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Pourquoi travailler chez Facebook n'est pas un job de rêve. Le géant des réseaux sociaux rafle la première place des entreprises les plus attirantes aux yeux des chercheurs d'emplois. Mais est-ce à juste titre ? Facebook est souvent considéré comme l'un des employeurs les plus convoités du secteur technologique. Après tout, ses stagiaires gagnent 25 000 dollars de plus que le citoyen américain moyen. Sur le jobboard Glassdoor, Facebook a même été désigné n°1 toutes catégories confondues des meilleures entreprises où travailler. Pas mal, non ? Et pourtant : selon un fil de discussion Quora, d'anciens et actuels employés du géant du social media pensent le contraire. Du manque de professionnalisme (il est courant de se retrouver à faire la lessive de son boss) à l'attitude suffisante de Mark Zuckerberg, nous avons rassemblé les détails les plus intéressants. "Six semaines par an, je dois être disponible 24h/24. " Lorsqu'ils sont d'astreinte, les ingénieurs sont responsables du maintien et du bon fonctionnement des services quoi qu'il arrive.

Pourquoi il fait si bon travailler chez Facebook. C'est comment, la vie chez Facebook ? Au top, si l'on en croit le classement Glassdoor des entreprises dans lesquelles il fait bon travailler, basé sur les notes délivrées par les salariés eux-mêmes. Facebook arrive en première position, tous secteurs confondus, ralors que Google pointe seulement à la 30e place.

Comment expliquer l'amour qu'ils portent à leur employeur ? L'Expansion.com est allé chercher du côté des avantages, de la culture d'entreprise et de la vie sur le "campus" de Palo Alto. Des avantages au-dessus de la moyenne Chez Facebook, un comité d'audit est chargé d'étudier ce qui se pratique ailleurs dans les grandes entreprises, afin de s'assurer que les avantages offerts par Facebook, au global (salaires fixe, variable, bonus annuel, mutuelle, avantages en nature, etc.) sont supérieurs à la moyenne du marché, explique Damien Vincent, le directeur commercial France de Facebook. Dans le reste du monde, la liste des avantages est moins longue, taille oblige. Ingénieur, Aurélien va travailler chez Facebook. Entretien avec Aurélien Fredouelle, ingénieur manceau. Vous partez dans quelques jours travailler comme ingénieur au siège de Facebook, près de San Francisco.

Le rêve pour un jeune informaticien, non ? Disons que c'est, avec Google, le plus gros site internet du monde. L'idée de départ est géniale. Le fondateur est parti de rien. Comment avez-vous été recruté ? Au départ, un peu le hasard. Quel type de poste allez-vous occuper là-bas ? Je ne sais pas encore. Vous connaissez vos conditions de travail ? Sur les 3 000 salariés, il y a un millier d'ingénieurs.

Les conditions sont très intéressantes : deux fois le salaire d'ici, l'assurance santé, ainsi que tous les repas pris en charge par l'entreprise. Qu'est-ce qui vous a séduit dans cette entreprise ? Sa jeunesse et celle de ses salariés, et son dynamisme. Le fait d'être Français a été un atout ? Je pense que Facebook souhaite des chercheurs d'horizons divers, avec des points de vue différents. Vous êtes un utilisateur de Facebook ? Conditions de vie et de travail des cadres de Sonatrach au Sud du pays. Selon des syndicalistes, 40% des effectifs de Sonatrach au Sud souffrent de maladies chroniques.

Leur salaire tourne autour de 500 euros, tandis que des expatriés touchent parfois 10 000 euros. Nous ne pouvions passer si près de l’occasion qui nous était offerte : s’informer des conditions de travail et de vie des cadres de Sonatrach sur les bases pétrolières au sud du pays. L’escale effectuée, le 23 février dernier, par le ministre de l’Energie et des Mines, accompagné du PDG du groupe public des hydrocarbures, dans les régions de Sonatrach dans le Sud s’offrait telle une opportunité inespérée, venue nous ouvrir les frontières infranchissables des «provinces» pétrolières. Il faut avouer que ces régions demeurent inaccessibles. Cette espèce de black-out nourrissait mille et un fantasmes, des pensées parfois chimériques et des ambitions souvent incalculables. Une question qui taraude nos esprits. A côté des studios nouvellement construits, de vieux chalets se dressent tel un sale décor.

Facebook et licenciement : les statuts qui les ont fait virer. 1 - « Bienvenue au club des néfastes » Un samedi soir, en 2008, trois cadres d’une société de conseil en informatique médisent sur le compte de leur entreprise. Sur Facebook. Ils prétendent entre autres, en plaisantant, appartenir au « club de néfastes » et se vantent de se « foutre de la gueule » d’une supérieure hiérarchique « toute la journée sans qu’elle s'en rende compte ». Sauf que cette discussion informelle sur le « mur » du réseau social est rapportée à la direction par un autre « ami Facebook » qui a vu ces commentaires sur le réseau. 2 - « Qu’on leur mette le feu à cette boîte de merde ! Cette salariée d’une grande enseigne d’ameublement dira qu’elle souhaitait juste réconforter un ancien directeur récemment remercié. « Cette boîte me dégoûte, écrit-elle sur son « mur ». 3 - Marre de « certaines grosses connes » et de ces « horaires à la con » 4 - « De belles balletringues anti-professionnelles » 5 - Une caricature qui ne fait pas rire Céline Chaudeau © Cadremploi.fr.