REVEL-MEMOIRES PROTESTANTES (1600-1685) I - La composition sociale : - Les notables. - Le petit peuple.
Il - Le fonctionnement de la communauté : - Les protestants dans la cité : le consulat, l'hôpital. . - Les protestants dans l'église : école, consistoire. III - Comportements culturels et religieux : - Baptêmes et mariages. - L'instruction fille d'hérésie ? IV -1685 : - Le temps de la révocation. Ce sont des registres pastoraux datant du XVIIème siècle qui nous ont permis de reconstituer cette communauté protestante qui, forte d'environ 1200 personnes, vécut à Revel pendant plus d'un siècle, avant que l'Edit de Révocation (oct.1685) ne déclare « hors-la-loi » la Réforme et ses disciples. Ces sources peuvent être considérées comme une aubaine car elles ont échappé non seulement au temps, mais aussi à la haine et aux intrigues administratives d'un pouvoir royal qui dès 1683 avait intérêt à prouver qu'il n'y avait plus de Religionnaires (1) dans le royaume de France.
Car être bourgeois, ce fut d'abord cela : vivre dans la cité. RICHARD SCOFFIER: Les quatre concepts fondamentaux de l'architecture contemporaine. Jusqu'au 30 mars 2013.
Espace Mendès France. Conférence: 29/01 - 18h30 Le livre de Richard Scoer, "Les quatre concepts fondamentaux de l'architecture contemporaine", s'appuie sur l'analyse des démarches architecturales emblématiques de ces 30 dernières années pour isoler les lignes de fracture qui séparent l'architecture d'aujourd'hui de celle d'hier. À la suite de la conférence présentant cet ouvrage le 17 novembre, la Maison de l'Architecture du Centre vous invite à un parcours entre des dessins et des maquettes proches de l'utopie qui illustrent une partie de la production architecturale de l'auteur ainsi que les concepts présentés dans son livre.
Les quatre concepts - objet, écran, milieu, évènement - répondent aux cinq points de Le Corbusier - pilotis, toit-terrasse, fenêtre en longueur, façade libre, plan libre - qui fondaient l'architecture moderne. Les objets sont sans doute les plus nombreux. CAR & MED - Boris CYRULNIK. Grace à lui, plus personne n'ignore ce qu'est la résilience: cette capacité de l'individu à surmonter les pires traumatismes.
Aujourd'hui, dans « Parler d'amour au bord du gouffre » (éd.
«Bien à vous», vraiment? Avez-vous bien remarqué à quel point la formule «Bien à vous» a envahi nos fins de messages et autres courriels pluriquotidiens ?
Comme si l'époque tout entière s'adonnait à ce vice impuni : pécher par antiphrase. Comme si, plus que jamais, il fallait faire mentir ces quelques mots qui rituellement précèdent pour le meilleur et pour le pire nos encombrants paraphes. Signes de mémoire - Dans les tuniques d'oubli. RogersetKrishnamurti. Armes au phosphore – Le point de vue du CICR. Peter Herby, chef de l’Unité armes au CICR, donne un aperçu des règles applicables aux armes au phosphore pour expliquer la position de l’institution sur cette question. Peter Herby, chef de l’Unité armes Peter Herby, chef de l’Unité armes L’utilisation par Israël d’armes au phosphore blanc au cours du conflit actuel à Gaza a-t-elle été confirmée ? Oui. Selon des informations fournies par de nombreux médias, et selon des images et des analyses d’experts crédibles, des armes au phosphore ont été utilisées dans ce conflit.
Quelles sont les règles du droit international humanitaire qui sont applicables à l’emploi d’armes au phosphore et qui visent à épargner les civils? Tout d’abord, j’aimerais souligner qu’il existe des règles fondamentales stipulant que les civils doivent être protégés des effets de toutes les opérations militaires et qu’il est formellement interdit d’attaquer des civils avec quelque arme que ce soit. Oui. Voir aussi Règles coutumières du DIH.
Analyses passées/présentes. Écrire l'histoire sans européocentrisme. Mis en ligne le mercredi 15 février 2012.
Entretien avec Romain Bertrand, historien spécialiste de l’Indonésie, auteur de L’Histoire à parts égales (Seuil, 2011). Que sait-on de Java lorsqu’on n’en sait pas grand-chose ? Que c’était une colonie hollandaise. Fort de ce maigre savoir, qu’imagine-t-on de Java juste avant l’arrivée des Hollandais, en 1596, au terme de ce que l’on appelle la « Première Navigation » et dont le but était de s’assurer un accès direct au commerce des épices ? À peu près rien. Rien, puis des Hollandais triomphants.
Le principe de l’écriture de L’Histoire à parts égales est on ne peut plus simple : ne pas se contenter de lire le récit qu’ont donné les Hollandais de leur périple à Java, mais lire aussi, voire au préalable, les écrits javanais et malais de la même époque. Car ce n’est pas la grande « Hollande » qui a rencontré « Java ». Un entretien avec Romain Bertrand réalisé par Lætitia Bianchi le 07. Oui, c’est une épopée croquignolesque et tragique... Oui. Terre empruntée à nos enfants. La maman d'Obama - La vie des idées. C’est une femme qui a gagné les élections américaines : Stanley Ann Dunham, née en 1942 et emportée par un cancer en 1995, à 53 ans à peine, avant de voir s’accomplir son rêve visionnaire, l’élection de son fils Barack Hussein Obama comme 44e président des États-Unis.
Son prénom masculin lui avait été imposé par son père, Stanley Dunham, qui aurait préféré avoir un garçon. Fille unique de Stanley et de sa femme Madelyn Payne, Stanley Ann fut une jeune fille anticonformiste et une mère solitaire, convaincue de pouvoir élever ses enfants en les préparant à un monde nouveau, globalisé et multiculturel. Un monde radicalement différent de son quotidien de petite fille de classe moyenne dans une anonyme petite ville du Kansas. Il faut essayer d’imaginer cette Amérique-là pour comprendre le courage de Stanley Ann, qui épousa à dix-huit ans, enceinte de quatre mois, le jeune et brillant étudiant kenyan Barack Obama senior, premier Africain admis à l’Université de Hawaï.
Les trois moments historiques du sacrifice - - Site Internet et blogs de Paul Jorion.