La philosophie, le structuralisme, le poststructuralisme et transtructuralisme. Sciences sociales: anthropologie, histoire, critique littéraire et laphilosophie, aussi bien Psychanalyse.
Le terme n'est pas la rechercheoriginaux eux-mêmes, mais les fréquents que les a ensuite étudié.Poststructuralisme part d'une préoccupation générale pour identifier etinterpeller les hiérarchies implicites dans l'identification des oppositionsbinaires qui caractérise non seulement le structuralisme, mais lamétaphysique occidentale en général. S'il sa un point commun entre lacritique poststructuraliste, est l'appréciation de l'interprétation structuralede Ferdinand de Saussure sur la distinction entre l'étude du langage au fildu temps par rapport à l'étude du langage dans un temps donné (vsdiachronique. Synchronique). Les structuralistes affirment que l'analysestructurale est généralement synchrone (à un moment donné) et supprimedonc l'analyse diachronique ou historique. Piaget Le structuralisme (introduction) [extrait de l'introduction] 1.
Définitions. — On a souvent dit qu'il est diffic ile de caractériser le structuralisme, parce qu'il a revêtu des formes trop multiples pour présenter un dénominateur commun et que les « structures » invoquées ont acquis des significations de plus en plus différentes. A comparer les divers sens qu'a pris le structuralisme dans les sciences contemp oraines et dans les discussions courantes, hélas de plus en plus à la mode, il semble cependant possible de s'essayer à une synthèse, mais à la condit ion expresse de distinguer les deux problèmes toujours liés en fait, quoique indépendants en droit, de l'idéal positif que recouvre la notion de piagetstructure dans les conquêtes ou les espoirs des diverses variétés de structuralisme, et des intentions crit iques qui ont accompagné la naissance et le déve loppement de chacune d'elles en opposition avec les tendances régnantes dans les différentes disc iplines. 2. 3.
A quoi reconnaît-on le structuralisme? In F.
Châtelet, Histoire de la philosophie VIII. L'activité structuraliste. La pensée structuraliste. Il est loin le temps où l’entraîneur de football de l’équipe de France espérait rassurer ses supporters en leur promettant une « réorganisation structuraliste » des joueurs.
Michel Foucault, avec Les mots et les choses en 1966, venait de faire du structuralisme la nouvelle philosophie parisienne qui devait éclipser l’existentialisme : elle affirmait que le sujet ne donnait pas du sens à l’univers dans l’angoisse de sa liberté, mais qu’il se contentait de réaliser des possibilités inscrites d’avance dans des codes aussi inconscients que sont les règles grammaticales. Althusser professait à l’Ecole Normale Supérieure que Marx était structuraliste, Lacan y réinventait la psychanalyse, Barthes montrait que la mode vestimentaire obéissait à un « système », bref le structuralisme donnait à une époque mieux que des résultats théoriques : une vision de l’homme et du monde avec laquelle elle se sentait en affinité.
Mais la méthode comporte un deuxième moment. Structuralisme et Post-structuralisme. Après avoir mis en opposition les approches structuraliste et humaniste de la critique littéraire, Mary Klage traite du structuralisme dans sa version post, en proposant une introduction concise à la pensée de la déconstruction, soit à celle de Jacques Derrida récemment disparu.
Le structuralisme a la faveur de certains critiques car il confère une certaine objectivité, une objectivité SCIENTIFIQUE, au champ des études littéraires (qui ont été souvent critiquées pour être purement subjectives ou impressionistes). L’objectivité scientifique est obtenue en subordonnant la « parole » à la « langue » ; la considération de l’usage réel est abandonnée au profit de l’étude de la structure d’un système dans l’abstrait.
Structuralisme et poststructuralisme Michel Foucault. «Structuralism and Post-Structuralism» («Structuralisme et poststructuralisme» ; entretien avec G.
Raulet), Telos, vol. XVI, no 55, printemps 1983, pp. 195-211. Dits et Ecrits IV, texte 330 - Comment commencer ? Je pensais à deux questions : d'abord, à cette appellation très globale de poststructuralisme, quelle en est l'origine ? Je remarquerai d'abord qu'au fond, en ce qui concerne ce qu'a été le structuralisme, non seulement - ce qui est normal - aucun des acteurs de ce mouvement mais aucun de ceux qui, de gré ou de force, ont reçu l'étiquette de structuraliste ne savait très exactement de quoi il s'agissait. Ce qui me frappe dans ce qu'on a appelé le mouvement structuraliste en France et en Europe de l'Ouest vers les années soixante, c'est qu'en fait il était comme un écho de l'effort fait dans certains pays de l'Est, et en particulier en Tchécoslovaquie, pour se libérer du dogmatisme marxiste.
. - Oui... - C'est exact. - Non, il n'y a rien de nécessaire dans cet ordre d'idées. Le retour au structuralisme. Le structuralisme comme quête de scientificité dans les humanités Le structuralisme émerge après le scientisme et le positivisme du 19° siècle qui exerce une forme d’impératif sur les disciplines littéraires et les humanités au sens large : « Progressez vers la raison et la science sous peine d’être discréditées !
» Ceux qui ont très tôt incarné le courant structuraliste (Saussure, Lévi-Strauss, Jackobson, Lacan ) se sont tous sentis investis dans la recherche d’invariants dans les champs disciplinaires des humanités. C’est notamment grâce à eux que l’on ne parle plus de littérature ou d’humanités mais de “sciences humaines”, évolution il est vrai largement préparée dans le bouillonnement culturel du 19° et plus particulièrement au travers les questions d’économie politique qui fonderont les sciences sociales (Tocqueville, Marx, Weber, Durkheim). La structure comme invariant Le primat de la relation. Poststructuralisme revisité. (Autour d’un livre de Dan-Eugen Ratiu) Iulian Vamanu(*) Dan-Eugen Raþiu, Disputa modernism-postmodernism.
O introducere în teoriile contemporane asupra artei; Colecþia “Universitaria”, Ed. Dacia, Cluj-Napoca, 2001, 223 pages. La dispute modernisme-postmodernisme est un thème de débat très actuel. Le structuralisme et ses suites. Le structuralisme (linguistique) Le structuralisme I- Introduction 1)- Origine Le structuralisme tire son origine du Cours de linguistique générale (1916) de Ferdinand de SAUSSURE qui envisage d’étudier la langue comme un système dans lequel chacun des éléments n’est définissable que par les relations d’équivalence ou d’opposition qu’il entretient avec les autres.
Cet ensemble de relations forment la structure. 2)- Définition Dans les années 1950, les analyses de LEVI-STRAUSS des systèmes de parenté permettent de penser que l’homme, envisagé comme un être pensant, être social, être communiquant avec ses semblables, va pouvoir enfin être un objet de science. Derrida - Post-structuralisme. Analyse du discours poststructuraliste. Les voix du sujet (...) - Éditions Lambert-Lucas.