Tous les articles scientifiques européens en libre accès à partir de 2020. Communiqué de presse | 27-05-2016 | 14:05 En 2020, tous les articles scientifiques seront librement accessibles en Europe.
Les États membres entendent ainsi optimiser la réutilisation des données de la recherche. Ils élaborent également un visa valable dans toute l’UE pour les start-up. Par ailleurs, la nouvelle réglementation européenne devra désormais, conformément au principe d’innovation, tenir compte de son impact sur cette dernière. Ce sont là les principaux résultats du Conseil Compétitivité qui s’est tenu à Bruxelles le 27 mai.
Partage libre des connaissances. Une introduction à l'Open access. Changement de politique d’Elsevier. SHERPA/RoMEO - Search - Publisher copyright policies & self-archiving. World Library of Science. Position des sociétés savantes face au Libre Accès. Pour une utilisation critique des réseaux sociaux académiques. 14 février 2014 L’information n’a pas encore reçu beaucoup d’échos en France : et pourtant cela fait plusieurs mois maintenant qu’Elsevier demande régulièrement le retrait d’articles déposés par leurs auteurs sur le réseau social Academia.
Si on le regarde sous l’angle de l’open access, cet exemple souligne incontestablement l’« injustice fondamentale de l’actuel écosystème de la communication académique » (John Dupuis). Mais il met également en lumière l’arrivée à maturité des réseaux sociaux académiques : à l’heure où Elsevier peine à se créer une place sur les outils 2.0 (échec de 2collab en 2011, rachat de Mendeley en 2013), il n’est pas étonnant que celui-ci attaque les nouveaux challengers qui se développent auprès des communautés académiques, après avoir laissé faire. Réseaux sociaux académiques ? Ces réseaux se développent progressivement dans le paysage académique français. Parmi tous ces réseaux, trois sortent plus particulièrement du lot :
Le mini-glossaire de l’Open Access. Microglossaire des archives ouvertes. À numéro spécial, livraison terminologique spéciale !
L’équipe qui travaille sur la terminologie du livre numérique et de ses métiers est fière de vous présenter : le Glossaire des archives ouvertes de la Fédération Wallonie-Bruxelles (ou glossaire de l’Open Access si vous y tenez, mais nous le préférons encore et toujours en français[1]). Vous trouverez réunies dans ce glossaire 14 notions[2] qui se situent au carrefour du domaine des archives ouvertes et du livre numérique et que l’équipe de recherche a jugées clés. Sensiblement différente de celle qui organise les données terminologiques dans la banque BelTerme, la fiche terminologique que nous vous proposons pour ce microglossaire présente les catégories descriptives suivantes : Avant de vous laisser enfin seul-e avec ce glossaire, deux ou trois remarques encore…
L’accès libre dans les bibliothèques universitaires belges. François Renaville travaille pour les Bibliothèques de l’Université de Liège et la Bibliothèque Interuniversitaire de la Communauté française de Belgique (BICfB).
C’est un spécialiste des questions liées aux bibliothèques académiques et l’auteur du blog : bibliothethique.net. Le dossier de Lettres Numérique sur l’open access était l’occasion de lui demander comment l’accès libre se développait dans les bibliothèques belges. Lettres Numériques : Comment marche l’accès libre dans les bibliothèques ? François Renaville : Il y a deux types de diffusion en open access : la Voie d’Or et la Voie Verte.
C’est une distinction importante. La Voie d’Or, c’est la publication dans des revues directement en open access. L.N. : C’est le principe de base. F. Et parallèle à la Voie Verte, la Voie d’Or permet de publier directement en open access. La majorité de ces revues sont peer reviewed, ce qui garantit la validité scientifique selon le principe du double aveugle. F. F. F. L’Open Access analysé du point de vue des éditeurs. Pour aborder le complexe débat de l’open access, nous avons souhaité donner la parole à plusieurs acteurs concernés par cette problématique.
Benoit Dubois, en sa qualité de président de l’association des éditeurs belges et du groupe Averbode, a accepté de s’exprimer sur ce débat et aborder également le programme Opening Up Education. L’Open Access à l’ULg, un modèle qui fait ses preuves. L’open access ou le « libre accès » recouvre une réalité particulière et souvent peu connue du grand public lorsque l’on aborde les productions liées à la recherche scientifique.
Pour en savoir un peu plus sur le sujet, nous avons interviewé Paul Thirion, directeur général du réseau des bibliothèques de l’Université de Liège. L’Université de Liège, par sa politique de dépôt institutionnel ambitieuse et ses prises de positions engagées, a réussi un pari qui pouvait sembler un peu fou il y a une dizaine d’années seulement. En effet, aujourd’hui, l’open access à l’Université de Liège, c’est principalement sur ORBI que cela se passe avec plus de 100 000 références de publications d’auteurs ULg dont 61.000 avec le texte intégral associé. C’est également 2 millions de téléchargements des textes intégraux réalisés à partir du monde entier avec une moyenne de 50 téléchargements par document. Open Access : kesako ? Né à la fin des années 1990, le mouvement pour l’open access milite pour un accès libre et gratuit à l’information scientifique.
Quelques fondamentaux pour comprendre le mouvement de l’open access et ses enjeux. Petite définition « Par « accès libre » à [la] littérature [scientifique], nous entendons sa mise à disposition gratuite sur l’Internet public, permettant à tout un chacun de lire, télécharger, copier, transmettre, imprimer, chercher ou faire un lien vers le texte intégral de ces articles, les disséquer pour les indexer, s’en servir de données pour un logiciel, ou s’en servir à toute autre fin légale, sans barrière financière, légale ou technique autre que celles indissociables de l’accès et l’utilisation d’Internet. La seule contrainte sur la reproduction et la distribution, et le seul rôle du copyright dans ce domaine devrait être de garantir aux auteurs un contrôle sur l’intégrité de leurs travaux et le droit à être correctement reconnus et cités. »