, concernant uniquement le demandes faites "avant le 31 décembre", selon le texte. Dans le sillage du démantèlement du bidonville calaisien, l'idée est d'"augmenter significativement le nombre de départs volontaires aidés", a précisé M. "Selon les pays, cela peut les aider à monter une petite entreprise", a assuré M. Paris ouvrira mi-octobre son premier centre d'accueil pour réfugiés. VIDÉO - La maire Anne Hidalgo a détaillé mardi le projet «Camp de réfugiés» dans la capitale, comprenant deux sites distincts.
Le premier, situé dans le nord de Paris, ouvrira dans les prochaines semaines. Le second, à Ivry-sur-Seine, fin 2016. Mettre fin aux camps informels. Paris : mais pourquoi les migrants reviennent-ils toujours s'installer à Stalingrad (et pas dans le 16e) ? - LCI. Centre pour migrants de Paris : les nouveaux chiffres de la préfecture d’Ile-de-France. « Le Monde » avait fait état d’un faible taux de remplissage de ce centre ; la préfecture a tenu à s’expliquer en communiquant de nouveaux chiffres.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Louise Couvelaire De 220 lits occupés, mercredi, le taux de remplissage est désormais passé à près de 400, son maximum, vendredi 18 novembre. Après la publication de notre article sur le centre d’accueil de première urgence pour migrants, à Paris, dans lequel nous faisions état d’une mauvaise organisation et d’une occupation en deçà des besoins réels, la préfecture d’Ile-de-France a souhaité nous communiquer les derniers chiffres sur ce lieu, ouvert le 10 novembre boulevard Ney (18e arrondissement de Paris). Depuis cette date, 800 personnes auraient été accueillies et 529, hébergées. Ce centre est exclusivement réservé aux hommes seuls arrivés récemment.
Paris: 850 migrants évacués hébergés en banlieue. Devant l’ancienne maison de retraite de Sarcelles, les bus ont défilé toute la journée.
Emmitouflés dans des doudounes, le regard fatigué, 850 migrants évacués d’un campement du nord-est parisien en sont descendus pour être installés quelques jours dans ce bâtiment. Diouldé, un Guinéen de 24 ans, venait de passer sa troisième nuit dehors quand il est monté tôt ce matin dans un bus à destination de cette ville du Val-d’Oise. Sur les quelque 3.800 migrants évacués vendredi du campement de Stalingrad à Paris, plus gros bidonville de France depuis la fin de la «Jungle» de Calais, 1.200 ont été conduits dans ce département, où trois structures d’hébergement temporaire ont été ouvertes.
«On a fait une ligne, on est montés dans le bus et on est arrivés ici», raconte Diouldé. Ce soir, il dormira sur un lit de camp, serré dans une petite chambre avec deux autres migrants qu’il ne connait pas. Le centre d’accueil de migrants ouvre ses portes à Paris. Migrants: le centre d'accueil humanitaire parisien ouvrira mi-octobre - le Parisien. Annoncé au printemps, le centre humanitaire pour migrants prévu à Paris ouvrira finalement mi-octobre près de la porte de la Chapelle, une alternative aux campements indignes qui continuent de se reconstituer dans la capitale.
"Nous avons fait le choix d'une double localisation", a déclaré la maire de Paris Anne Hidalgo, en détaillant mardi son projet dont l'annonce avait fait grand bruit fin mai.Le site parisien, installé "dans une ancienne friche SNCF" du nord de la capitale, ouvrira "autour de la mi-octobre" et sera réservé aux hommes seuls qui pourront y rester "de cinq à dix jours". Accueil des migrants, quelles conditions d'hébergement ?
Migrants : les forces de l’ordre mènent une « opération de contrôle » dans un camp à Paris. Depuis plusieurs jours, le nombre de tentes s’est multiplié dans le « triangle des migrants » situé dans le XIXe arrondissement, dans le nord de Paris. Une « opération de contrôle » des migrants installés sur l’avenue de Flandres, où se trouve un des importants campements de fortune du nord-est de Paris, a été menée par les forces de l’ordre vendredi 28 octobre, selon une source policière.
Une douzaine de cars de CRS étaient présents, a constaté un journaliste de l’Agence France-Presse. Des migrants installés sur les trottoirs de cette avenue, où se reconstituent à intervalles réguliers des campements de fortune, ont dû replier leurs tentes. Interrogés, plusieurs d’entre eux ont confié attendre avec impatience une évacuation policière qui leur permettrait de « dormir au chaud » au moins quelques jours. Migrants, comment vont fonctionner les centres d’hébergement - La Croix. La commission des lois du Sénat a demandé au ministre de l’intérieur des précisions sur l’objectif de créer 9 000 places d’hébergement afin de désengorger Calais. Les sénateurs s’inquiètent notamment de charges induites trop lourdes pour les petites communes. Que sont les centres d’accueil et d’orientation ? Les sénateurs Philippe Bas et François-Noël Buffet (LR) veulent vérifier, en commission des lois, « la réalité des garanties et des conditions prévues par le gouvernement afin de ne pas faire peser de nouvelles obligations sur les communes ».
Ils veulent notamment s’assurer que « l’État prendra lui-même en charge l’ensemble des contraintes de sécurité et les conditions d’hygiène, d’hébergement et d’éducation des migrants ». Sur le plan juridique, les Centres d’accueil et d’orientation (CAO) sont des hébergements d’urgence « sous système déclaratif » des préfets. > Lire L’accueil des réfugiés peut-il passer outre l’avis des maires ? Comment fonctionneront ces centres d’hébergement ?