Memoire ALLARD SOPHIE. Le journalisme en invention - 3. Dis à qui tu te donnes…La presse quotidienne gratuite ou le marketing du don. 1Le 18 février 2002 est déjà une date de l’histoire de la presse française.
Tôt le matin, ils sont en place à la sortie du métro. On les voit de loin, ils portent les couleurs du journal qu’ils distribuent. Ils sont nombreux, les bras chargés de quotidiens qu’ils tendent aux passants surpris. Vite quelques mots : « c’est nouveau, c’est pour vous, c’est gratuit, ne le jetez pas par terre quand vous l’aurez lu ». Influencia : tendances, innovation et communication. Les nouveaux business model de la presse magazine - Médias. L'institut d'études Xerfi s'est penché sur le devenir économique de la presse magazine à l'ère de l'omnicanal et fait le point sur les leviers de croissance et de monétisation.
Si le digital remet en cause les grands équilibres économiques du marché et fait évoluer les règles du jeu, il ouvre de nouvelles perspectives, pour peu que les éditeurs accélèrent leur transformation digitale et adaptent leur business model. Un nouvel écosystème médiatique La révolution numérique abolit les frontières entre les canaux : " Là où il y avait un marché de la presse magazine, il y a désormais un nouvel écosystème médiatique qui s'insère dans un continuum du print à Internet, des écrans connectés à l'évènementiel ", rapporte l'étude réalisée par Precepta (Xerfi) "Les nouveaux business models de la presse magazine - A l'ère de la diffusion multicanale et de la valorisation des actifs stratégiques".
Plusieurs modèles d'affaires : cession de titre, internationalisation, développement des services. Analyse du secteur de la presse. Sans titre. Sans titre. Presse gratuite. Un environnement délicat pour la presse gratuite Avec une croissance du marché publicitaire au ralenti jusqu'en 2015, la presse gratuite, dont le financement repose sur la seule publicité, est en mauvaise posture.
Il faut dire que les habitudes de rationalisation des dépenses de communication se sont enracinées dans le comportement des annonceurs. Ces derniers ont par ailleurs de plus en plus tendance à transférer leur budget de communication du print vers Internet pour profiter de ses nombreux atouts (tarifs attractifs, interactivité, etc). Sans oublier que dans un contexte de demande morose, l'explosion de l'offre de supports et de médias pèse considérablement sur les tarifs des espaces publicitaires. Dès lors, comment la presse gratuite va-t-elle affronter cette situation ? La presse gratuite d'information continue d'attirer les annonceurs… Malgré un environnement peu porteur, la presse gratuite d'information (PGI) affiche une vigueur étonnante.
Mais peine à être rentable 1. 2. 1. 2. Mythologie de la presse gratuite. Au sommaire Erratum Page 6, ligne 4 : lire 1631 et non 1531 pour la Gazette de Théophraste Renaudot.
L’impact de la presse gratuite dans l’économie du secteur. Aujourd’hui la presse écrite est en train de vivre une crise sans précèdent, mise à mal par les sites Internet d’information gratuits et la presse gratuite[1].
Grâce au Web sont nées des nouvelles formes d’information et de journalisme, qui ont modifié largement les habitudes du lectorat. Celui-ci se contente de plus en plus de la presse gratuite en ligne. Annuaire de la Presse Gratuite. Le chiffre d’affaires global de la presse française en baisse. Selon les chiffres (provisoires) du ministère de la Culture et de la Communication, le chiffre d’affaires global de la presse française est en recul sur l’année 2013.
Par rapport à 2012, le CA recule de 5,3 % à 8,255 milliards d’euros. Outre ces chiffres, tous les autres indicateurs sont en baisse : la vente au numéro baisse de 5,91 % et la publicité de 8,23 %, toujours par rapport à 2012. Seuls les abonnements résistent un peu mieux en n’affichant qu’une légère baisse de 0,78 %. « La presse écrite s’installe maintenant de façon durable dans une phase négative », a estimé le ministère dans un communiqué. Et le numérique n’est, pour l’heure, pas encore assez important pour corriger cette baisse. Crédit photo : Palagret via Flickr (cc) Presse gratuite. Quel positionnement sur le marché publicitaire ?
Un nouveau business : la presse gratuite. 14 Presse xviiie siècle qu'ils apparaissent massivement, dans le foisonnement des idées prérévolutionnaires - et révolutionnaires également, malgré la censure.
Différents de la première catégorie de gratuits par l'affichage clair et net de leur caractère polémique, ils ont connu des succès variables, au cours du temps. Ils sont très répandus aujourd'hui si l'on classe parmi eux les journaux de propagande politique dont les caractéristiques les plus courantes se résument ainsi : - ils sont en général publiés par un élu local (député, maire, etc.) ou un candidat à une fonction élective, avec le soutien de sa cellule, de sa section, ou de ses « amis » ; - ils ont une périodicité irrégulière, quoiqu'ils se définissent comme hebdomadaires, mensuels ou trimestriels; en fait, leur publication est intimement liée au « timing » des campagnes électorales.
Activation mode d’emploi : comprendre le shopper marketing. Face à la fragmentation des médias et aux exigences d’un client multicanal et hyper-connecté, le contact devient le premier influenceur d’achat.
Le nouveau défi du marketing ? Rapprocher les consommateurs des marques en leur faisant vivre une expérience unique. Bienvenue dans l’ère du shopper marketing. De nouveaux schémas de communication « Hier le pouvoir appartenait à celui qui détenait l’information, aujourd’hui à celui qui la partage ». La presse gratuite en mauvaise posture. Ce n'est pas la presse gratuite qui signera l'arrêt de mort des médias "traditionnels", c'est-à-dire payant.
Contrairement aux craintes nées lors de son apparition, la presse gratuite, qu'elle soit d'annonces ou d'information, n'a pas réussi à chambouler l'ordre établi et son avenir ne se présente pas sous les meilleurs auspices. Les experts du centre d'études Xerfi, dans leur étude intitulée "La presse gratuite à l'horizon 2015", prédisent même de grosses difficultés dans les prochaines années. Selon eux, la presse gratuite d'annonce file tout droit vers une mort certaine "dans les dix prochaines années".
Le chiffre d'affaires de la presse gratuite d'annonces en recul de 52% depuis 2007 Si les modèles économiques des journaux de presse gratuite d'annonce et d'information sont très proches - ils sont tous deux basés uniquement sur les revenus liés à la publicité -, leurs résultats en matière de rentrées d'argent diffèrent considérablement. La presse quotidienne que l’on dit « gratuite. Dernier épisode du déclin de la presse gratuite d’annonces, la mise en liquidation judiciaire, le 3 novembre 2011, de la Comareg et de son centre d’impression, Hebdoprint.
Cette faillite de filiales du groupe Hersant Média (GHM), de sinistre réputation [1], provoque le licenciement de 1650 salariés : triste record des plans de licenciement de l’année 2011, après celui de 758 salariés en février dernier dans le même groupe. La Comareg éditait Paru Vendu, le numéro 1 de la presse gratuite d’annonces, en France avec 280 éditions locales et 15 millions de lecteurs hebdomadaires. Endettée à hauteur de 250 millions d’euros, la Comareg, et surtout ses salariés, sont victimes de la migration et de la gratuité des petites annonces sur Internet, qu’elle n’a pas su anticiper.
Le « gratuit » se vend bien Une telle progression est unique dans l’histoire de la presse quotidienne.