La broderie contemplative de Jazmín Berakha. Depuis quelques temps déjà, l’artiste textile argentine Jazmín Berakha inonde les blogs artistiques de ses charmantes et inspirantes créations.
Bien qu’elle touche à différents médias, l’artiste s’est donné comme challenge d’explorer l’art contemporain munie, non pas d’un peigne fin, mais d’une aiguille ! A regarder ses créations, on comprend vite que cette artiste est fascinée par les imprimés et des motifs textiles. Qu’il s’agisse d’illustrations abstraites laissant deviner un patchwork de tissus ou encore de portraits de femmes en pleine contemplation, le constat est sans appel : Jazmín Berakha est une férue de broderie qui vit dans un monde on ne peut moins graphique et coloré !
D’après ses propres mots, son « travail consiste à explorer les possibilités du textile dans l’art contemporain ». C’est donc pour ce faire (et pour nous ravir) qu’elle brode de fins et élégants motifs aux couleurs éclatantes. Contemplatif je le veux ! As-tu déjà pensé à monter ta ligne de vêtements ? J'aime : Table à broder Filo par Sofia Souidi - DESIGN DECO. Le design allie l’utile à l’agréable à la Biennale de Saint-Etienne. La 8e édition de la Biennale internationale du design de Saint-Etienne a ouvert ses portes hier, jeudi 14 mars.
Un évènement aux multiples propositions, orientées vers L’empathie ou l’expérience de l’autre. Voici une petite sélection des objets signés par des designers en phase avec les besoins de notre société contemporaine. Berg Cloud, Little Printer, 2012 ©Berg Cloud L’art du design dans tout ce qu’il a de plus de novateur peut se permettre de jouer avec les matières, les volumes, les couleurs, les formes, pour créer des objets du quotidien qui marqueront les esprits et feront la différence, avec un ton humoristique assumé. Vous voulez rire ? Ionna Vautrin & Guillaume Delvigne, Panier percé, 2005. Point de croix, broderie, canevas… Des pratiques traditionnellement réservées aux femmes mais que choisissent de détourner Ionna Vautrin et Guillaume Delvigne, pour lesquels le design n’a pas de genre. Campagne de publicité pour le jean traité au laser © Marithé + François Girbaud.
Point de croix XXL. Diplômée de la très prestigieuse école de design belge de la Cambre, Charlotte Lancelot a travaillé 2 ans dans le studio d’architecture Alain Berteau avant de créer son propre studio.
Sa démarche artistique est double, à la fois artistique et fonctionnelle. En effet, selon Charlotte Lancelot, on achète un objet pour répondre à un besoin, mais ce choix est guidé par des critères subjectifs parce qu’ils nous séduisent, nous touchent. Pour Charlotte Lancelot, les objets nous parlent. Son projet Canevas Collection vise à créer un bien-être émotionnel par une approche ludique et poétique. Graphisme – BASSE DEF Blog. Vaka Valo nous fait prendre du recul sur la pornographie.
Dans cette série intitulée « Dot Gain », il utilise des effets de trame, des points qui vus à une certaine distance font apparaître une seconde image. Plus de réalisations sur le site web de Vaka Valo. Mark Bradford. Né en 1961 à Los Angeles, Mark Bradford est un artiste plasticien qui propose une pratique plastique oscillant entre peinture et collage, entre abstraction et expressionnisme.
Dans ses « toiles-collages », il utilise la peinture tout en intégrant des matériaux issus de la vie quotidienne et de l’environnement urbain – papiers ou tissus, lambeaux d’affiches publicitaires, cordes, matières synthétiques, grillages ou fils de fer – souvent détournés de leur usage premier. Cette pratique propose une hybridation frappante entre un art volontiers abstrait et conceptuel et la culture populaire. Il mène en parallèle une activité de styliste, celle-ci nourrissant de l’intérieur son œuvre plastique (les chutes de tissus lui servent par exemple pour ses toiles) tout comme cette dernière alimente en retour la grammaire de son style. © Mark Bradford © Mark Bradford, Disappear like a Dope Fiend, Mixed media, collage on canevas (2006) © Mark Bradford, When we ride, Mixed media, collage on canevas (2006). A Ne Pas Manquer. Cette année plus que jamais, vos créations pâtissières lient harmonieusement le respect de la magie traditionnelle de Noël à beaucoup d’audace et de singularité.
Comment parvenez-vous à trouver cet équilibre ? Loïc Cabréro, Chef Pâtissier : Comme au Bon Marché, nous avons été nourris par une histoire : le Père Noël s’est installé Rive Gauche et y a établi ses quartiers – en posant notamment son atelier dans nos laboratoires… Pauline Arino, Chargée de Projets Identité Visuelle : Partant de ce « constat », nous avons décliné l’iconographie forte, l’esprit et les couleurs de la scénographie imaginés cette année pour imprégner Le Bon Marché et La Grande Epicerie du même univers de Noël Rive Gauche.
Loïc : Noël symbolise avant tout l’enfance, les jouets et une féérie certaine. Pauline : Nous nous inspirons aussi de notre propre histoire ! Marine Labbé, Pâtissière : C’est par exemple une sculpture de feuillage en or qui nous a inspiré les petites feuilles de la couronne ! Pauline : Absolument. Panier Percé Ratatouille.