Publipostage et PJ. Avertissements : La fonction Publipostage avec pièce(s) jointe(s) n'est pas prévue dans Word.
Cette solution est une solution purement Outlook qui a été imaginée par Oliv' et qui ne fonctionne qu'avec le client messagerie Outlook de la suite Office (et non pas Outlook en ligne...). J'ai décidé d'écrire une procédure détaillée ici suite aux nombreuses demandes faites sur le forum Word. Attention, il ne s’agit pas d’un cours sur le publipostage. Pour utiliser cette procédure, vous devez déjà savoir utiliser le publipostage avec Word. C'est donc une solution qui passe par une macro Outlook. Affichez l’éditeur de VB Outlook (touche Alt + F11). Copiez-collez, dans la fenêtre du code, le code ci-dessous. Code à coller dans ThisOutlookSession Toujours dans le Visual Basic Editor d’Outlook, insérez un nouveau module (menu Insertion, Module. Dans ce nouveau module, copiez-collez le code ci-dessous : Code à coller dans Module1 Une boîte de dialogue s’affiche vous proposant d’ajouter un autre fichier.
J’ai des choses à cacher, même que c’est la loi. Lourd est le parpaing de la réalité sur la tartelette aux fraises de nos illusions.
Ce n’est pas de moi, mais de Boulet, un dessinateur de génie qui n’est pas étranger à ce billet de (mauvaise) humeur. La phrase est fort à-propos quand on parle de sécurité et de protection des données à caractère personnel. Ma tartelette aux fraises, c’est l’idée que toute personne fait preuve de bon sens et approche de façon critique ses usages numériques. Non, on ne met pas ses mots de passe dans un fichier Excel sauvegardé sur le Bureau. Non, on ne colle pas non plus les mots de passe sur l’écran de l’ordinateur. Connaître nos droits et les faire respecter est la base d’une société saine. Le lourd parpaing de la réalité est la Fnac qui vend des carnets papier pour que les “shoppeuses” (sic) y conservent leurs mots de passe. Mais le plus lourd des parpaings sur la tartelette aux fraises de mes illusions, c’est la réalisation qu’une majorité de personnes ignore totalement ses droits. Dura lex, sed lex. [Comptabilité, Fiscal, social, entreprise] L'actualité actuEL EC : Les auto-entrepreneurs passent à la caisse mais pas au Fec.
"La mesure est disproportionnée".
Dans les colonnes du quotidien Les Echos, François Hurel, président de l’union des auto-entrepreneurs (UAE), regrette que le système de caisse destiné à lutter contre la fraude à la TVA s’imposera aux auto-entrepreneurs — nous utilisons volontairement le terme auto-entrepreneur dans cet article (lire nos explications ci-dessous). En effet, au 1er janvier 2018, toute personne assujettie à la TVA doit "lorsqu'elle enregistre les règlements de ses clients au moyen d'un logiciel de comptabilité ou de gestion ou d'un système de caisse, utiliser un logiciel ou un système satisfaisant à des conditions d'inaltérabilité, de sécurisation, de conservation et d'archivage des données", impose l'article 286 du CGI (à noter que le gouvernement a annoncé, après la rédaction de cet article, vouloir resserrer cette obligation) .
Exceptions Toutefois, les auto-entrepreneurs ne seront pas soumis à cette obligation dans certaines situations. Code de la consommation - Article L216-2. En cas de manquement du professionnel à son obligation de livraison du bien ou de fourniture du service à la date ou à l'expiration du délai prévus au premier alinéa de l'article L. 216-1 ou, à défaut, au plus tard trente jours après la conclusion du contrat, le consommateur peut résoudre le contrat, par lettre recommandée avec demande d'avis de réception ou par un écrit sur un autre support durable, si, après avoir enjoint, selon les mêmes modalités, le professionnel d'effectuer la livraison ou de fournir le service dans un délai supplémentaire raisonnable, ce dernier ne s'est pas exécuté dans ce délai.
Le contrat est considéré comme résolu à la réception par le professionnel de la lettre ou de l'écrit l'informant de cette résolution, à moins que le professionnel ne se soit exécuté entre-temps. Confirmation d'achat sur Pièces Rechange Viaweb. 32011L0083. Du 25 octobre 2011 relative aux droits des consommateurs, modifiant la directive 93/13/CEE du Conseil et la directive 1999/44/CE du Parlement européen et du Conseil et abrogeant la directive 85/577/CEE du Conseil et la directive 97/7/CE du Parlement européen et du Conseil (Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE) vu le traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, et notamment son article 114, vu la proposition de la Commission européenne, vu l’avis du Comité économique et social européen (1), vu l’avis du Comité des régions (2), statuant conformément à la procédure législative ordinaire (3), considérant ce qui suit: