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Impression 3D

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Des vaisseaux sanguins développés à partir d’impressions 3D. Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Der Tagesspiegel, PNAS, Deutschlandfunk S’il est aujourd’hui possible de créer des prothèses dentaires ou osseuses en ayant recours à une imprimante 3D, cette technologie ne permet pas encore d’obtenir des organes artificiels, en raison de la complexité de leur micro-architecture. Les essais d’impression de tissu vivant vascularisé qui ont été menés jusqu’à présent ne fonctionnent que sur de très petites surfaces, qui n’excédent généralement pas un centimètre cube.

Mais les travaux menés par des chercheurs de l’Institut Wyss, à l’Université d’Harvard, pourraient bien changer la donne, rapporte le quotidien berlinois Der Tagesspiegel. La chercheuse Jennifer Lewis et son équipe sont parvenus à imprimer du tissu vivant de la taille d’un doigt, en utilisant une «encre» contenant différents types de cellules, de la gélatine, du fibrinogène, des enzymes et des facteurs de croissance. Vascularisable. Comment des chercheurs ont reconstitué le visage d’une adolescente grecque morte il y a 9.000 ans. Temps de lecture: 2 min — Repéré sur National Geographic Elle s’appelle Avgi et la dernière fois que sa tête a été aperçue, elle vivait en Grèce il y a près de 9.000 ans. Et sans les technologies modernes n’ont n’aurions probablement jamais été capables de savoir à quoi ressemblait cette adolescente du Mésolithique. Greek scientists after studying her skull, reconstructed the face of a 20 year old woman who lived in Greece 9,000 years ago. Her name ''Avgi'' meaning Dawn in Greek.

#Acropolis_museum pic.twitter.com/jf438LWtjF — Chryssa -Avgi Meleti (@chryssameleti) January 19, 2018 Le visage reconstitué de cette jeune femme a été dévoilé cette semaine par des chercheurs de l’Université d’Athènes au Musée de l’Acropole. La reconstruction du visage d’Avgi a été un processus long et complexe, mené par une équipe comportant un endocrinologue, un orthopédiste, un neurologue, un pathologiste, un radiologiste ainsi qu’un archéologiste suédois. Recherche maison imprimée en 3D, deux chambres, un balcon. Temps de lecture: 2 min — Repéré sur The Guardian Après avoir réussi l'impression d'un pont en 3D en octobre dernier, les Pays-Bas sont le premier pays du monde à accueillir des maisons viables imprimées en 3D, dans la ville d'Eindhoven, en Hollande.

Une invention qui pourrait révolutionner le monde de la construction. Intitulé Project Milestone, il est porté par l'entreprise Van Wijnen, la municipalité et l'université d'Eindhoven. Décrites comme «d'imprévisibles blocks entourés de verdure», ces maisons montrent que l'impression 3D permet une large liberté dans la forme, là où les constructions traditionnelles sont beaucoup plus rigides. Dès l'année prochaine, cinq de ces maisons seront proposées à la location. La plus petite, avec deux chambres, a déjà reçu les propositions d'une vingtaine de familles à peine une semaine après la diffusion des premières images.

Moins de ciment, plus écolo Pour le moment, l'imprimante ne s'occupe que des murs intérieurs et extérieurs des logements. Aux États-Unis, il sera bientôt légal de télécharger une arme 3D. Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Washington Post L'impression 3D, merveille de technologie, permet de construire des ponts et de jolies maisons futuristes. Elle pourrait aider la médecine à imprimer de la peau, des organes et même des vaisseaux sanguins. Mais elle a aussi de dangereux pendants. Aux États-Unis, à partir du 1er août 2018, il va devenir tout à fait légal de télécharger un fichier informatique permettant de lancer l'impression 3D d'une arme. Aucun contrôle ne sera effectué en amont, pas de vérifications des antécédents, ni pour les maladies mentales, ni pour les violences domestiques, ni pour les liens avec une entreprise terroriste. «L'ère des armes téléchargeables commence» C'est une association texane pro-arme créée par Cody Wilson, Defense Distributed, qui va diffuser le schéma de construction d'un pistolet à partir du 1er août.

L'association propose déjà des «ghost gun» à assembler soi-même à la maison. Tout ceci est bien légal. Un logiciel pourrait permettre de retrouver les fabricants d'armes imprimées en 3D. Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Université de Buffalo, Vice News Depuis août dernier, les armes imprimées en 3D sont légales aux États-Unis. Ces «ghost guns» «ne disposent d’aucun numéro de série, et sont par conséquent intraçables», s'inquiétait RFI il y a quelques mois. Mais les recherches d'un professeur de l'Université de Buffalo pourraient bien changer la donne. Wenyao Xu, professeur d'informatique et d'ingénierie, a mis au point un logiciel qui permet de retrouver la machine à l'origine de n'importe quel objet imprimé en 3D. L'ingénieur a en effet découvert que chaque imprimante 3D laisse son empreinte sur tous les objets qu'elle «met au monde». Sur chaque fil de plastique qu'elles agrègent par couches pour obtenir un objet, ces machines impriment également de «très légères imperfections», relève Wenyao Xu.

Mais sans «base de données», remarque Vice News, il y a peu de chances que l'espoir du scientifique aboutisse. MakerBot annonce son grand retour avec la Method.