Johann Fust. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Johann Fust, né vers 1400 à Mayence en Saint-Empire romain germanique et mort le 30 octobre 1466 à Paris, était un important orfèvre et banquier. Il a financé les travaux de Gutenberg et de Peter Schoeffer. Fust et Gutenberg[modifier | modifier le code] En 1450, il s'associe à Gutenberg et lui propose de lui prêter 800 florins par an. Mais en 1455, il exige le remboursement de la dette. Il est un des trois artistes qu'on associe ordinairement, pour l'invention de l'imprimerie, à Gutenberg et Peter Schoeffer. On connaît cependant des livres qu'on juge plus anciens que ceux dont nous venons de parler, quoique la date ni le nom du lieu et de l'imprimeur n'y soient pas marqués. Ces trois derniers livres, qui sont tous in-fol., précèdent sûrement l'impression eu caractères mobiles, et peuvent remonter jusqu'en 1410.
Fust et Schoeffer[modifier | modifier le code] Il publia différents ouvrages avec son gendre dont : RMN - Grand Palais jeune public, Inventions et Découvertes de la Renaissance, L’homme de la Renaissance est très curieux.
Il observe le monde pour en comprendre les lois Médecine L’homme de la Renaissance s’interroge sur lui-même, sur son âme mais aussi sur son corps. Les anatomistes pratiquent des dissections pour étudier le fonctionnement du corps. Toutefois, elles restent rares, contrôlées par les autorités religieuses. Imprimerie Le procédé de l’imprimerie fut inventé en Chine au XI e siècle. Astronomie Le polonais Copernic révolutionne l’astronomie. Les Grandes découvertes Les grandes découvertes sont les découvertes géographiques qui marquent la Renaissance.
Grâce à l’astrolabe, instrument astronomique, les navigateurs peuvent se guider grâce à la position du soleil et des étoiles.En 1475, le portugais Vasco de Gama est le premier européen à arriver aux Indes par voie maritime, en passant par le cap de Bonne Espérance, à la pointe sud de l’Afrique.En 1492, Christophe Colomb, au service de la couronne espagnole, tente d’atteindre la route d’Asie par l’ouest. Marché du livre - Livre et Lecture. La filière économique du livre peut être considérée comme la première des industries culturelles.
Comme les autres industries culturelles, il s'agit d'une activité de prototypes qui connaît une grande incertitude devant la réception de ses produits par le public de lecteurs. Chaque année, des milliers de nouveaux titres sont commercialisés en France, futurs succès ou bien moindres réussites. Une telle diversité dans l'offre éditoriale nécessite un travail de tri et de sélection effectué, à l'intention des lecteurs, par des médiateurs à l'autorité reconnue : critiques, bibliothécaires, libraires. Elle repose également sur l'existence d'un réseau de détaillants très développé. La diversité de l'offre éditoriale et la densité du réseau des libraires sont deux questions étroitement liées. Les auteurs Le métier d’auteur recouvre des situations extrêmement diverses. Les éditeurs.
Direction du livre et de la lecture : Le droit de prêt, Qui finance le droit de prêt ? - juin 2003. Prix unique du livre. Principe et fonctionnement du prix unique Promulguée le 10 août 1981, la loi sur le prix unique du livre (dite loi « Lang ») est entrée en vigueur le 1er janvier 1982 en instaurant le système du prix unique du livre en France : toute personne qui publie ou importe un livre est tenue de fixer pour ce livre un prix de vente au public.
Quelle que soit la période de l’année, ce prix doit être respecté par tous les détaillants (grande surface spécialisée, hypermarché, maison de la presse, grossiste, librairie traditionnelle ou en ligne), qui n’ont la faculté d’accorder des rabais que s’ils sont limités à 5 % du prix déterminé par l’éditeur. Ce régime dérogatoire au principe de libre fixation des prix est fondé sur le refus de considérer le livre comme un produit marchand banalisé, ne répondant qu’aux seules exigences de rentabilité immédiate. Prix du livre - Livre et Lecture. La loi relative au prix du livre, votée à l'unanimité par le Parlement, a été promulguée le 10 août 1981.
Les trois objectifs poursuivis par ce texte sont : l’égalité des citoyens devant le livre, qui sera vendu au même prix sur tout le territoire national ; le maintien d’un réseau décentralisé très dense de distribution, notamment dans les zones défavorisées ; le soutien du pluralisme dans la création et l’édition en particulier pour les ouvrages difficiles. Cette loi impose aux éditeurs ou importateurs de livres de fixer un prix de vente au public. Les détaillants doivent pratiquer un prix effectif de vente au public compris entre 95 % et 100 % du prix fixé par l'éditeur ou l'importateur. Sauf quelques exceptions qui sont les suivantes : L'article 10 de la loi du 10 août 1981 prévoit des dispositions d’application particulières pour les départements d’outre-mer.
Il apparaît que l'objectif principal de la loi, permettre l’égalité d’accès des citoyens au livre, a été satisfait.