Adidas France réorganise son marketing et sa communication. A l’approche de l’Euro 2016 de football qui se déroulera en France en juin et juillet prochains, la filiale hexagonale du groupe Adidas met les bouchées doubles afin d’« accélérer » son « rayonnement » dans le pays aussi bien pour le groupe lui-même que pour sa marque.
Dans ce cadre, elle réorganise son équipe marketing, dirigée par Nicolas Favre, en 4 grands pôles Brand Communication, Omnichannel, NewsRoom et Sport Marketing, « complétée par des équipes Key Cities et Mops », selon un communiqué. Nathalie Beguinot, jusqu’alors brand communication manager pour la marque adidas Originals (lifestyle), devient directrice brand communication tandis que Sylvain Bouchès, précédemment responsable marketing football et sports collectifs, est promu directeur marketing Omnichannel.
Cours INSSEC 2015 : social listening, e-réputation et gestion de crise. E-réputation des entreprises sur les réseaux sociaux. Accueil > Publications > Le journal des DSE > Les Entretiens Qu’est-ce que l’e-réputation ?
L’e-réputation est composée des informations que l’on peut trouver sur une personne (physique ou morale) grâce aux moteurs de recherche, sur les blogs, les sites participatifs, les réseaux sociaux, etc. Elle se mesure à la qualité et la variété des informations disponibles, à la cohérence de l’image. Les entreprises se sont rapidement emparées des réseaux sociaux comme nouveau vecteur de leur communication institutionnelle et commerciale. Les 3 règles d'or du Social Listening. Social Listening, les enjeux et les solutions.
Social Listening et expérience client font-ils bon ménage ? Partant de ce principe, « Observer le Web » nous permet d’identifier des conversations sur un sujet ou une marque, de recueillir ces données et de les suivre, en utilisant des technologies automatisées (Text Mining).
In fine d’extraire des insights précieux et compléter les enseignements existants (issus des études). Cette pratique est appelée « social listening » ou encore « web listening ». Par nature, le web listening s’adresse principalement aux marques de BtoC, qui ont un grand nombre de consommateurs. Autant de clients susceptibles de s’exprimer à leur égard sur internet.
Les marques de BtoB y trouveront surtout un intérêt pour qualifier leur image de marque. Mesurer le buzz : il est important de quantifier le nombre de fois où l’on parle de vous que ce soit positivement ou négativement. Le Web Listening est un outil de veille intéressant pour les marques et entreprises mais pas seulement... L’intérêt de ce type de solution est d’allier l’opérationnel au stratégique. Comment déterminer ses objectifs Social Media. Malgré sa puissance, le levier social media en webmarketing reste toujours une activité annexe pour la plupart des PME / TPE : «Que peut nous apporter notre présence sur les réseaux sociaux ?».
Beaucoup de dirigeants restent sceptiques quant à l’utilité des médias sociaux. Pourtant et comme dans toute stratégie, l’important est de se donner des objectifs précis… Une fois cette première étape réalisée, il reste à se donner les moyens nécessaires à la réalisation de ces objectifs selon la stratégie que vous aurez adoptée. Mais je vous rassure, on est loin des budgets des autres leviers webmarketing. Orange et ses partenaires digitaux. A l’occasion de la présentation de son plan Essentiels2020, Orange a pris la parole sur les médias sociaux et insisté sur l’impérieuse nécessité d’allier digital et humain.
Difficile d’ailleurs de tout suivre tant intense était la présence de l’opérateur sur Facebook, Twitter, Youtube ou encore Instagram. Dans le cadre de cette extrême digitalisation présente dans tous les points saillants de la stratégie de l’opérateur, Orange inaugure également un Social Hub interne mis sur les rails avec Tequilarapido. Ce dispositif comprenant un social wall dédié est consacré au monitoring de son e-reputation et à la détection de tendances numériques émergentes. Cette social room permanente permet à Orange d’honorer son engagement « listening and responding » tout en évangélisant la digitalisation de la marque à l’interne comme à l’externe.
La réputation, risque majeur des entreprises en 2015. Le constat de base est celui qui s’impose à tous depuis quelques années : le monde est devenu hyper-connecté, toutes les 24h les situations sont susceptibles de changer radicalement, nous sommes potentiellement inondés d’informations sans forcément avoir les clés pour pouvoir les comprendre et anticiper les crises et opportunités.
Le top 10 des risques que les organisations ont dû affronter en 2015 Dans le Top 10, on peut distinguer : Trois entrants aux 3 dernières places : les dommages à la propriété, la cyber-criminalité, la responsabilité civile.De la place 2 à la place 6, baisse généralisée d’une place pour : l’interruption d’activité, l’incapacité d’innover et de proposer une offre adaptée au client, l’incapacité à recruter et confirmer de bons profils, la concurrence accrue, le risque normatif (lois, normes), la croissance économique faible.Et à la première place : le risque lié à la réputation de la marque. Quelles tendances social data en 2016 ?
Guilhem Fouetillou, cofondateur et directeur stratégie et innovation de Linkfluence Guilhem Fouetillou, cofondateur et directeur stratégie et innovation de Linkfluence Le web n’est pas un simple canal supplémentaire où diffuser ses messages de marque.
Social listening et Social media intelligence. Le social listening est devenu un incontournable à l’ère des réseaux sociaux, de l’user generated content et des traces numériques.
Linkfluence, Digimind, Synthesio ou encore Brandwatch sont autant d’entreprises qui se sont positionnées sur le marché de l’écoute, l’analyse et la recommandation. Le web social est un écosystème foisonnant, difficile à saisir dans sa complexité, dans son évolutivité, dans son millefeuille de structures et dans les millions de conversations et publications quotidiennes.
La question des traces numériques ne porte pas tant (ou pas que) sur leur captation (récolte) que leur problématisation (quels sens ont-elles ?) Et leurs dimensions applicatives (pourquoi faire ?). Quelle entreprise ne perçoit pas l’importance d’écouter son secteur, de comprendre ses clients ou de détecter les prémisses d’une crise pouvant oblitérer sa réputation ? Coca-Cola confie à une agence le social listening de ses marques. Tempête de la renommée. Que le verbe latin putare signifie élaguer, couper les mauvaises branches, et, en même temps, penser, estimer, croire, évaluer, est étonnant.
Mais ces sens multiples siéent assez bien à l’un des mots français qui en dérive : réputation. Comment le bouche-à-oreille sur Internet déforme-t-il les messages ? “Les spécialistes du marketing et les sociologues reconnaissent l’importance du bouche-à-oreille en tant que phénomène naturel depuis plus de 50 ans, affirmant par exemple que le bouche-à-oreille affecte la majorité des décisions d’achat, explique Kristine De Valck.
Cependant, ces théories et observations sur le bouche-à-oreille informel, spontané, ont été élaborées alors qu’Internet n’existait pas encore.” Or, l’accessibilité, la portée et la transparence du Web ont d’après elle permis aux marketeurs d’influencer et de contrôler le bouche-à-oreille comme jamais auparavant. Et de lister les façons plus ou moins actives dont ils peuvent atteindre leurs objectifs en ligne: “écouter” les conversations, les modérer, voire dialoguer avec les consommateurs, donner des produits à des personnes d’influence...
Ce phénomène a pris tellement d’ampleur qu’aux États-Unis, la Federal Trade Commission a créé de nouvelles règles.