La ségrégation raciale by Camille Boulay on Prezi. Sans titre. ART DU VISUEL DU XXème siècle Introduction Ce tableau de 91 cm × 150 cm (36 in × 58 inches ) est une huile sur toile polychrome réalisée en 1964, par Norman Rockwell.Exposé dans le Musée Norman Rockwell à Stockbridge, Massachussetts ( Etats-Unis ), il a été prêté à la Maison Blanche d’Octobre 2010 à juillet 2011.
Le tableau a été réalisé pour illustrer la double page centrale du magazine ‘Look’ du 14 janvier 1964. Cela faisait moins d’un an que Rockwell collaborait avec ce bimensuel à très fort tirage, fondé en 1937 aux Etats-Unis, et qui jusqu’à sa disparition en 1971, proposait à ses lecteurs un contenu où l’accent était mis sur l’image plus que sur les articles. Rockwell y intervenait en tant que commentateur de faits d’actualité, ce qui lui laissait une liberté de création qu’il n’avait pas connue au ‘Saturday Evening Post’ pour lequel il avait travaillé pendant 40 ans. Un peu d’Histoire Qu’est-ce que la ségrégation raciale ? Retour haut de page Contexte politique de l’oeuvre. Diana Ross : biographie, news, discographie, photos, vidéos - Nostalgie. DiAna est encore au lycée quand elle devient le dernier membre d'un quartet féminin Black, les Primettes.
Motown, le label musical qui a fait de la musique noire un succès commercial, signe très vite MAry Wilson, Barbara Martin, Florence Ballard et Diana Ross et les rebaptise The Supremes en 1961.DiAna s'affirme bientôt comme l'élément déterminant de la formation et passe du statut de choriste à celle de leader. Très vite, les jeunes femmes se retrouvent en concurrence avec les Beatles pour le titre du groupe le plus populAIRe de la planète.
Elle placent consécutivement 14 titres à la première place des hit-parades, dont le légendAIRe "Stop ! In the Name of Love ". En 1967, le groupe devient Diana Ross and The Supremes afin de tenir compte des goûts du public. Elle se marie avec l'homme d'affAIRes Robert Silberstein dont elle divorce peu après, à cause de sa liaison avec Gordy. Malcolm Little dit Malcolm X. Homme politique américain (Omaha 1925-New York 1965).
Fils d'un pasteur baptiste, il connaît la prison pour avoir commis des actes de délinquance. À la fin des années 1940, il adhère à The Nation of Islam, mouvement marqué par une pratique hétérodoxe de l'islam, un fort nationalisme noir et le rejet des Blancs. En 1952, Malcolm Little entre dans le mouvement des Black Muslims, changeant son nom en Malcom X, rejetant ainsi son « nom d'esclave ». Il suit Elijah Muhammad et pousse ce dernier à adopter l'idée d'ériger à l'intérieur des États-Unis une république noire qui en serait totalement indépendante.
Mais les deux hommes se séparent en mars 1964. Après avoir justifié l'assassinat du président John F. Martin Luther King. Pasteur américain (Atlanta, Géorgie, 1929-Memphis 1968).
Leader pacifique de la lutte pour la reconnaissance des droits civiques des Noirs aux États-Unis, Martin Luther King paya de sa vie son « rêve » d’égalité politique et économique. À ce titre, il reste une figure mythique de l’Amérique des années 1950 et 1960. 1. L'arme de la désobéissance civile. Malcolm X, l'apôtre de la violence. En février 1965 à la mort de Malcolm X le journaliste Gilles Lambert décrit dans Le Figaro littéraire sa rencontre, à Harlem au printemps 1964, avec le leader religieux et nationaliste noir américain.
Malcolm né le 19 mai 1925 dans le Nebraska, est le fils d'un prêcheur baptiste, Earl Little. En 1940 il se rêve en avocat mais un de ses professeurs le décourage vivement, arguant que ce n'est pas un objectif réaliste pour un noir. Il regresse scolairement à mesure que sa colère grandit. Abandonnant le collège l'année suivante, il vit de petits boulots et entre dans la délinquance et la criminalité.
Il est arrêté à la suite à de cambriolages et condamné à dix ans de prison en 1946 . C'est au cours de son incarcération qu'il se convertit à la théologie du groupe sectaire musulman afro-américain, «Nation of Islam» (NOI). Article paru dans Le Figaro littéraire du 25 février au 3 mars 1965. Home - Classic Motown. Motown-Stax, la rivalité des labels. Une nouvelle fois, le Sud affronte le Nord.
D’un côté, la maison Stax, installée dans un cinéma désaffecté de Memphis, Tennessee. De l’autre, dans la capitale automobile Detroit, le label Motown. Les deux maisons produiront l’essentiel de la musique noire américaine des années 60 et l’exporteront dans le monde entier. Auparavant, la musique des Afro-Américains dépassait rarement les frontières de la communauté. Il y avait des radios et des magasins de disques pour les Noirs et l’hebdomadaire professionnel Billboard classait les ventes de cette musique sous l’étiquette de «race records» ! Cette «musique de race» n’intéresse guère les gros labels, qui abandonnent le terrain aux studios régionaux. J’ai dans mon cœur un General Motors - Compagnie Vous êtes Ici, Julien Villa - Les spectacles.