Objets connectés : opportunités et limites | Dossier. Dans son étude universitaire intitulé Objets connectés : opportunités et limites, Jean-Baptiste Bard, étudiant à l’université Dauphine de Paris dresse le tableau des objets connectés et de leur enjeux. Ayant effectué son stage de fin d’études au sein d’une agence de communication digitale spécialisée dans le domaine de la e-santé, Jean-Baptiste Bard a pris conscience de l’engouement de ce phénomène à l’heure actuelle et de son potentiel pour demain. Définition, opportunités et limites sont les principaux axes de sa réflexion.
Demain, les objets connectés auront envahi le quotidien de chacun d’entre nous. L’objet d’étude de cette synthèse est le marché des objets connectés avec ses opportunités ainsi que les limites qu’il rencontre. Tout d’abord, une définition précise des objets connectés me semble un bon point de départ/essentielle. Selon une étude Xerfi, un objet connecté dispose de composants électroniques permettant de communiquer sans fil avec le réseau internet. Santé & Bien-être. Pierre Garner : le design des objets connectés. Pierre Garner est cofondeur d’Elium Studio, une agence de design produit française qui a 15 ans d’expérience.
Depuis 6 ans il s’intéresse plus particulièrement aux objets connectés et collabore avec des sociétés comme Withings. Nous avons pu le rencontrer lors du SiDO, et il nous a donné sa vision du design produit pour les objets connectés. Le design produit au service de l’application Travailler sur le secteur des objets connectés oblige à modifier la manière de concevoir les produits et les services associés. L’évolution du design des objets connectés « Les premiers capteurs d’activité étaient une évolution du podomètre, le premier pulse était une petite boite noire à clipser ou mettre dans la poche. La première est au niveau de l’image : avec les premiers bracelets connectés par exemple, on marquait son appartenance à une partie de la population. La seconde problématique concerne l’usage et plus particulièrement l’autonomie.
Less is More La technologie doit s’effacer. De l'importance du design des objets connectés. Dans l’élaboration d’un objet connecté, on a coutume d’accorder énormément de temps et de moyens au design, tant il est vrai que l’aspect du nouveau produit est son meilleur vecteur de communication. Il faut, pour plaire au plus large public possible, que l’objet connecté corresponde aux canons actuels de beauté. Formes, matériaux utilisés, couleurs : chaque détail compte.
Aujourd’hui, quels sont ces « canons » dans l’univers des objets connectés ? Créer un univers Les attentes des consommateurs sur les objets connectés se situent à mi-chemin entre une reconnaissance d’objets du quotidien issus d’une culture traditionnelle, mais également l’envie d’avoir le regard surpris par des designs futuristes et novateurs. C’est à cette double attente que doivent répondre les designers d’objets connectés. Pour les aider, quelques règles de base permettent de ne jamais se tromper en matière de design connecté. Tenir compte de l’évolution des tendances Less is More « Ils » veulent du quantified self ! Intégrer l’ergonomie dans la conception de produits. L’objectif de l’ergonomie de conception est d’apporter un confort d’usage à l’utilisateur, c’est-à-dire d’éviter les risques d’accident, les efforts superflus, et toute forme de fatigue, qu’elle soit liée au métabolisme de l’organisme, au travail des muscles et des articulations, au traitement de l’information ou au maintien de la vigilance.
Pour que cet objectif soit atteint, il faut commencer par identifier l’utilisateur cible de votre produit. Deux cas peuvent se présenter : soit on cherche à adapter le produit ou le système à une population déterminée (enfants, personnes âgées, etc.) : il faudra alors que vous recensiez les caractéristiques particulières de cette population ; soit on cherche à viser une population aussi large que possible. Il faut dans ce cas utiliser les données relatives à la population générale. vous aider d’outils quantitatifs et statistiques pour estimer la population concernée par tel ou tel profil.
La norme ISO 7250 ; les normes NF X 35-003 et 35-002. Les technologies haptiques, une solution accessible | Ipedis. L’haptique qui évoque étymologiquement le toucher, englobe au sens strict toutes les perceptions du corps dans son environnement. Les technologies haptiques ont surtout été utilisées pour ressentir le contact physique lors de la manipulation d’objets virtuels en 3D. À terme, les technologies haptiques associées aux images de synthèse et environnements 3D, nous immergeront dans des univers virtuels explorables à l’aide de nos cinq sens. A l’inverse des systèmes visuels et auditifs, le sens haptique est capable à la fois de percevoir et d’agir sur son environnement.
Sur smartphone, la technologie haptique évoquée est la « rétroaction linéaire tactile ». L’écran tactile permettrait à l’utilisateur de ressentir des vibrations subtiles en fonction de l’application utilisée mais également de la position du doigt sur l’écran. Au passage du doigt sur un bouton, l’utilisateur ressent une légère vibration qui lui donne la sensation d’appuyer sur un bouton physique. Sources : La Réponse Haptique : futur mode de commande des objets connectés ? Encore peu connus, les haptics font l’objet de recherches tous azimuts de la part des grands fabricants d’électronique.
En particulier, la réponse haptique est envisagée comme le mode de contrôle du futur pour les objets connectés, en particulier les Wearables. L’origine du terme ‘Haptics’ provient du mot grec ‘haptomai‘ qui signifie « je touche » et désigne la science du toucher, par analogie avec l’acoustique ou l’optique. En matière d’internet des objets, les départements R&D de nombreuses sociétés explorent progressivement la possibilité pour les objets connectés de procurer une réponse haptique à l’utilisateur. Le future de la réponse haptique : Il s’agit d’une sensation ressentie par l’utilisateur au niveau de l’épiderme de la peau.
Mais l’avenir de la réponse haptique se dessine de manière bien plus futuriste, grâce aux ultra-sons notamment. Si des brevets existent déjà concernant la réponse haptique dans l’électronique, les cas d’usage sont encore rares. Design, expérience utilisateur, objets connectés. Evolution du nombre d’objets connectés en service dans le monde en milliards (source : IDATE 2013) MINIATURISATION DES FONCTIONS DE COMMUNICATION, CHUTE DU PRIX DE LA BANDE PASSANTE ET DU STOCKAGE (CLOUD) Permet de démultiplier les objets connectés et de générer des données avec une grande fiabilité. Le contexte actuel constitue une opportunité unique pour développer une filière industrielle des objets du quotidien, appuyée sur les atouts de l’industrie traditionnelle et dynamisée par le design et la robotique de service.LES SMART DATA Les objets connectés contribuent non seulement à la collecte et à la communication des données mais aussi de plus en plus à leur exploitation.
VERS LE MONDE INTELLIGENT Comment le monde sensible (l’environnement physique) va-t-il devenir intelligent ? De nombreux scénarios sont élaborés, décrivant comment rendre connectés ou intelligents des objets qui ne le seraient pas nativement, par le biais de puces communicantes. Le Design, un levier d’innovation. Adopter l’approche « design thinking » pour innover - InnovationWeek France. S’inspirer du mode de pensée des designers pour innover ? Pourquoi pas ! Avec l’approche du design thinking. Quelles sont les étapes clés de cette démarche ? Comment l’intégrer à l’innovation en entreprise ? L’équipe du HUB Institute s’est rendue à la D-School de Stanford dans la Silicon Valley et a rapporté quelques clichés illustrant la méthode de design thinking dans cet article.
Qu’est ce que le design thinking ? Selon la définition de Tim Brow, qui a largement contribué à populariser la méthode avec son agence de design IDEO, le design thinking est une « approche centrée sur l’humain et qui utilise les outils des designers pour inclure les besoins des personnes, les possibilités de la technologie et les prérequis pour un succès commercial ». L’expérience utilisateur est au cœur des stratégies marketing de demain. Une méthode en 5 étapes formalisée à la D-school de Stanford La D-School de Stanford est l‘école de design thinking de la Silicon Valley. . #1 : Empathie #2 : Cadrer #5 : Tester.
Intégrer l’ergonomie dans la conception de produits. Evolution : de la domotique à la maison intelligente. La société Hakisa est une entreprise qui propose des hub sociaux pour « humaniser les technologies domotiques en recentrant leur usage sur l’utilisateur et permettre aux objets connectés d’avertir les proches du senior en cas de chute pour qu’ils puissent trouver une solution au problème ». Grâce à une compilation de chiffres issus en 2015 via les grands groupes d’étude, Hakisa a réalisé une infographie sur l’évolution de la maison intelligente dont voici notre décryptage. Etat des lieux de la domotique en France La domotique, ou robotique domestique existe en France et dans de nombreux pays depuis quelques années déjà. Nous connaissons les robots ménagers pour faire la cuisine, les aspirateurs robots, et autres appareils automatisés créés pour nous faciliter la vie.
En 2015, la France est le deuxième marché pour la domotique et représente 900 millions d’euros. 30% des français possèdent un objet connecté dans leur maison (alarme, TV, électroménager …) et 56% prévoient d’en acheter un.