Yonaguni, l'Atlantide du Pacifique. Les cités englouties sont une réalité presque banale pour l'archéologue : Ménouthis et Hérakléion au large du delta du Nil, Pavlopetri sous les eaux au sud du Péloponèse, Olbia du Pont noyée au nord de la Mer Noire... Visitées, explorées, datées, ces villes submergées ne font plus mystère. Sans doute parce qu'elles sont trop proches de nous dans le temps. Et que leur disparition s'inscrit dans une logique géologique dont les stigmates marquent encore nos rivages. Mais l'Atlantide ! Ou plutôt les Atlantides... Une découverte fortuite La petite île de Yonaguni (28 Km2) dans l'archipel Ryu Kyu est la province la plus à l'ouest du Japon. En 1985, un organisateur de plongées touristiques, en repérage pour ses futurs clients, entend parler d'un haut-fond poissonneux connu des pêcheurs locaux dont les légendes évoquent aussi un palais englouti.
Pendant 10 ans, le site fait le bonheur des amateurs sans que la science officielle ou les média panurgiques daignent s'y intéresser. Qui et quand ? Structure sous-marine de Yonaguni. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Yonaguni. Un plongeur visitant le monument immergé La structure est constituée d’immenses plate-formes interrompues par des failles formant de grandes marches angulaires séparées par des parois à l’apparence lisse (les failles sont géologiquement récentes). Structures englouties de Yonaguni. En 1985 un voyagiste de plongée, Kihachiro Aratake, alors qu'il plonge voir des requins au large des côtes les plus au Sud de l'île japonaise Yonaguni Jima, découvre des structures énigmatiques.
Le professeur Masaaki Kimura, de l'Université de Ryukyus à Okinawa (Japon), étudie les structures pendant plusieurs années, et acquiert la conviction qu'elles sont de fabrications humaine. A l'occasion de la sortie de son livre Heaven's Mirror, l'écrivain Graham Hancock invite le docteur Robert Schoch à venir donner son opinion quant à l'origine "naturelle" ou "humaine" de ces structures, dans le cadre d'une trilogie télévisée intitulée "La quête des civilisations perdues". Schoch accepte et arrive au Japon en septembre 1997. Le docteur Schoch pense que la structure est en majeure partie, peut être en totalité, naturelle.
Ce qui suit est la discussion détaillée de Schoch : A chaque séjour je fit diverses plongées sur le site. Les faces rocheuses semblent être des pierres dressées. Remerciements : Ruines dans le pacifique. Sa datation a révélé que l'édifice remontait à au moins 8000 ans av. jc Le mur de l'Ancienne ville sous marine de Hujing La maison en pierre de Taga Des mégalithes faits de blocs basaltiques bleu-noir en forme de prismes hexagonaux et disposés en croix.
Les vestiges de la cité d' Insaru Des terrasses et des collines pyramidales. Le Yonaguni. [Yonaguni] Les preuves d'une civilisation engloutie il y a 12 000 ans ! La triste et récente actualité au Japon nous démontre que du jour au lendemain une civilisation peut se retrouver engloutie.
Particulierement si elle se situe sur la mer dans des zones de fortes activité sismiques , cassures de la croute terreste, chaine volcanique, etc... Les preuves sont significatives dans la region d' Hokinawa au Japon : - la decouverte de fossilles de quadrupede à plus de 500 Mètres de profondeur sous la mer- les legendes anciennes de la region parlant d'un palais du dieu de l' ocean englouti dans les eaux de lerus regions- la decouverte enfin des vestiges de Yonaguni , enorme construction monolithique à angles droits- la decouverte sur le site de Yonaguni d'artefacts typiquement humain (pierre gravées figurant des animaux, signes, etc..) D'abord une première video en français expliquant comme ce site a pu se retrouver englouti Le documentaire en anglais: La mystérieuse structure sous-marine de Yonaguni. Les ruines de Yonaguni (japon) On se réjouit d'autant plus de voir les faits étayer l'hypothèse visionnaire du colonel Churchward: cette importante découverte archéologique sous-marine relance sérieusement la réalité de Mu.
Près de l'île japonaise de Yonaguni, des plongeurs ont découvert une pyramide singulière, qui a tout l'air d'un artefact. Longue de 200 m et haute de 30 m, composée de gigantesques blocs de pierre aux angles parfaitement droits, l'imposante construction rectiligne affecte plus ou moins la forme d'une ziggourat de Babylone. Avec sa silhouette massive et ses proportions imposantes, on la dirait bâtie par des hommes beaucoup plus grands et plus forts que nous. "Cet objet n'a définitivement pas été fabriqué par la nature", a déclaré le prof Masaki Kimura géologue à l'Université d'Okinawa, premier scientifique à examiner le site. La découverte d’autres tertres sous-marins, plus petits, dans les environs de Yonaguni, apporte une confirmation quant à l'origine artificielle de cette structure.