L’histoire de Cloé, 11 ans, atteinte d’une leucémie, qui aimerait tant que son voisin n’épande plus de pesticides par Nolwenn Weiler 22 septembre 2020. Ce matin, Cloé a enfilé une robe rouge à pois blancs.
Puis elle a serré un foulard assorti sur sa tête sans cheveux. D’une voix claire et très assurée, l’enfant de 11 ans explique que les médicaments qu’elle prend sont parfois écœurants : « À boire, c’est pas bon, ça me fait vomir ». Certains lui donnent le cafard. Ces jours-là, elle ne veut, ni ne peut plus rien faire. Elle craque, et rêve de redevenir « comme avant ». De longues semaines à l’hôpital En octobre 2019, Cloé était fatiguée. Il a d’abord fallu faire un prélèvement de moelle osseuse, pour affiner le diagnostic, puis Cloé est passée en salle d’opération, pour qu’on lui pose un cathéter. Des effets secondaires multiples Autres souvenirs pénibles pour Isabelle : les moments où l’on enfonce une aiguille dans le dos de sa fille pour lui injecter directement des anticancéreux dans la moelle épinière. Les médicaments administrés lors des traitements de chimio détruisent les cellules cancéreuses, ou limitent leur croissance.
Can’t eat gluten? Pesticides and nonstick pans might have something to do with it, study says. It seems like everyone knows someone with a sensitivity to gluten — a protein mixture found in cereal grains, like wheat and barley.
A third of all Americans say they avoid products with gluten in them, and grocery store shelves are overflowing with gluten-free products that didn’t exist a decade ago. For roughly 1 percent of the planet’s population, eating gluten triggers a genetic immune response called celiac disease that has wide-ranging consequences. The disease’s symptoms range from mild, like diarrhea, fatigue, gas, to severe. Think nausea and vomiting, osteoporosis, infertility, neurological problems, and even the development of other autoimmune diseases. The root causes of celiac disease have largely stumped epidemiologists. “Our study establishes the first measurable tie-in between environmental exposure to toxic chemicals and celiac disease,” Jeremiah Levine, a coauthor and a professor of pediatrics at NYU Langone Medical Center, said.
They uncovered some surprising results. Vert de rage : Des décès par pesticides - France 5 - 04-06-2019. Ces pesticides qui empoisonnent des enfants - France 5 - 04-06-2019. DANGER AUTISME : interdisons le chlorpyriphos ! Personne n'en parle, et pourtant les chiffres sont hallucinants : le nombre d'enfants atteint d'autisme est en croissance exponentielle dans le monde entier !
En France, il n'y a pas de « données officielles » ... mais aux Etats-Unis, le très sérieux Center for disease Control and Prevention a publié des chiffres alarmant : de 1/300 naissance en l'an 2000, on est passé à 1/100 en 2010 et maintenant à 1/68 ... Les conséquences sont dévastatrices pour les enfants qui nécessitent un accompagnement à vie, les familles, et sans oublier le coût que cela représente pour la sécurité sociale. Cancers d'enfants à Preignac. Des insecticides retardent le développement cognitif chez l'enfant.
Pas une année sans que de nouvelles découvertes inquiétantes sur l'impact sanitaire des pesticides ne paraissent.
Ici, c'est une étude de l'Inserm qui démontre le rôle des insecticides pyréthrinoïdes dans les retards cognitifs chez l'enfant. Les pesticides présents notamment dans les anti-poux, anti-moustiques et autres traitements vétérinaires anti-insectes seraient toxiques pour le développement cognitif des enfants. Dit comme ça, cela peut paraître trivial, mais une étude parue dans Environmental International le prouve scientifiquement. Des chercheurs de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et des psychologues de l'université de Rennes y montrent le lien entre l'exposition aux insecticides pyréthrinoïdes et une baisse significative des performances cognitives de l'enfant. Or, "les conséquences d'un déficit cognitif de l'enfant sur ses capacités d'apprentissage et son développement social constituent un handicap pour l'individu et la société.
Hyperactivité chez l'enfant : les pesticides mis en cause. Les polluants et pesticides responsables de malformations génitales chez les enfants. Une étude des professeurs Charles Sultan et Nicolas Kalfa du Centre hospitalier régional de Montpellier (CHRU), publiée dans la revue European Urology, a mis en évidence le lien entre exposition des parents aux pesticides, polluants ou perturbateurs endocriniens et malformations génitales chez l'enfant.
L'hypospadias est une affection des voies génitales qui touche en moyenne 3 enfants sur 1000 : elle se manifeste par une ouverture de l'urètre sur la face inférieure de la verge. Cette malformation peut avoir une incidence sur la fertilité à l'âge adulte. 600 enfants, dont 300 atteints d'hypospadias ont été étudiés pendant 5 ans par les chercheurs dans les hôpitaux de Montpellier, Bordeaux, Nice et Marseille. Professions et lieux de vie à risques Les lieux d'habitation ont une incidence sur ce phénomène. Le Professeur Sultan s'alarme également de l'explosion du nombre de garçons naissant avec un micro pénis et développant des glandes mammaires à la puberté.