Cap sur le nautisme pour la consommation collaborative. L’industrie nautique française est leader mondial de la voile, du pneumatique, de la glisse, et parmi les premiers producteurs de bateaux à moteur.
Elle représente plus de 5 000 entreprises, pour près de 40 000 emplois et plus de 4,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Plus de 500 000 bateaux étaient en activité en 2013. 9 millions de personnes pratiquent occasionnellement le nautisme, 4 autres millions sont des plaisanciers réguliers. Il s’agit de toute évidence d’une activité importante dans l’hexagone. Elle pourrait le devenir encore plus avec l’émergence d’une offre collaborative toujours plus large, celle des locations entre particuliers, de quoi démocratiser encore la pratique du bateau.
Les chiffres du nautisme en France sont impressionnants. La consommation collaborative s’invite Sur ces sites, l’offre de bateau est présentée par type, et/ou par localisation (région, ville, mer…). Le partage et la communauté Le "Nautic Start-up Contest" Alain Wagener Like this: J'aime chargement… Créer, collaborer, animer un réseau : Ressources pratiques. Où trouver des contenus de formation et des guides sur le travail collaboratif ?
Lilian Ricaud (chercheur, consultant et formateur) propose sur son site un dossier complet sur ce type de ressources : Contenus de formation et des guides sur le travail collaboratif en réseau ouvert avec une mise à jour régulière. Il s’agit de contenus de formation sur les outils, les pratiques, l’animation de réseau, des études de cas, la présentation de logiciels, tutoriels et didacticiels, dossiers et guides, fiches ressources qui font l’objet d’articles spécifiques sur le blog de Lilian Ricaud. 9 types de ressources pour mener des projets participatifs en ligne Bien évidemment, pour mettre en place des projets collaboratifs, les développer et en assurer la coordination, la participation et le suivi, ces ressources s’avèrent très utiles. Elles font dans la praticité et sont directement accessibles via 9 rubriques : Travail coopératif : outils, usages, animation Bibliothèque de la coopération. Atelier sur l’économie circulaire - Prochaine session à Québec le 24 février 2015.
Par Frédéric Bouchard 25. novembre 2014 07:00 L’économie circulaire consiste à réintroduire dans le cycle d’utilisation toutes les matières qui ont terminé leur cycle d’utilisation.
Parfois cela se fait de façon simple, comme par la collecte des matières recyclables. Parfois plus de réflexion est requise lorsqu’il s’agit de rebuts post-industriels ou de rejets de centre de tri. Afin de démystifier l’économie circulaire et son potentiel de développement économique, Second Cycle anime un atelier qui combinera théorie et séance pratique en groupe pour partager vos problématiques et discuter de pistes de solution. Inscrivez-vous! ► Contenu Historique et définition de l’économie circulaire;Exemples à succès de l’économie circulaire;Les 10 stratégies pour appliquer l’économie circulaire. Différence entre eco-efficiency (éco-efficacité) et eco-effectiveness (éco-bénéficience) Une nouvelle approche de la gestion des déchets : présentation du CRADLE TO CRADLE au Salon Pollutec 2011.
Pour répondre à cette question, William MCDonought et Michael Braungart, respectivement architecte & designer américain et professeur allemand d’ingénierie des processus ont rédigé ensemble le livre CRADLE TO CRADLE (C2C) - Manifestô Alternatives, 3ème édition de 2011 où ils proposent de créer et recycler à l’infini. « BEING LESS BAD IS NOT BEING GOOD » - "Faire moins mal n’est pas bon" en bleu : C2Cen rouge : notre système de production actuel. C2C, nouveau paradigme. Un ordre de grandeur un peu surréaliste mais scientifiquement prouvé, confirme que la masse totale des êtres humains ne représente que le quart de celle des fourmis sur terre.
Les premiers détruisent leur environnement, les secondes l’améliorent en permanence ! Le Chimiste allemand Michael Braungart et l’architecte américain William Mc Donough [1] cherchent à (re)mettre les êtres humains au niveau des autres espèces, fourmis incluses ! Quoi qu’on en pense, il ne s’agit pas d’un retour en arrière mais bien d’un immense bond en avant et d’une vision positive appuyée sur le bio-mimétisme (étude des solutions trouvées dans le monde vivant, pour améliorer la qualité de notre quotidien). Belgique : un vieil immeuble mal isolé devient le must de l'habitat écolo. Photo de l'immeuble.
Crédit photo © D.R. « Rien ne se perd, tout se transforme ». La devise de Lavoisier s'applique aujourd'hui au secteur du bâtiment. À Genval, en Belgique, l’immeuble Mazerin est réhabilité depuis avril 2014 selon les principes du « cradle to cradle » ou C2C (littéralement du berceau au berceau) : tous les matériaux servant à sa rénovation sont soit récupérés sur place, soit issus des filières du recyclage. Objectif : faire de cet immeuble des années 1990, autrefois très énergivore, un modèle d’excellence environnementale et de sobriété énergétique. Le label d’économie circulaire le plus exigeant Théorisé dans les années 1980 par le chimiste allemand Michael Braungart et l'architecte américain William McDonough, le C2C impose de ne jamais jeter un produit, en réutilisant tous les matériaux qui le composent.
. « On a essayé de ne rien jeter » Les plaques de liège collées sur les murs, juste avant la membrane végétale. © D.R. Economie Collaborative pour un Développement Durable. Economie Collaborative en France.