Devrait-on interdire le cellulaire à l'école? Publié le 05 mars 2012 à 19h48 | Mis à jour le 19 mars 2012 à 19h51 | Commentaires (26) Faut-il interdire aux élèves l'utilisation du cellulaire?
Le Soleil, Erick Labbé Devrait-on interdire aux élèves d'utiliser le cellulaire dans les écoles primaires et secondaires, comme le suggère une enseignante? Si oui, le gouvernement devrait-il adopter une loi à cet effet? Martin Lépine Martin Lépine Professeur de didactique du français à l'Université de Sherbrooke et enseignant au primaire et au secondaire pendant 10 ans. Le gouvernement du Québec souhaite investir des millions de dollars pour équiper la grande majorité des classes du Québec, d'ici 2016, de tableaux blancs interactifs et d'ordinateurs portables pour les enseignants.
Guy Ferland Professeur de philosophie au collège Lionel-Groulx de Sainte-Thérèse. Il est vrai que le cellulaire est devenu une plaie sociale. Jana Havrankova Médecin endocrinologue. Jean Gouin Directeur général de la Fédération des médecins résidents du Québec. Nestor Turcotte. Des écoles à l’affût des nouvelles technologies intègrent l’iPad à l’enseignement. Depuis quelques années, les nouvelles technologies font leur entrée dans nos écoles et ici, on ne parle pas seulement des téléphones cellulaires et des lecteurs MP3 de nos jeunes!
Pour faire suite aux tableaux électroniques que l’on retrouve maintenant dans certaines classes, les tablettes numériques, la plupart du temps le iPad, sont de plus en plus intégrées comme outils pédagogiques. S’agit-il d’une nouvelle méthode efficace pour intéresser les jeunes ou au contraire, d’une source de distraction superflue? Quelques publications et diffuseurs se sont penchés sur la question: Pédagogie - Entre enjeux complexes et technologie, l’école d’aujourd’hui. L’apport des technologies d’aide à l’école secondaire : perspectives des professionnels de l’enseignement et des élèves. Ajouter aux Favoris Par Nadia Rousseau, Ph.
D. et Léna Bergeron, M.A., doctorante Ce résumé, à saveur quelque peu théorique, pose un regard sur l’efficacité des technologies d’aide chez les élèves ayant des troubles d’apprentissage à l’école secondaire. Certains résultats de recherche sont présentés. Enfin, des pistes de mise en œuvre sont proposées. Les usages de la technologie à l’école face aux inégalités. Les résultats d’une étude récoltée auprès de professeurs montrent que l’utilisation d’outils numériques dans leur salle de classe est variable, et notamment fonction du statut socio-économique des étudiants auxquels ils enseignent.
La technologie à l’école et tout au long du processus d’apprentissage est un enjeu déterminant. Une récente étude publiée en collaboration entre le National Writing Project, CollegeBoard et le PewReasearchCenter (2013) montre que les outils technologiques sont maintenant largement utilisés dans les salles de classe. En effet, 54% des enseignants assurent que tous ou presque tous leurs étudiants ont accès à des outils technologiques comme une tablette ou un e-reader en classe, et 18% d’entre eux assurent qu’ils en possèdent à la maison. Ces chiffres démontrent une compréhension des enjeux que représente la technologie pour le monde éducatif par ses acteurs - parents, enseignants ou écoles. L’usage des technologies en classe : miser sur la matière scolaire ou les moyens de la transmettre? Crédit photo : Izneo sur Wikimedia Cette semaine, au Forum mondial de la langue française qui se tient à Québec, le thème de l’utilisation des technologies dans l’enseignement occupera quelques discussions.
Amorcer le tournant vers des classes sans papier, utiliser les technologies et les réseaux sociaux pour stimuler l’apprentissage des matières de base est louable, mais qu’en est-il des besoins de notre jeune citoyen numérique? Étude - Technologie à l’école : les étudiants sont moins enthousiastes que leurs professeurs. Au-delà des idées reçues.
À l’heure où le monde de l’éducation cherche lui aussi à trouver sa place dans les mutations sociales et technologiques en cours, le constat est troublant : les étudiants universitaires du Québec semblent davantage valoriser un mode d’éducation classique, reposant sur des cours magistraux, entre autres, alors que les enseignants penchent massivement pour une plus grande présence des outils technologiques d’apprentissage, de communication ou de socialisation dans les classes.
Paradoxalement. C’est en tout cas ce que vient de faire ressortir une vaste étude des perceptions de la technologie en milieu scolaire menée au Québec dans les derniers mois, étude qui souligne au passage que pour ces jeunes, peu importe le canal de diffusion utilisé, l’important serait le contenu et la stimulation intellectuelle qu’il peut induire. « Nous allons continuer à explorer, pour mieux la comprendre, cette différence dans les perceptions entre élèves et professeurs, dit M.
Quelle est la place de la technologie à l'école ? Quel est son impact sur le rôle de l'enseignant ? : France. Les élèves de la génération actuelle ont grandi avec les technologies numériques.
Les appareils numériques font partie de leur quotidien en dehors de l'école. Grâce à Google, les jeunes peuvent désormais accéder à une multitude d'informations, de contenus et de ressources. Alors que les nouvelles technologies tiennent une place prépondérante dans le quotidien des élèves à la maison, les professeurs doivent essayer d'exploiter ce phénomène pour optimiser l'apprentissage en salle de classe et à la maison.
Contrairement à la génération précédente qui utilisait plus volontiers les ressources papier traditionnelles, ces jeunes accros du numérique ne fréquentent pas beaucoup les bibliothèques. Les élèves n'apprennent plus de la même manière qu'auparavant et les professeurs doivent adapter leurs méthodes d'enseignement en conséquence. Dans ce contexte, il est essentiel de savoir si les nouvelles technologies peuvent vraiment améliorer l'éducation. *Source : David Millar, Futuresource Consulting.