Yom Kippour : Jour du Grand Pardon, Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Kippour . Yom Kippour (hébreu : יום הכיפורים Yom Hakippourim « le jour des propitiations »), également appelé le Jour du Grand Pardon, est une fête juive considérée comme la plus sainte de l’année juive. Observé le dixième jour du mois de tishri, en terre d’Israël comme en diaspora, le jour représente la culmination d’une période pénitentielle de dix ou quarante jours selon qu’elle est inaugurée à Roch Hachana ou au mois d’eloul. Il a lieu, selon les années, en septembre ou en octobre dans le calendrier grégorien. Outre un chômage et un jeûne complets, Yom Kippour est marqué par d’autres rites de mortification. Yom Hakippourim dans les sources juives[modifier | modifier le code] Dans la Bible hébraïque[modifier | modifier le code] L’envoi du bouc à Azazel (gravure de W.J. Dans les livres de la période tannaïtique[modifier | modifier le code] Chabbat : jour de repos assigné au septième jour de la semaine juive.
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Pour les articles homonymes, voir Sabbat. Accueil du shabbat le vendredi soir sur l'esplanade du Kotel à Jérusalem. Le chabbat ou shabbat (hébreu : שבת - cessation) ou shabbes en yiddish est le jour de repos assigné au septième jour de la semaine juive, le samedi, qui commence dès la tombée de la nuit du vendredi soir. Élément fondamental de la religion, il est observé par beaucoup de juifs. Son respect détermine le degré de pratique de manière presque binaire: il y a un gap religieux entre celui qui observe le Chabat et celui qui ne l'observe pas. Movaé Chabbat (מובאי שבת) : entrée du Chabbat[1]Motsaé Chabbat (מוצאי שבת) : sortie du Chabbat « Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Le chabbat est également jour chômé officiel en Israël, et outre les magasins, les transports publics ne fonctionnent pas.
Pessa'h : célèbration l’Exode hors d’Égypte. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pessa'h (hébreu פֶּסַח, Pessa'h, latin : Pascha « Pâque ») est l’une des trois fêtes de pèlerinage du judaïsme prescrites par la Bible hébraïque, au cours de laquelle on célèbre l’Exode hors d’Égypte et le début de la saison de la moisson de l’orge qui inaugure le cycle agricole annuel. Particulièrement riche en rites et coutumes, la fête se distinguait originellement par l’offrande pascale que les Juifs ne peuvent réaliser depuis la destruction du Temple (les Samaritains continuent à l’offrir sur le mont Garizim). L’obligation de manger des matzot (aliments azymes) et de bannir le hametz (aliments à base de pâte levée et/ou fermentée) tout au long de la fête demeure en application.
Mikvé : bain rituel utilisé pour l'ablution nécessaire aux rites de pureté. Cacherout ; code alimentaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La cacheroute ou kashrout (en hébreu : כשרות המטבח והמאכלים kashrout hamitba'h véhamaakhalim, « convenance de la cuisine et des aliments ») est le code alimentaire prescrit aux enfants d'Israël dans la Bible hébraïque. Elle constitue l'un des principaux fondements de la Loi, de la pensée et de la culture juive. Elle regroupe d'une part l'ensemble des critères désignant un aliment (animal ou végétal) comme permis ou non à la consommation et, d'autre part, l'ensemble des lois permettant de les préparer ou de les rendre propres à la consommation.
Les aliments en conformité avec ces lois sont dits kascher, « aptes » ou « convenables » à la consommation. Shehita : rite juif d'abattage par jugulation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La shehita (hébreu : שְׁחִיטָה « occision ») est le rite juif d'abattage par jugulation[1] qui rend les animaux (bétail, gibier et volaille) purs propres à la consommation alimentaire et, anciennement, à être offerts devant Dieu. Les poissons et insectes autorisés à la consommation en sont exemptés. L'acte est accompli par un shohet, spécialiste dûment autorisé et formé aux lois de la shehita. Il coupe, au moyen d'un couteau particulier, la trachée, l'œsophage, les artères carotides et les veines jugulaires ; la bête abattue est suspendue la tête en bas de façon à ce qu'elle se vide de son sang. Une bête incorrectement abattue a le statut de nevela (« charogne ») ; une bête morte sans abattage ou impropre à être abattue (quand bien même le défaut qui la rend impropre a été découvert après l'abattage) à celui de treifa (« déchirée »).
La Loi juive prescrit de réaliser la shehita dans le respect des animaux et en leur évitant de souffrir. Kaddish : l'une des pièces centrales de la liturgie juive. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le kaddich (transcription française commune) [1] ou qaddich [2] ou kaddish (hébreu : קדיש qaddich, « sanctification ») est l'une des pièces centrales de la liturgie juive et a également influencé plusieurs prières chrétiennes, dont le Notre Père[3]. Il a pour thème la glorification et sanctification du Nom divin, en référence à l'une des visions eschatologiques d'Ézéchiel[4]. Plusieurs versions en existent dans la liturgie, la plus connue étant celle des endeuillés, bien que le Kaddish ne comporte aucune allusion aux morts ni à leur résurrection.
Siddour : livre de prière regroupant l'ensemble des prières journalières. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
En outre, il contient un certain nombre de textes liturgiques, de bénédictions en usage dans la liturgie domestique et les extraits du Pentateuque lus lors des offices du matin des lundi et jeudi. Le siddour est le livre le plus répandu dans les foyers juifs pratiquants. Siddour est un terme générique, et il existe différents siddourim, celui du Judaïsme réformé américain étant par exemple différent de celui des orthodoxes américains, et ayant d'ailleurs eu plusieurs versions (1892, 1922, 1941, 1975)[1] ».. Historique[modifier | modifier le code] Les prières sont longtemps restées orales respectant en cela l'interdit de mettre par écrit la Loi orale. Il existe différents Siddourim, non seulement suivant les époques, mais également suivant le rite suivi par la communauté dont il est issu.