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Les jeunes du XXIe siècle changent le visage de la société de consommation. Voyages, sorties, expériences : la génération des "millennials" privilégie les services à l'achat de biens matériels et commence à modifier visiblement l'économie. © da-kuk/iStock On sait depuis quelques années maintenant que le portrait-robot économique du millennial, ce jeune né entre les années 1980 et l'an 2000, n'a strictement rien à voir avec celui de ses aînés. Enfant de la crise financière, nourri au lait amer de la désillusion, le millennial est en train de se bâtir un système de valeurs à l'opposé de celui qui faisait jusqu'au XXIe siècle figure de dogme.

"Choose life. Choose job. Choose a career. Choose a family. Le site Bloomberg a décelé les prémices tangibles de la révolution à venir dans les résultats boursiers de 600 entreprises européennes entre 2011 et 2016 en étudiant l'index Stoxx 600, qui voit les sociétés de service de loisirs et de voyage – des "fournisseurs d'expériences" – créer l'écart avec les marchands de biens de consommation. La musique sur laquelle ces danseuses bougent n'a rien de classique. ART - Mêler le classique au hip hop, ça surprend évidemment. Mais c'est le sujet qu'a choisi le chorégraphe et directeur artistique Redha Medjellekh pour la dernière vidéo de sa chaîne YouTube DOT MOVE. Comme on peut le voir dans la vidéo tout commence de façon très classique: trois danseuses, chignon noué, habillées d'un tutu et d'un justaucorps s'échauffent à la barre. Le pianiste joue tranquillement lorsqu'un homme entre dans la salle de répétition.

Cet homme, c'est Sidi Biggy, un beatboxeur. C'est ensuite au tour des danseuses de montrer ce qu'elles savent faire... Au fil des notes, le beatboxeur se met à improviser sur la musique. S'exprimer. Pour défendre sa passion, Redha Medjellekh a décidé de s'attaquer au web en lançant la chaîne Youtube consacrée à la danse DOT MOVE, produite par M6 Digital talents et dont il est le directeur artistique. "Move no matter what" (continuer à bouger quoi qu'il arrive) est sa devise. » À voir également sur Le Huffpost : Comment la Brasserie Barbès a ouvert le procès de la gentrification parisienne. Temps de lecture: 10 min Télérama en parle comme de «l’événement bistrotier du printemps», c’est dire si la chose est d’importance et mérite notre examen approfondi: Brasserie Barbès, une grande brasserie qui s'étend sur trois étages, à la fois restaurant, bar, toit-terrasse (pardon, «rooftop») et même dancing, vient d’ouvrir ses portes en face du métro du même nom, au coeur du quartier parisien que tout le monde connaît, soit pour l’avoir fréquenté, soit pour sa réputation.

Un quartier avec une importante population étrangère, siège de l'emblématique magasin Tati, où fleurissent les Taxiphone et où la vente à la sauvette de cigarettes fait florès. Ce qui a choqué les premiers critiques qui ont visité la brasserie et ses environs, c’est l’impression d’une coupure entre une clientèle blanche et aisée à l’intérieur et des immigrés du quartier exclus des festivités sinon par le videur, du moins par les prix, ou a minima par l'ambiance qui y règne.

Une brasserie parmi d'autres. La fresque la plus connue de Berlin s'est suicidée dans la nuit. Le street-art berlinois a perdu une fresque emblématique, oeuvre de l'artiste italien Blu. L'identité de la personne qui l'a recouverte de peinture noire est désormais connue, et surprenante. Ce mur n'est désormais plus recouvert de la célèbre fresque berlinoise de l'artiste Blu, qui a été recouverte de peinture noire dans la nuit. Crédit photo : Flickr CC By 2.0 Frank M. Rafik Ce matin, les Berlinois ont l'Instagram triste. Dans la nuit du 11 décembre, deux mystérieux véhicules se sont posés dans l'ancien squat de la Curvy-Brache à Kreuzberg et ont entièrement recouvert de noir la célèbre fresque de l'artiste italien Blu, emblématique du street-art berlinois. Les passants éberlués prennent tous en photo les deux gigantesques pans de murs désormais vides. Voici ce que les Berlinois ont découvert. Jeudi soir, les premières photos de l'opération commando ont commencé à circuler sur Twitter.

Le 19 septembre, un incendie s'est déclaré sur le squat dans des conditions troubles. En images : des doubles-portraits qui défont les clichés. Dans une série de doubles-portraits, le photographe Joel Pares défait les idées reçues sur la race, le genre, la religion et la culture. Jefferson Moon, diplômé d’Harvard (Crédit image : Joel Pares) L’habit ne fait pas le moine mais il peut clairement jouer en sa défaveur. Le photographe américain Joel Pares dénonce ce principe en images dans sa série Judging America, repérée par le site Modern Met, qui présente des clichés et leur exact opposé, réunis dans le même modèle photographié. Ainsi l’un des sujets, un Noir américain, est tour à tour photographié en débardeur, couvert de tatouages et armé, puis en diplômé de Harvard.

Le message est clair : “Tous les Noirs ne sont pas des criminels”. “Réclamer du changement” Le contraste de ces portraits tire autant sa force de leur traitement très esthétique (peut-être un peu trop même) que de nos propres préjugés. J’ai décidé d’utiliser mes photos comme une voix pour réclamer du changement. Alexander Huffman, peintre Jack Johnson, pasteur. A quoi ressemblerait Game of Thrones sans ses effets spéciaux ? Si Game of Thrones possède une telle force d’attraction, cela tient en grande partie à ce monde aux paysages grandioses et féeriques que l’on peut admirer dans la série.

Sans ses effets spéciaux, GOT serait… bien moins intéressante. Alors à quoi ressemble Game of Thrones quand les effets ne sont pas encore ajoutés ? C’est ce que vous propose de voir Rodeo FX, l’un des studios qui a participé à la construction de cet univers incroyable. Et le résultat est impressionnant, permettant de voir les personnages déambuler entre des panneaux verts qui soudain se transforment en palais somptueux, les armées se démultiplier, les montagnes se sculpter… Le studio basé au Québec a été nominé aux récents Emmy Awards pour son travail impressionnant de précision et de réalisme. La vidéo est à voir ci-dessous. Game of Thrones, Season 4 – VFX breakdown from Rodeo FX on Vimeo.

Tarantino tous les morts de ses films en une video. Mode, télé, expo : pourquoi les années 90 sont partout. « Basic Instinct », Nirvana, chaussures compensées : sur les podiums, dans les médias et même au musée, les années 90 sont de retour. Simple coup marketing ou écho au sentiment de vide actuel ? Image de la série « Hartley, cœurs à vif » L’été 2014 a un petit goût 90’s. Si, regardez bien. Kurt Cobain, Courtney Love, Snoop Dogg et les Spice Girls ont fait leur retour dans votre télé grâce à Arte et sa série d’été « Summer of the 90’s ». Ambiance grunge à Seattle, fêtes techno de fin de siècle à Berlin, ecstasy, et sweatshirts à smileys fluorescents. Les Inrocks en ont même fait leur une, « Faut-il regretter les années 90 ?

Le Centre Pompidou-Metz présente en ce moment une exposition consacrée à cette période, avec une ouverture sur la deuxième moitié des années 80 : « 1984-1999 : la décennie ». Nirvana bourdonne dans nos oreilles, et il nous prendrait presque l’envie d’être nostalgiques. Mais pourquoi les années 90, là, maintenant ? Une petite nostalgie qui fait (re)vendre.

La véritable bande-annonce du Loup de Wall Street. Le nombre de “fuck” étourdissant, la victoire de Matthew McConaughey aux Oscars face à DiCaprio, la vie de l’acteur américain illustrée à l’écran (mannequin et yacht, combo gagnant) et les tics reconnaissables du cinéma Martin Scorsese, entre femmes en veux-tu en voilà et personnages bouffés par l’ambition : pour sa nouvelle vidéo, le dernier de la série des “Honest Trailers” s’est occupé du, vous l’aurez compris, Loup de Wall Street. Et même notre cher Jean Dujardin national a droit à sa petite pique, deux ans après son succès aux Oscars avec The Artist. -> À lire : Le Loup de Wall-Street ou la mort sous coke du rêve américain. Ces vérités du quotidien illustrées en infographie. Le site Kind of Normal s’est amusé à faire des “Truth Facts”, soit de petites infographies minimalistes à propos des petites choses du quotidien.

Que ce soit à propos des relations entre les hommes et les femmes, Internet ou simplement le temps que l’on perd ces dernières décennies, ces infographies retracent de manière amusante nos diverses habitudes et certaines de nos anecdotes rigolotes. Crédit image : Kind of Normal. Les 15 preuves ultimes que toutes les filles devraient boire de la bière. Sans vouloir généraliser, quand on demande à une fille ce qu’elle boit, la plupart du temps on peut s’attendre à une réponse relativement féminine du type kir, champagne, mojito framboise ou autre sex on the beach. Si certaines boivent de la bière, cette dernière colporte encore malgré elle une image assez masculine, tout comme le foot et le saucisson. Permettez-nous, mesdames, de vous donner 15 raisons qui vont vous pousser à vous y mettre. 1 – Vous pouvez boire 10 bières sans pour autant avoir la gueule de bois le lendemain 2 – Vous pouvez commander une bière à tout moment de la journée sans passer pour une alcoolique 3 – Vous pouvez aller à la salle éliminer les calories gagnées plutôtque de faire l’épave sous la couette en priant pour une mort rapide 4 – Les hommes trouvent sexy les femmes qui boivent de la bière 5 – La bière réduit les risques de maladies cardiaques. 6 – Contrairement à ce qu’on pourrait croire, boire de la bière hydrate vraiment votre corps.

"Je suis bobo et je vous emmerde" : Solange te parle, mais elle peut aussi gueuler. Les phrases les plus improbables entendues pendant la Fashion Week 2014. Loïc Prigent. Profession ? Vidéaste de talent. Hobby ? Tweeter les phrases les plus improbables entendues dans le milieu de la mode parisienne. Bonus : Les phrases les plus improbables entendues pendant la Fashion Week 2014 Cette année ne déroge pas à la règle et l'on retrouve sur son compte les perles de la #PFW 2014.

La suite en page 2 ! Cette vidéo filmée en plan séquence est un superbe hommage à la pop culture. Le membres de la rubrique culture du Sunday Times ont souhaité rendre hommage à toutes ces icônes de la pop culture qui ont marqué (et marquent encore) les esprits de chaque amateur de ciné, télé ou encore de musique. Un magnifique plan séquence qui va de Forrest Gump à Daft Punk, en passant par Mad Men, Reservoir Dog ou encore les peintures de Michel-Ange.

Superbe. On apprécie encore plus en voyant ce making-of : Bruno Mars Superbowl Halftime Show 2014 FULL Super Bowl XLVIII NFL. Rap et classe moyenne, le hip-hop à l'âge de raison. Drake, Earl Sweatshirt, Orelsan, L’Entourage… Des deux côtés de l’Atlantique, la nouvelle garde du rap ne vient pas du ghetto et apporte un vent de fraîcheur sur un genre que beaucoup cantonnent à la rue. En cause, le résultat d’une équation impliquant maisons de disques, Internet et Kanye West. Dérive ou évolution ? C’est surtout une preuve que le rap vieillit, et il vieillit bien. La superstar Drake ne ferait pas de mal à une mouche. (Crédits image : GQ) Fin janvier, le site Bossip a demandé à Nasir “Nas” Jones, monstre sacré du hip-hop, de nommer les rappeurs qu’il appréciait le plus en ce moment. Car si les bandits tiennent toujours le haut du pavé, l’année dernière a été celle des “autres” rappeurs.

D’où la question persistante de certains observateurs : le hip-hop est-il en train de s’embourgeoiser ? Les rappeurs issus de la classe moyenne et de milieux huppés ne cherchent pas à représenter le ghetto, dont ils ne viennent pas. L’effet Kanye West Le rap à papa Gringe prolonge : Boy Racer. Dans notre dernier documentaire, on a voyagé sur les autoroutes de l'Angleterre pour tenter de comprendre une des sous-cultures les plus détestées de ces 30 dernières années : la scène boy racer. Pendant les années 1990, les jeunes se sont mis à tuner leurs voitures à renfort d'ailerons sophistiqués, de tubes néons et de moteurs turbocompressés – et depuis, les médias et le grand public n'ont jamais cessé de s'en méfier. Aujourd'hui encore, le gouvernement cherche constamment à leur mettre le grappin dessus et les policiers passent des nuits entières à les chasser. En conséquence, les boy racers ont quitté les grandes villes au profit des zones industrielles, des routes de campagne et des parkings où ils peuvent désormais se faire la course et écouter de la jungle en toute tranquillité – du moins jusqu'à ce que les flics ne se pointent.

Pour cette vidéo, on a suivi les boys racers dans le comté de l'Essex. Fauve ≠: que nous dit le succès de ces cinq garçons dans le tourment. Une certaine jeunesse s’enthousiasme, se reconnaît en eux. Ils ont connu la consécration lors du Printemps de Bourges, sillonnent aujourd’hui les salles de concert des villes françaises et se produisent à l’étranger (Montréal, Bruxelles), jouant partout à guichets fermés. Il sont l'objet de critiques hyperboliques des Inrockuptibles, du Monde, de Télérama ou du Mouv', mais aussi de railleries acides —y compris sur Slate. publicité Et parfois défendus par des gens a priori assez loin de leur univers, comme récemment le patron de l'exigeant label français Born Bad, Jean-Baptiste Guillot: «La haine qu'ils cristallisent, c'est dingue. [...]

C'est inoffensif, mais c'est un truc teenage, de la musique d'ado. Un jour, ils ont explosé La fulgurante notoriété atteinte, l'an passé, par le groupe Fauve ≠ a piqué notre curiosité. Qui sont ces jeunes adultes âgés de 26 à 30 ans? Tout allait bien, en apparence, pour ces Parisiens. Savant clair-obscur Textes sans pudeur Que disent-ils? Leur géographie? La réaction des acteurs de Breaking Bad découvrant la fin. Quatre exemples de carrières mutantes à Hollywood. Top 100 des bonnes raisons d’être un mec (la grosse liste) Le monde d'Irma. Le McEverything, le burger ultime avec tous les sandwiches de chez McDonald’s. La première publicité loufoque de la Playstation 4. How One Phone Number Accidentally Started An Internet Movement. Témoignage : Candy Crush a détruit ma vie (sociale) | Et si on ne parlait pas de foot ? Paris déchiffré : l’infographie qui vous dira tout sur Paname.

La France des clichés : les cartes insolites qui revisitent l’Hexagone. Je suis un hipster et j'en suis fier. Video : Internet Explorer revisite les années 90 - Konbini - France. Photo : notre génération dans 50 ans. La révolution de la Minikeum Génération. Fresh Prince: Google Translated | cdza Opus No. 16. Le retour en force des années 90 chez les trentenaires.

‎www.vice.com/fr/read/j-ai-vecu-comme-en-1996-pendant-une-semaine/?utm_source=vicefb. Toutes les références à la pop culture dans les films de Tarantino. 20 photos de Ryan Gosling pour finir la semaine en beauté.

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