Jing-Jin-Jin. China’s Urbanization: Is it Worth the Cost? New apartments rise from the fields in Qiyan, Sha’anxi province China’s leaders believe urbanization is the key to growing consumer spending and by extension, the key to transforming China into a consumer-driven economy.
In order to continue moving China’s remaining 700+ million peasants to urban lifestyles, the central and provincial governments have been investing heavily in programs designed to relocate rural residents to towns and cities. But is it worth it? According to a recent report by Reuters, China’s urbanization could cost the government $106 billion a year, or 5.5% of fiscal revenue. Most of these costs would come from the additional social welfare subsidies and payments the government would have to expand to cover the increase in urban residents. Rendering of the proposed new town for relocated farmers in southern Sha’anxi (Qiyan Village) To call this “urbanization” would be a bit of an exaggeration. These numbers are for the relocation of 2.8 million people. Partez à la découverte de ces villes flambant neuves abandonnées dans toute la Chine. Il existe en Chine une multitude de villes complètement neuves qui n’ont presque jamais été habitées.
Des villes fantômes qu’on peut trouver aux quatre coins du pays et qui ne sont habitées en général que par quelques milliers de personnes au maximum. DGS vous emmène à la découverte de ces villes dépeuplées où la nature commence petit à petit à reprendre ses droits. Kangbashi New Area Le quartier de Kangbashi New Area est en réalité une ville-nouvelle construite suite à une forte expansion économique de la ville-préfecture d’Ordos, située dans la région de Mongolie-Intérieure au Nord du pays. Ce quartier gigantesque a été financé à hauteur de 161 milliards de dollars.
The Unreal, Eerie Emptiness of China's 'Ghost Cities' Ningbo a leading chinese example of smart city. Smart cities are booming in Asia as urbanization is moving at the same pace there. 21 megacities already account for 9% of the world urban population; 97% of the fastest growing cities are in growth markets, 8 in China, 11 in India.
The China’s urban population has expanded rapidly in recent years. McKinsey estimated in a report in 2009 that an additional 350 million people, more than the population of the U.S., would move to the cities by 2015. More than 220 Chinese cities will have more than one million people (there are currently only 35 in Europe). This help to explain why in China, as many as 18 cities (according to a Lux Research report) have announced smart city plans.
'Smart City' takes shape in China. Smart city: opportunity and challenge for enterprises. 'Smart city' takes shape in Xinjiang. Wuhan to become smart city by 2020. Les petites villes, de nouveaux centres pour le développement territorial chinois. Appel / Mondes urbains chinois. Posted by urbanites on jeudi, juin 25, 2015 · Leave a Comment Janvier 2016 En janvier 2016, la revue Urbanités a décidé de continuer la réflexion sur les mondes urbains chinois, entamée en 2013 avec sa série d’entretiens et d’articles sur la Chine urbaine.
Envoyez-nous des propositions d’articles, de compte-rendus de lecture ou de portfolios, quels que soient votre thème ou votre terrain de recherche. Nous considérons que les mondes urbains situés hors de Chine continentale (Hong-Kong, Taiwan, Macao, Diaspora chinoise) mais marqués par des dynamiques politiques, culturelles, économiques et sociales liées à la présence d’acteurs ou de capitaux chinois font partie intégrante du monde chinois et ont à ce titre leur place dans ce dossier. Modalités de soumission. L’urbanisme chinois et l’émergence du modèle « intégrationniste » Dossier : Actualité des modèles urbanistiques Depuis sa refondation à la fin de la période maoïste, il y a un peu plus de trente ans, l’urbanisme en Chine, celui dit du « Troisième Printemps » (Leaf et Li 2006), n’a eu de cesse de chercher sa place dans le contexte de bouleversements sociaux, économiques et culturels.
Il s’est rapidement tourné vers des modèles urbanistiques, essentiellement d’obédience fonctionnaliste, capables de répondre aux exigences du modèle de développement économique, aujourd’hui remis en question, porté par un régime fort. L’urbanisme en Chine, un modèle « développementaliste » dominant L’urbanisme chinois contemporain est influencé par des références que l’on peut aisément ranger dans la catégorie des modèles « fonctionnalistes », ancrés dans un rapport positiviste à la modernité et appuyés par une quête du progrès.
Figure 1. . © Jean‑François Doulet Figure 2. Stéphane Milhaud. Chroniques / Parties de campagne : pratiques touristiques et nouveaux usages urbains des campagnes en Chine, l’exemple de l’île de Chongming dans la municipalité de Shanghai. Posted by urbanites on mercredi, novembre 6, 2013 · 4 Comments Emmanuel Véron L’article d’Emmanuel Véron au format PDF « Dans les villes, un nombre croissant de personnes se procurent des voitures non pour les déplacements de travail, mais pour ceux du dimanche, des fêtes et des vacances.
Les migrations de loisir sont souvent déterminantes des acquisitions d’une automobiles et le courant général qui développe la motorisation des moyens de transports familiaux ne peut évidemment que développe les voyages ». J. Hausse des prix des logements en 2015. Le marché immobilier chinois a continué sa reprise en 2015 grâce aux mesures d'assouplissement, selon un rapport concernant cette industrie.
Les prix des logements dans cent villes sondées ont augmenté de 3,39% en 2015, selon un rapport publié par la China Index Academy, un institut de recherche indépendant. Les villes de niveau 1, dont Beijing et Shenzhen, ont enregistré une hausse de 15,1% cette année, alors que les prix dans les villes des niveaux 2 et 3 ont connu une baisse. Shanghaï en cartes et en photos - Globe.
À l’occasion de l’Exposition universelle 2010, qui ouvrira ses portes le 1er mai, Thierry Sanjuan est l’invité de “Planète Terre”.
L’auteur d’un Atlas sur Shangaï, aux éditions Autrement, nous livre les clés de cette ville-mondiale : Pékin : quand les réseaux de transport courent après la ville Jean-François Doulet géographe, Sciences Po. L'actualité de la préparation des Jeux Olympiques de 2008 à Pékin nous renvoie des questionnements sur la capacité de la capitale chinoise à répondre à la crise des transports à cette échéance plus trop lointaine ; on nous dit : Pékin est trop congestionné, il y a trop de voitures et pas assez de métro ou de bus rapides !
Il semblerait que les réseaux de transport à Pékin courent après la ville, comme s'ils ne suivaient pas, comme si le développement urbain était plus rapide que celui des transports, en particulier les transports ferrés de type métro ou trains de banlieue. Aujourd'hui, les autorités de Pékin semblent redoubler d'efforts pour compenser les lacunes, pour rattraper les retards ; les principes d'une nouvelle stratégie fondée sur la promotion des transports publics ont récemment été présentés dans le cadre du Plan stratégique des transports pour les Jeux Olympiques publié en 2002.
Logiques des réseaux, logiques de la ville Les réseaux s'imposent à la ville Conclusion. Shanghai est la ville la plus chère pour les expatriés en Asie. Selon un nouveau classement, Shanghai est la ville la plus chère en Asie pour les expatriés.
D'après cette hiérarchisation réalisée par ECA International, la ville chinoise est plus globalement considérée comme la 8e plus chère au monde. Dans ce même classement, Pékin suit immédiatement Shanghai, Hong Kong est en 12e position et la ville de Canton est placée 14e. Il est à noter que dans cette enquête menée en mars et septembre 2015, certains coûts de la vie tels que le logement, les services publics (électricité, gaz, coûts de l'eau), l'achat de voiture et les frais de scolarité ne sont pas pris en compte. Ceux-ci sont généralement compensés par l'entreprise.
Le classement est basé sur les données de prix qui sont ajustés pour les mouvements récents des taux de change. Entretien / Thierry Sanjuan, « La ville chinoise est un espace de pouvoir » Posted by urbanites on mercredi, juillet 30, 2014 · 3 Comments Thierry Sanjuan est professeur de géographie à l’Université Paris 1 et directeur de l’UMR 8586 Prodig. Il est l’auteur de l’Atlas de la Chine, un monde sous tension (Autrement, 2012) ; de La Chine et le monde chinois, une géopolitique des territoires (Armand Colin, 2010) et du Dictionnaire de la Chine contemporaine (Armand Colin, 2006).
Vous fréquentez les villes chinoises depuis la fin des années 1980, époque depuis laquelle la population urbaine a été multipliée par quatre au point qu’aujourd’hui plus de la moitié des Chinois vivent en ville. C’est un bouleversement majeur pour la société chinoise dans son ensemble.