Ethno Web - Colloque Sources et Ressources pour les Sciences Sociales. Institut National des Télécommunications Groupe des Ecoles des Télécommunications 9 rue Charles Fourier, 91011 Evry Cedex, France Résumé : Au-delà de la recherche d’outils techniques pour les sciences sociales, celles-ci et l’informatique partagent deux problèmes épistémologiques majeurs : celui des ontologies (et de leurs discordances) et celui de l’intégration d’informations exprimées dans des ontologies différentes.
Après avoir introduit les notions techniques d’ontologie et d’interopérabilité, nous montrons comment elles sont liées, comment elles peuvent être généralisées en préservant la nature de leurs liens, et en quoi elles sont pertinentes pour les sciences sociales. 1. Introduction L’informatique, on le sait depuis longtemps, en particulier depuis certains développements de l’intelligence artificielle (IA), n’est pas seulement un pourvoyeur d’outils techniques pour les sciences en général, et les sciences sociales en particulier. 2. 2.1 Les ontologies et la modélisation 3. 4. Le rapport entre les formations psychiques de l'individu et la formule canonique des mythes par JB Beaufils - jbbeaufilstransespace. Ma lecture de la conférence « Culture et rêve » de l’ethnologue néerlandais méconnu, JPB de Josselin de Jong, m’a suggéré cette idée de chercher s’il pouvait y avoir un lien entre les dynamiques de la formule canonique et celles du schéma du double miroir.
Quelle ne fut pas ma surprise de constater qu’en conjuguant l’intuition d’un seul homme et deux théories portées par deux hommes, il fut possible d’aboutir à une nouvelle jonction de ces deux théories en une seule. Ce processus en boucle a produit lui-même une hypostase à l’intuition de De Josselin de Jong par l’obtention d’un destin théorique et pratique comme si ce raisonnement qui met en lien deux modèles était lui-même pris dans l’effet de la formule canonique. Par conséquent, il est logique que ce ne fut rendu possible que grâce à l’intermédiaire d’un troisième type de modèle : le modèle morpho-dynamique : le double cusp que décrit Scubla pour illustrer la formule canonique. Liste (informatique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Voici les primitives communément utilisées pour manipuler des listes ; il n'existe pas de normalisation pour les primitives de manipulation de listes, leurs noms respectifs sont donc indiqués de manière informelle. Primitives de base : « Insérer » : ajoute un élément dans la liste. Terme anglais correspondant : « Add » ;« Retirer » : retire un élément de la liste. Terme anglais correspondant : « Remove » ;« La liste est-elle vide ? Primitives auxiliaires fréquemment rencontrées : « Premier » : retourne le premier élément dans la liste. Une liste est un conteneur d'éléments, où chaque élément contient la donnée, ainsi que d'autres informations permettant la récupération des données au sein de la liste.
Lexique de la théorie des graphes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
A[modifier | modifier le code] Acyclique Adjacence. Graphe orienté. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Arbre (graphe) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
En théorie des graphes, un arbre est un graphe non orienté, acyclique et connexe[1]. Sa forme évoque en effet la ramification des branches d'un arbre. Un ensemble d'arbres est appelé une forêt. Un arbre avec 4 feuilles (les sommets n°1,3,5,7) et 3 nœuds internes (les sommets n°2,4 et 6) On distingue deux types de sommets dans un arbre : Dans le cas des arbres finis on peut remarquer que. Arbre enraciné. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
En théorie des graphes, un arbre enraciné ou une arborescence est un graphe acyclique orienté possédant une unique racine, et tel que tous les nœuds sauf la racine ont un unique parent. Structure de données. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En informatique, une structure de données est une manière d'organiser les données pour les traiter plus facilement. Anthropologie structurale. Claude Lévi-Strauss en 1973 L’anthropologie structurale, issue à l'origine de filiations intellectuelles diverses d'orientation holiste (sociologie durkheimienne, ethnologie maussienne, linguistique saussurienne, phonologie, sciences naturelles, mathématiques), va progressivement développer un paradigme scientifique émergentiste très proche du courant systémique et du cognitivisme qui se constituent à la même époque, par sa prise en compte de la dialectique structure (synchronie) / histoire (diachronie), des relations au sein du système et entre systèmes, et son ambition de décrire les « enceintes mentales » humaines au sein d'une vaste science de l'homme.
Place dans l’œuvre de Lévi-Strauss[modifier | modifier le code] Le présent article traite principalement de l’aspect méthodologique de l’anthropologie structurale. Place au sein du structuralisme[modifier | modifier le code] Historique et filiations intellectuelles[modifier | modifier le code] Diacronía. Diacronía (del francés diachronie, del gr. δια- dia- 'a través de' y Χρόνος khrónos 'tiempo') es el estudio de un fenómeno social a lo largo de diversas fases históricas atendiendo a su desarrollo histórico y la sucesión cronológica de los hechos relevantes a lo largo del tiempo.[1] El término "diacronía" se opone a sincronía, dimensión que permite observar cualquier fenómeno - por ejemplo cultural como es lo lingüístico- tal como es en un momento dado de su evolución.
Sincronía y diacronía. En lingüística, dos puntos de vista diferentes y complementarios, pueden ser adoptados cuando se analizan hechos de lengua.
Los términos sincronía y diacronía, y la construcción teórica de su oposición, fueron desarrolladas por Ferdinand de Saussure, primer lingüista que separó claramente los dos puntos de vista. Sincronía. La voz sincronía proviene de la etimología griega syn, "con, juntamente, a la vez", y de la mitología griega, Chronos o Khronos (en griego Χρόνος), "tiempo". En latín Chronus.