Paye Ta Shnek - Parce qu'ils commencent à être nombreux,... Les médias sont-ils sexistes ? (Acrimed) Les attributs du pouvoir et leur confiscation aux femmes. Le genre et l’espace. Partie 1 : l’occupation de l’espace Partie 2 : le temps de parole et le choix des sujets de conversation Partie 3 : l’expression de la colère Dans cette nouvelle série d’articles, nous nous intéresserons à différents comportements qui sont typiques des dominants (occuper beaucoup d’espace, avoir beaucoup de temps de parole et parler fort, exprimer certaines émotions comme la colère…).
Nous verrons également qu’il est considéré comme peu convenable pour une femme de les arborer. Brigitte Laloupe aborde ce thème dans son livre « Pourquoi les femmes gagnent-elles moins que les hommes ». Occuper beaucoup d’espace : un attribut du dominant Les dominants ont droit à plus d’espace1. Plus précisément, l’espace personnel des dominants est plus grand2. En corrélation avec un plus grand espace personnel, les dominants ont tendance à occuper plus d’espace avec leur corps. L’utilisation de l’espace est donc un très bon indicateur de statut social.
Les espaces privés des hommes public. En conclusion 1. 2. Féminisation de la langue: quelques réflexions théoriques et pratiques. Les personnes lisant régulièrement ce blog auront sûrement remarqué que j’essaie au maximum d’éviter d’employer le masculin universel (j’explique ci-dessous ce que j’entends par là).
Je voudrais tenter d’expliquer pourquoi (c’est le côté théorique) et surtout comment, par quelques réflexions liées à mon parcours sur cette question et à ma pratique comme féministe, blogueuse, mais aussi comme prof de français langue étrangère. Cette pratique est en évolution constante. Alors que j’étais d’abord extrêmement réticente, je me suis habituée à ces graphies à force de lectures et d’échanges militants, et j’aurais du mal aujourd’hui à faire marche arrière. Brain Sees Men as Whole, Women as Parts. A glimpse at the magazine rack in any supermarket checkout line will tell you that women are frequently the focus of sexual objectification.
Now, new research finds that the brain actually processes images of women differently than those of men, contributing to this trend. Women are more likely to be picked apart by the brain and seen as parts rather than a whole, according to research published online June 29 in the European Journal of Social Psychology. Men, on the other hand, are processed as a whole rather than the sum of their parts. "Everyday, ordinary women are being reduced to their sexual body parts," said study author Sarah Gervais, a psychologist at the University of Nebraska, Lincoln.
"This isn't just something that supermodels or porn stars have to deal with. " [6 Gender Myths, Busted] Objectification hurts Numerous studies have found that feeling objectified is bad for women. To find out, the researchers focused on two types of mental processing, global and local. Les inégalités de salaires hommes-femmes : état des lieux.
27 mai 2016 - Tous temps de travail confondus, les hommes gagnent 23 % de plus que les femmes.
Près de 11 % des écarts de salaires entre les deux sexes sont inexpliqués et relèvent d’une discrimination « pure ». Le salaire mensuel net moyen des hommes, pour un poste à temps plein, est de 2 410 euros en 2014, celui des femmes de 1 962 euros, soit un écart de 448 euros, presque un demi-smic. Les hommes perçoivent donc, en moyenne et en équivalent temps plein [1], un salaire supérieur de 22,8 % à celui des femmes (voir plus bas notre encadré méthodologique sur la façon de mesurer l’écart). Ou, ce qui revient au même, les femmes touchent en moyenne 81,4 % du salaire des hommes (1 962 divisé par 2 410), ou ont un salaire inférieur de 18,6 %. Plus on progresse dans l’échelle des salaires, plus l’écart entre les femmes et les hommes est important. Salaires en équivalent temps plein. Les écarts dépendent aussi de la catégorie sociale Salaires en équivalent temps plein.