Art + Commerce - Image Archive. Patrick Demarchelier : Tirage photo et exposition à Paris. Patrick Demarchelier est un photographe français de mode et de publicité, né au Havre en 1943.
Il est considéré comme l’une des figures majeures de la photographie de mode contemporaine. Biographie de Patrick Demarchelier Patrick Demarchelier commence à s’initier à la photographie à 17 ans, lorsque son beau-père lui offre un appareil photo Kodak. Patrick Demarchelier. David Lachapelle. Comment Guy Bourdin a révolutionné la photographie de mode. En 150 clichés, mélange d’oeuvres inédites et mythiques, l’exposition “Guy Bourdin : The Portraits” montre comment le photographe français a bousculé les codes de la photo de mode.
Irving Penn. A l’occasion de la rétrospective Irving Penn au Grand Palais, la Minute Arty se penche sur l’œuvre du célèbre photographe américain.
Né il y a cent ans, Irving Penn s’est imposé au XXe siècle comme un maître de la photographie de mode, mais aussi du portrait. Des monuments tels que Pablo Picasso, Jean Cocteau, Miles Davis ou encore Audrey Hepburn sont ainsi passés devant son objectif… Découvrez l’essentiel d’Irving Penn, témoin talentueux et unique du siècle passé. Blumenfeld : le dadaïste de la mode. La rétrospective Erwin Blumenfeld (1897 – 1969) au Musée du Jeu de Paume (jusqu'au 26 janvier 1914) et la lecture de son autobiographie « Jadis et Daguerre » (éditions Textuel) sont l'occasion de découvrir l’un des plus grands photographes de mode du 20ème siècle.
Sa photo la plus célèbre est celle d’un montage montrant Adolf Hitler, la peau fondante et le crâne apparent. Erwin Blumenfeld, juif allemand émigré aux Pays-Bas raconte dans son autobiographie qu’il a réalisé le cliché le soir de l’accession d’Hitler au pouvoir. Erwin Blumenfeld à la Cité de la mode et du design. Issue de plus de six cents archives, l’exposition “Studio Blumenfeld New York, 1941-1960” revient sur les œuvres majeures du photographe allemand Erwin Blumenfeld.
Photographe officiel des grandes revues de mode de l’époque, Erwin Blumenfeld n’a cessé d’expérimenter la couleur à travers des jeux de lumière, des visions kaleidoscopiques et l’utilisation de coloris inédits dans son studio new-yorkais. Des expérimentations qu’il menait également dans le domaine de la publicité, pour des marques comme Elizabeth Arden. Sur plus de 200 clichés exposés, 30 sont d'ailleurs inédits et dévoilés pour la première fois au grand public : des photographies au graphisme affirmé et aux couleurs exaltées, qui sont devenues de grandes sources d'inspirations pour les plus grands photographes de ce milieu comme Mario Testino et Guy Bourdin. L'exposition “STUDIO BLUMENFELD NEW YORK 1941-1960”, du 3 mars au 4 juin 2017 à la Cité de la Mode et du Design. Erwin Blumenfeld, l'artiste qui dadaïsait la photographie de mode - TROISCOULEURS. Les clichés iconiques d'Helmut Newton exposés à Berlin. Sexualité suggérée, sensualité affirmée, ultra-féminité.
Les maîtres mots d'Helmut Newton qui a fait de la photographie de mode un objet d'art, érotique, irrésistiblement magnétique. Repoussant toujours plus loin les limites de l'édition, en 1999 le photographe publiait avec Taschen son SUMO, un livre monument de 35.4 kilos, diffusé à 10 000 exemplaires signés et numérotés, rapidement écoulés. Aujourd'hui, les exemplaires se cachent dans de grandes collections dans le monde, dont celle du Museum of Modern Art de New York, tandis que le célèbre exemplaire n°1, signé par plus de 100 personnalités présentes dans le livre, devient le livre le plus cher jamais publié au XXe siècle. Il est vendu aux enchères en 2000 au prix de 317 000 euros. 1 an plus tôt, en 2009, la fondation Helmut Newton dédiait une exposition à ce livre monument.
Les 460 pages du SUMO étaient affichées sur les murs, alignées en 3 rangées. Helmut Newton Fashion Yves Saint Laurent French Vogue Paris 1979. Souvenirs sur Avedon. Par Bernard Birsinger Bernard Birsinger, vous avez suivi les cours d’Avedon combien de temps ?
Dès 1994, Richard Avedon avait en préparation un livre technique photo sur sa propre technique qui devait sortir en 1996. Quelques années après la mort l’a surpris en pleine campagne photographique sur le challenger malheureux du Président Bush et le projet de livre technique n’a pas abouti. Richard Avedon avec Irving Penn et 8 autres photographes dont Philippe Halsman (qui avait fait plus de 100 couvertures de LIFE Magazine, un record pour le magazine de référence à cette époque) avaient lancé en 1964 des cours (en français et en anglais) qui s’étalaient sur 12 mois.
Pour moi cela s’est déroulé entre les années 1966 et 1969 : c’est tellement loin que je ne me rappelle plus la date exacte. Que vous reste-t-il de ses conseils techniques ? Quel matériel utilisait Avedon ? Tentons une liste : en 1964 Avedon utilisait : Alexey Brodovitch – Index Grafik. Photographie du portrait : © Marc Kaczmarek, Alexey Brodovitch, 1965 – « Alexey Brodovitch (1898-1971) est l’un des plus illustres metteurs en page de la photographie du xxe siècle.
Son nom est lié au magazine de mode américain Harper’s Bazaar pour lequel il n’a cessé d’inventer de 1934 à 1958 des combinaisons originales d’images et de typographies. Né entre Saint-Pétersbourg et la frontière de la Finlande, dans une famille aisée. En 1914, il abandonne ses études artistiques pour s’engager dans l’armée. Comme beaucoup de ceux qui vont tenter de combattre le bolchevisme, il est contraint à l’exil et se retrouve à Paris en 1920. . – Gabriel Bauret cit. universalis.fr – « Il collabore alors avec Robert Block, directeur d’Athelia, le studio de création du grand magasin parisien dont les bâtiments viennent d’être entièrement rénovés.
. – Michel Wlassikoff cit. pixelcreation.fr – – Gabriel Bauret cit. mep-fr.org – « L’archétype du directeur artistique moderne est assurément Alexey Brodovitch. Man Ray, photographe de mode au Musée Cantini. Jusqu’au 8 mars 2020, le musée Cantini présente « Man Ray, photographe de mode », premier volet de « Man Ray et la mode », une exposition organisée par la Ville de Marseille et la Réunion des musées nationaux – Grand Palais. « Man Ray, photographe de mode » affirmait l’ambition de « mettre en lumière un aspect méconnu du travail de Man Ray » et de montrer comment l’artiste avait renouvelé la photographie de mode, très souvent cantonné au registre documentaire.
Mais surtout, le projet souhaitait « aborder l’enrichissement permanent et réciproque qui existe entre les projets artistiques de Man Ray et les productions assujetties à une commande commerciale, comme c’est le cas de ses photographies de mode et publicitaires, à l’instar de la série des Larmes, qui, si elle incarne aujourd’hui l’un des emblèmes de la photographie surréaliste, fut d’abord une publicité pour un produit cosmétique ».