Veillée mortuaire. La Veillée Mortuaire La grande fête de l'adieu Préparation du mort La veillée L'enterrement Règles observées par nos aînés Préparation du mort Au temps d'avant, la mort d'une personne était considérée comme une grande perte pour les parents mais aussi pour tous les habitants du quartier, voire même de la commune.
La mort : un désastre qui provoquait cris et lamentations. Chacun se sentait concerné par cette disparition, même les enfants à qui on ne préservait pas la vue d'un défunt : ils vivaient et partageaient la douleur des adultes. La mort d'une personne était annoncée par le son de la conque de lambi. Tout le monde prêtait main forte et aidait le parent du défunt, le maître du mort, à nettoyer sa maison dans les moindres recoins, à faire à manger pour toutes les personnes qui viendraient pour la longue veillée mortuaire.
Le mort était soigneusement préparé pour sa dernière demeure. Pour sa dernière demeure, le mort était habillé avec de beaux vêtements, souvent neufs. Urbanisme Colonial à Pointe-à-Pitre. Denise Colomb | Guadeloupe | 1958 « Elle a germé, la ville, d’un magma de misère et d’un maigre cadastre, d’une eau trouble, d’une aurore cassée.
Ce n’était qu’un comptoir, qu’une maison de passe, qu’un enclos, qu’un caillot, qu’une dissidence, qu’une blessure ouverte de l’histoire. » Ernest Pépin | 2007 L'urbanisme colonial, après l'abolition de l'esclavage en 1848 en France, adopte bien des configurations en fonction des particularités économiques du pays colonisé, de la nature « bonne » ou « méchante » des colonisés, du climat et des caprices des éléments naturels, de la géographie, de l'héritage urbain et architectural, autochtone pré-colonial ou importé, et de la vocation de la ville – militaire, commerçante, industrieuse, administrative, agricole - assignée par l'administration. en théorie seulement, car il suffit de gratter le vernis brillant pour découvrir une société plombée par l'appât du gain, peu encline à respecter la volonté du Roy, puis de la République.
Cataclysmes Le Lakou. Trois-Rivieres Guadeloupe - vues d'antan. Le Gosier Balade dans le temps. Guadeloupe les 32 communes an tan lontan. Sans titre. Urbanisme Colonial à Pointe-à-Pitre. G.H.C. Bulletin 87 : Novembre 1996 Page 1785. Les débuts de l'aviation aux Antilles Guy Stéhlé Les avions gros porteurs ont mis quotidiennement les Antilles à moins de huit heures de vol de la Métropole.
Les relations inter-Caraïbes, elles aussi fréquentes, desservent même les plus petites îles comme St-Barthélemy ou les Saintes, parfois dans des conditions d'atterrissage spectaculaires mais tout de même sans danger. A propos, que savons-nous des débuts de l'aviation aux Antilles ? Le premier à s'élever dans les airs, en Martinique, fut un Anglais nommé COLBY. Cela se passa à Saint-Pierre, un dimanche de 1886, grâce à un ballon libre. Page suivanteRetour au sommaire. La Guadeloupe en 1900 : La mutation. Comme toujours, Jean-Joseph est debout bien avant 4 heures du matin.
Une lampe à pétrole s'allume; son réveil anime bientôt la maisonnée. Dans la tiédeur de l'aube, il sort de sa case en bois et choisit quelques branches. Une fois qu'il aura allumé le feu, sa femme, Théodose, va faire bouillir de l'eau pour le café de la famille. Dans cette région des Grands-Fonds, à Sainte-Anne, comme ailleurs dans les campagnes, on se lève avant le chant du coq. Jean-Joseph cultive des légumes sur une parcelle de quelques ares. Diaporama cartes postales du Moule. Guadeloupe - Photos & Cartes postales anciennes de la Guadeloupe. Ali Tur. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les personnes ayant le même patronyme, voir Tur. Ali Tur ou Ali Georges Tur, né en 1889 à Tunis et mort en 1977 à Paris, est un architecte français. Il a notamment conçu de nombreux bâtiments en Guadeloupe à l'entre-deux-guerres. Biographie[modifier | modifier le code] Ali Georges Tur nait en 1889 à Tunis, d'un père polytechnicien originaire des Cévennes et d'une mère alsacienne. Après l'armistice, il termine ses études et devient architecte diplômé par le gouvernement. Le 12 septembre 1928, un violent ouragan nommé Okeechobee provoque de nombreux dégâts aux édifices de la Guadeloupe et plus de 1200 victimes. Entre 1931 et 1937, Ali Tur réalise plus d'une centaine de bâtiments publics[2]. Il meurt en 1977, à Paris ou dans le sud de la France[4] selon les sources. Réalisations[modifier | modifier le code] Guadeloupe[modifier | modifier le code] Liste des bâtiments de Guadeloupe selon l'Inventaire général du patrimoine culturel :
Cartes postales anciennes de Guadeloupe - Collection Phos.