'Transracial' man, born white, says he feels Filipino. TAMPA, Fla. -- Riding in a flamboyant purple vehicle, Ja Du shows up to a coffee shop to open up about his new identity.
Ja Du, born a white male named Adam, now considers himself Filipino. Turns out, the purple ride he drives around in is called a Tuk Tuk, an Asian-derived vehicle used for public transit in the Philippines he says. Ja Du is part of a small, but growing community of people who considers themselves transracial. It refers to someone born as one race, but identifies as another. Sounds weird? “Whenever I’m around the music, around the food, I feel like I’m in my own skin,” he said.
“I’d watch the History Channel sometimes for hours, you know, whenever it came to that and, you know, nothing else intrigued me more but things about Filipino culture.” If you’re thinking this sounds familiar, you might remember the story of Rachel Dolezal. After she appeared on an episode of the TV show Dr. Cet Américain blanc «transracial» a décidé de se vivre comme Philippin. Temps de lecture: 2 min — Repéré sur USA Today Ja Du est un Américain blanc –son vrai prénom est Adam– qui vit en Floride et se considère «transracial».
Comme une personne transgenre, qui a une identité sexuelle différente de celle de sa naissance, une personne «transraciale» pense que son identité ethnique de naissance n'est pas la bonne. Dans le cas de Ja Du, il se définit comme philippin plutôt qu'américain. Il conduit même un tuk-tuk rose, ces tricycles motorisés communs dans plusieurs pays d'Asie du Sud-Est, et explique qu'il se sent vraiment à l'aise dans cette culture.
«Quand j'entends la musique, quand je mange la nourriture, je me sens bien dans ma peau», a-t-il expliqué à la télé locale de Floride. Cette fascination remonte à plusieurs années: «Je passais des heures à regarder une chaîne historique... et rien ne m'intriguait plus que la culture des Philippines.» Premières moqueries Le sujet du transracialisme est controversé aux États-Unis. POUR DÉFENDRE LE TRANSRACIALISME – Les ateliers de l'éthique. Nous traitons généralement les gens de façon inacceptable quand nous les empêchons d’adopter l’identité qu’ils désirent.
Par exemple, si une personne s’identifie si intensément à la communauté juive qu’elle désire devenir juive, il serait inacceptable de l’empêcher de suivre des cours de conversion à cet effet. Cet exemple révèle qu’il y a au moins deux composantes à une transformation d’identité réussie : (1) l’identification personnelle d’une personne et (2) la volonté sociale de reconnaître l’identification ressentie de cette personne en lui accordant l’appartenance au groupe désiré.
Par exemple, si le rabbin croit que votre engagement envers le judaïsme n’est pas sérieux, elle peut faire obstacle à votre conversion. Néanmoins, la possibilité du rejet révèle qu’en l’absence de fortes considérations contraires, la transition vers une catégorie d’identité différente est souvent acceptée dans notre société. Quelles sont les implications pour la race ? Ce n’est pas tout. Le transracialisme existe-t-il? (et pourquoi serait-il moins accepté que la transidentité?) Kelly a perdu sa femme et sa fille dans un accident de voiture.
Il revient à Baltimore, où il accepte un poste de manager dans une station de radio locale. Là-bas, sur le parking d’un supermarché asiatique, il croise un homme noir. Un étrange sentiment de familiarité le prend au corps. Cet homme-là, il le connaît, c’est certain. Mais impossible de dire qui il est précisément... Dans Your face in mine, un roman sorti en 2014, Jess Row raconte l'histoire fictive d’un homme qui souffre d’une maladie qui n’a sûrement encore jamais été diagnostiquée: «dysphorie raciale». Est-ce qu’on peut être noir ou noire de peau, et se sentir profondément blanc ou blanche, ou inversement, être blanc ou blanche de peau, et se sentir profondément noir ou noire?
«Cela a toujours été au fond de mon cœur» Au moment où l’affaire éclate, Rachel Dolezal est responsable d’une section locale de la NAACP, l’une des plus anciennes associations de défense des personnes noires. Puis elle tourne les talons et s'enfuit. L'enjeu vital de l'identité. 1L’humanité a affaire à deux problèmes majeurs.
Le premier est de survivre, le second de vivre. On survit quand on dispose des moyens matériels afin d’assurer sa subsistance. Hobbit Office - SNL.