Discrimination associated with mental health woes in black teens | AAP Gateway. Discrimination Tied to Mental Health Problems for Black Teens. Update Date: May 03, 2014 10:40 AM EDT Discrimination, whether it is related to race, sex or age, can have a negative impact on people's mental health regardless of age. In a new study, researchers focused specifically on the effects of discrimination on the mental health of African-American and Afro-Caribbean teenagers. They found that when this group of adolescents was exposed to racial discrimination, they had a greater chance of developing mental health problems.
"Our study looked at the relationships between perceived racial discrimination (racism) and various mental health issues. We wanted to see if African-American and Afro-Caribbean teenagers who experienced racial discrimination have higher rates of depression, anxiety or social phobia," said lead author Dr. For this study, the researchers examined data collected by the National Survey of American Life. The researchers discovered that 85 percent of the teens had experienced racial discrimination. "Sixty years after Brown vs. Noir, pas black / "Noir" not black - english subtitles - ARTE. Huffingtonpost. #SiLesNoirsParlaientCommeLesBlancs, le hashtag qui dénonce les clichés racistes - Image. Ce qui s'applique à une culture, ne s'applique pas obligatoirement à une autre...Ces tweets en sont le parfait exemple: il n'y a là que l'esprit vexé et revanchard de personnes de couleur saoulées d'entendre ce qui s'applique objectivement toujours à elles.En tant que blanc, ça ne me choque pas de lire cela puisque ça ne peut pas s'appliquer à nous.
Ca jure tellement c'est impossible.En fait il aurait fallu tweeter des clichés qui s'appliquent vraiment aux blancs (comme le fait de ne pas savoir danser par exemple, etc) et pas simplement transférer ce qu'on dit souvent aux noirs, à nous même...Et pour en revenir à la polémique, oui les noirs sont souvent victimes de clichés parce qu’ils en sont malheureusement les premiers acteurs. Je pense, pour ma part, que la plupart sont nonchalants, complètement ignorants des règles élémentaires de politesse et de savoir vivre et pas pudiques pour un sous (cfr: un noir au tél tu l'entends à l'autre bout de la rue). Et voilà toute la différence... Faces of black children as young as 5 evoke negative biases. A new study suggests that people are more likely to misidentify a toy as a weapon after seeing a Black face than a White face, even when the face in question is that of a five-year-old child.
The research is published in Psychological Science, a journal of the Association for Psychological Science. "Our findings suggest that, although young children are typically viewed as harmless and innocent, seeing faces of five-year-old Black boys appears to trigger thoughts of guns and violence," said lead study author Andrew Todd, an assistant professor of Psychological and Brain Sciences at the University of Iowa.
The inspiration for the series of studies, conducted by Todd and University of Iowa colleagues, Kelsey Thiem and Rebecca Neel, began with a real-life observation: "In this case, it was the alarming rate at which young African Americans -- particularly young Black males -- are shot and killed by police in the U.S. ," explains Todd. Disclaimer: AAAS and EurekAlert! Niafou Is The New Punk™ – badassafrofem. Image: Ma sista @nonintegre arborant fièrement le slogan « Niafou Is The New Punk » lors du défilé du #8MarsPourToutes 2015, dans le cortège Afroféministe, célébrant le #8MarsDecolonial (Ce post a vocation à vous expliquer la genèse du slogan "Niafou Is The New Punk", qui est le titre d'un article que j'avais écrit suite à Bandes de Filles et que je souhaitais publier sur Slate, le temps a passé, le film était trop loin et j'ai donc oublié cet article.
En ce jour de la Journée Internationale du Droit des Femmes et après cette marche historique -1er cortège Afro-féministe depuis 30 ans à Paris-; il me semble approprié de réexpliquer pourquoi je/nous ne sommes pas des "bonnes Noires" et comment cette affirmation s'articule dans une lutte d'émancipation) Le film Bandes de Filles a fait ressurgir un débat récurrent au sein de la communauté noire : celui du devoir d’exemplarité. La honte de la «mauvaise» Noire Derrière les Niafous, la politique de respectabilité Et de se demander pourquoi. Ce que le mot « racisé-e » exprime et ce qu’il masque. Dans un article paru en octobre 2014 à l’occasion de la sortie en salles aux Etats-Unis de Dear White People (texte traduit et publié sur ce site au moment de la sortie du film en France), Stephen Kearse pose d’emblée que « la plus grande puissance du racisme est sa capacité à simplifier radicalement le monde », à rendre celui-ci « univoque ».
La tâche fondamentale de tout travail antiraciste consiste alors selon lui à « contester et [à] saper cette simplicité artificielle, en exposant la complexité implacable du monde ». L’étude du terme « racisé.e » et de ses usages permet justement de mettre à jour à la fois la manière dont les simplifications et réductions du racisme imprègnent l’antiracisme même, mais aussi comment le vocabulaire antiraciste – et plus particulièrement ce terme – peut être porteur de complexifications et de clarifications politiques salutaires.
C’est toute l’ambigüité des usages du mot « racisé.e » dont nous aimerions ici discuter. Centralité de la race. BALLAST Antiracisme et lutte contre l’homophobie : retour aux convergences. Traduction inédite, en français, pour le site de Ballast À l'heure où certains s'interrogent et s'inquiètent de la montée de « l'homonationalisme » (« Toutes les Folles ne sont pas au Front », clamait très récemment, non sans provocation, l'affiche de la Gay Pride de Metz) et où le Parti des Indigènes de la République peut très tranquillement affirmer que « les habitants des quartiers ne souhaitent pas politiser leur sexualité », il n'est pas inutile de rappeler les convergences qui eurent lieu, dans les années 1970, entre les mouvements antiracistes, anticapitalistes, féministes et partisans de la lutte contre l'homophobie.
Nous avons pour ce faire traduit ce texte, paru il y a quelques semaines dans la Socialist Review, sous la plume de Noel Halifax, auteur de l'ouvrage Out, Proud & Fighting. Au printemps 1970, les Black Panthers se trouvaient en difficulté. L'une des figures majeures du BPP, Eldridge Cleaver, avait fui à Cuba puis en Algérie, de crainte d'être assassiné ou arrêté. Témoignage : " C'est une femme voilée comme vous qui portait une ceinture d'explosifs "
"Aujourd'hui, en allant acheter un sandwich, des policiers m'interpellent sur un rond point. Je me gare sur le côté. No stress Safiya tout va bien, ils demandent tes papiers, t'as ton permis ton assurance ta carte grise. J'étais loin de la réalité. Loin d'avoir déchiffré les réelles motivations de ces policiers. Ils ont fouillé ma voiture, fouillé mon coffre. En attendant, un homme passe en voiture, ralentit, descend sa vitre et crie " L'ISLAM DEHORS".
L'Islam dehors ? Je tremble d'émotions -haine, tristesse, désespoir , je ne sais pas trop. Ce sont les ordres. Et alors? Ce sont les ordres, sécurité nationale, Etat d'urgence. Triste que les choses tournent ainsi. "Mais non elle te regarde de cette manière parce qu'elle te trouve jolie, pas parce que tu portes le voile ". Heureusement Ét j'espère que ce sera toujours le cas, la communauté française prenant de telles positions emplies d'amalgames, reste rare ...