background preloader

Réseaux sociaux et chercheurs

Facebook Twitter

SMC Cycle “Sciences et réseaux sociaux” Session #1 : Comment parle-t-on de science sur YouTube et les médias sociaux ? - Social Media Club France. Par Elise Koutnouyan Ce que l’on retient des échanges : créativité et niches : YouTube permet de parler de science de manière plus ludique mais aussi plus approfondie qu’à la télévisionmodèle économique : la monétisation sur YouTube reste trop instable pour les vidéastes, qui se tournent vers les partenariats, les financements publics et participatifslutte contre les fake news : les YouTubeurs ont réussi à prouver leur légitimité de vulgarisateurs scientifiques et participent par leurs contenus à contrer les fake news et le complotisme Les recherches scientifiques ont trouvé sur les plateformes sociales de nouveaux espaces de diffusion.

Sur YouTube, les chaînes de vulgarisation scientifique fleurissent, certaines comptabilisant des millions d’abonnés. « Cela montre un degré d’intérêt pour les sciences chez certains publics, pointe en introduction Guilhem Boyer, Social Media Manager chez Safran. . « YouTube joue le rôle qu’avait la télévision hier » – Séverine Klein, CNES. Mon petit twitter scientifique illustré | An infinity of hypotheses. Twitter, cette plateforme de microblogging, est fascinante pour certains, effrayante ou sans aucun intérêt pour d’autres.

En tout cas Twitter ne laisse pas indifférent. Mais derrière ce géant des réseaux sociaux se cache un diamant brut qui ne demande qu’à être façonné: une communauté scientifique très active, une source d’informations inépuisable en temps réel, un outil de veille technologique et un forum de discussion. Comme scientifique, Twitter est donc devenu pour moi un outil de travail comme un autre. Ce petit billet n’a pas la prétention ni l’ambition d’être un guide mais juste un témoignage de mon utilisation de Twitter en tant que scientifique. Pour que ce billet ne soit pas trop long, j’ai mis les images en tout petit. Cliquez dessus pour les voir en grand. 1- Un outil de recherche bibliographique presque comme un autre Notre recherche se nourrit en permanence du travail des autres. 1a- Tous les grands journaux scientifiques ont leur compte Twitter. 1d- Le partage.

Like this: Réseaux sociaux scientifiques. Les chercheurs commencent (enfin) à adopter Twitter. Les 15 médecins et scientifiques français les plus populaires sur Twitter. Lorsqu'ils ne sont pas sur la paillasse, peu de scientifiques en activité dans de grands labos investissent les réseaux sociaux en France (par rapport à leurs collègues outre-Atlantique et outre-Manche). Contrairement aux médecins ou à certains médiateurs diplômés de science. Nombre d'entre eux "tweetent" plus vite que leur ombre ! Praticiens, chercheurs, enseignants: Sciences et Avenir (43 126 followers au 1er juin 2016) a dressé la liste des plus influents sur Twitter.

Voici notre classement (la méthode que nous avons utilisée est détaillée en fin d'article). Avis aux Twittos : nous avons réuni les 15 heureux élus dans une liste, à laquelle il vous est possible de vous abonner. Les "Twittos" les plus influents Où sont les femmes ? Notre top 15 affiche seulement deux femmes pour treize hommes : la généticienne Catherine Coste et la blogueuse médecin revêtant le pseudonyme de Jaddo.

Méthodologie LISTE. INDICE. EGALITE. A propos des Réseaux sociaux scientifiques. c3a9cole doctorale 13 mai 20162. En Direct du Labo's social stories. Pourquoi tweeter quand on est chercheur? Dans un article du journal Le Monde paru en 2014 intitulé “Twitter et les chercheurs, l’exception française ?” , Sylvain Deville s’étonnait de la faible place qu’occupe l’oiseau bleu chez les chercheurs français par rapport à nos collègues anglo-saxons. Notre rapport à la communication en général serait lacunaire, pour des raisons tant culturelles qu’institutionnelles. Aujourd’hui, grâce à En Direct Du Labo, nous vous proposons de participer à changer cet état de fait en constituant la première communauté de chercheurs francophones ouverts à la communication scientifique sur Twitter!

Pourquoi utiliser Twitter lorsqu’on est un(e) chercheur(se) ? Si vous pensez que vous n’avez rien à y gagner, voici quelques raisons qui pourraient vous faire changer d’avis : Cliquer sur la photo pour agrandir Peu d’efforts d’engagement La recherche scientifique est une activité chronophage qui laisse peu de temps à la communication. Un public large et varié Une conversation, pas un cours Références : Que disent les chercheurs en info-comm sur Twitter ? Si Twitter s’oriente de plus en plus vers la conversation et vers un modèle « à la Facebook », il reste néanmoins un outil intéressant et utile pour collecter de l’information, voire échanger avec des collègues. Dans une discussion récente avec une collègue doctorante, je lui soulignais combien cette plate-forme m’avait été utile durant ma thèse pour rester « connecté » aux chercheurs et actualités de mon domaine (sciences de l’information-communication).

Sa réponse fut qu’elle n’avait pas le temps (et surement l’envie) de se créer un compte. Pour les collègues qui souhaitent donc tout de même profiter de cet outil pour faire de la veille, voici ci-dessous une cartographie sémantique et interactive alimentée par les tweets de 96 enseignant(e)s/chercheurs/doctorant(e)/docteurs francophones en info-comm. Infomous pour faire de la veille L’outil utilisé ici est infomous.com, dont je décrivais les fonctionnalités sur mon ancien blog. Méthodologie et limites. [Présentation] Twitter et la communauté scientifiqueScience de comptoir – ISSN : 2270-4310. Jeudi dernier, je suis intervenue auprès d’étudiants de Licence 1 et 2 au sein de l’UE « Culture biologique numérique » (Université Paris Diderot), pilotée par le très vénérable Pierre Kerner. J’y causais des réseaux sociaux utilisés par la communauté scientifique francophone, et surtout de Twitter, qui n’est généralement pas très bien connu.

Voici mon histoire. Alors, avez-vous trouvé ce qui relie Justin Bieber, Jésus et le Marsupilami ? Eh bien ils sont tous sur Twitter, pardi ! Twitter, c’est un réseau social gratuit conçu en 2006 par une bande d’américains : Jack Dorsey, Evan Williams, Biz Stone et Noah Glass. Le premier tweet de l’histoire émane d’ailleurs de Jack Dorsey, lorsqu’il écrit en 2006 qu’il est « juste en train de configurer son Twitter » (qui portait alors le nom de Twttr). Ce réseau a été conçu comme un moyen d’envoyer des messages courts de type SMS par internet, à un groupe de personnes.

En cartographiant tout ça, il s’est rendu compte de plusieurs choses. Les réseaux sociaux pour les chercheurs. En 2010, des chercheurs ont prétendu que des bactéries (originaires d'un lac ou le taux d'Arsenic était supérieur à la normale) pouvaient incorporer de l'Arsenic dans leur ADN à la place du phosphore que l'on pensait nécessaire à la constitution de n'importe quel ADN. Ces résultats ont connu un grand écho dans le monde scientifique et au-delà : pour la première fois, l'arsenic mieux connu du grand public comme un poison très efficace était considéré comme un des composants de la vie.

L'arsenic étant présent dans l'espace, la possibilité d'une vie extra-terrestre était démontrée. Science a édité le résultat de ces recherches. Les pairs se sont prononcés en faveur des conclusions de l'article mais ce dernier n'a pas été publié avant le jour d'une conférence de la NASA sur la vie extra-terrestre. La controverse a été close quand les tests en question ayant été réalisés, il n'a plus été possible de soutenir qu'un ADN pouvait incorporer de l'arsenic à la place du phosphore. L'identité numérique du chercheur. Dans une société où notre activité sur le web occupe une partie importante de notre temps, que ce soit dans un cadre privé et personnel ou professionnel, nous ne pouvons pas ignorer le fait que notre existence s’étend dans un monde virtuel.

Selon Fanny Georges (Identité numérique et représentation de soi, Médias sociaux comme technologies de l’ego), l’identité numérique se décline de trois façons : l’identité déclarative, renseignée directement par l’utilisateur ;l’identité agissante, renseignée indirectement par ses activités ;l’identité calculée, produite d’un traitement de l’identité agissante par le système. L’identité numérique se construit non seulement à partir de la publication et de l’activité de recherche, mais aussi à partir de toutes les traces laissées au cours de la navigation sur la Toile. C’est pourquoi il est essentiel de rester vigilant et d'être en mesure de contrôler cette identité. L'indice Kardashian, un indicateur pour dégonfler la popularité des scientifiques acquise sur les réseaux sociaux. Une vieille opposition existe entre les chercheurs estimés par leurs pairs pour leurs recherches publiées dans des revues à faible tirage et les chercheurs plus «médiatiques» qui peuvent être très populaires au-delà de leur discipline.

Pour savoir si cette popularité d’un scientifique est exagérée en regard de l’évaluation de ses travaux, le biologiste Neil Hall vient de publier dans la sérieuse Revue Genome Biology un article farceur sur le fond bien que scrupuleux dans sa forme, proposant pour dégonfler ces bulles médiatiques de calculer l’écart entre un profil de chercheur sur les réseaux sociaux et son autorité dans les revues spécialisées.

Il l’a baptisé «l’indice Kardashian», en référence à Kim Kardashian, célébrissime héroïne de téléréalité bien qu’elle n’ait pas de réalisation majeure à son actif. Comme il l'écrit: «Je suis inquiet du fait qu'un phénomène similaire à celui de Kim Kardashian puisse exister également dans la communauté scientifique. Sciences en hashtags : la culture scientifique sur Twitter. 10 femmes scientifiques à suivre sur Twitter. Twitter est un des réseaux sociaux les plus puissants et les plus actifs, et il nous permet à tous d’échanger avec d’autres femmes scientifiques à travers le monde, partager des informations, développer son réseau professionnel, et construire une communauté internationale.

Plus que jamais, les femmes de science sont actives sur Twitter. Voici 10 comptes à suivre : • Joanne Manaster : @sciencegoddess (plus de 50 000 followers) Professeur à temps plein, Joanne Manaster partage sa passion pour la science à travers l’enseignement et encourage les plus jeunes à ne pas abandonner leurs rêves à cause des stéréotypes qui touchent le domaine scientifique. . • Carolyn Porco : @carolynporco (23 500 followers) En tant que spécialiste des planètes, Carolyn Porco a été aux premiers rangs de l’excellence scientifique depuis plusieurs années. . • Heather Williams : @alrightPET (2 600 followers) • Sylvia McClain : @girlinterruptin (2 140 followers) • Corrie Moreau : @corriemoreau (1 200 followers) • Danielle L.

Mon petit twitter scientifique illustré | An infinity of hypotheses. We need clear policy on tweeting from academic conferences. When Susie Maidment presented her in-progress research at SVP in Berlin last week, someone came in late, missed her “no tweeting, please” request, and posted a screenshot of the new work (since deleted).

On the back of that, Susie started an interesting thread in which it became apparent that people have very different assumptions. She, and Marc Jones, and others, were assuming that if you don’t tell people not to tweet, then they’ll know not to. Meanwhile, I, and Björn Brembs, and others were assuming the opposite: unless someone says not to tweet, you’re good to go. Obviously this state of affairs is a recipe for disaster. We’re all going to find ourselves giving presentations where we assume the audience will be doing one thing, but at least some audience members are assuming the other. So the first thing to say is that we should be explicit about our expectations.

My talk at SVPCA this year contained this slide: To summarise: That’s what I think, anyway. Like this: Like Loading... Social media and academia do work well together – two years in and still a fan | Don't Forget the Roundabouts. It is now just over two years since I began tweeting and just under two years since I started blogging. My first end of year report saw me entering my second year as a fully converted Tweeter and Blogger and very happy indeed with my foray into the world of social media.

I had made new research contacts, got invitations to give talks to local conservation groups, got BBC Wildlife to acknowledge their vertebrate bias, been invited to give a talk on the subject at the Royal Entomological Society annual meeting and even got a publication in the journal Animal Conservation! So I definitely finished 2013 on a high and began the New Year with an almost evangelical desire to convince all my colleagues to join in the fun. So now here I am, two years in. As a journal editor, I have been able to find referees for papers and also new editorial board members. My biggest buzz this year was to receive a complimentary copy of a book by Peter Smith (Smith, 2014), in which one of my blog posts, References.

Tweets about #SciMediaSociaux hashtag on Twitter. Observatoire 2014 de l'usage des réseaux sociaux par les organismes de recherche. Au sommaire : Synthèse des résultats de l’Observatoire 2014 Depuis 2012, Sircome réalise une étude annuelle de l’usage des réseaux sociaux par les organismes français de recherche. L’observatoire 2014 révèle une professionnalisation remarquable : les organismes sont très nombreux à investir différentes plateformes et à se montrer créatifs. Les doutes sur la pertinence de leur usage soulevés lors de l’étude 2012 ont laissé la place à l’envie d’expérimenter, de maîtriser et d’utiliser au mieux leurs ressources. Les médias de conversation et les médias vidéo ont fait leurs preuves et ont gagné leur place. Twitter est devenu le réseau social préféré des organismes, précieux pour toucher les journalistes, les experts et, plus largement, les influenceurs. Facebook est une valeur sûre pour entretenir la relation avec le grand public.

Infographie : Observatoire 2014 de l’usage des réseaux sociaux par les organismes de recherche Présentation détaillée des résultats Point méthodologique. Ces scientifiques qui bloguent | ACS. Le jeudi 30 octobre 2014 Certains scientifiques décident de faire sortir la science du laboratoire par la voie du blogue, un outil tout adapté pour diffuser le savoir hors du cercle des spécialistes. Trois scientifiques blogueurs en expliquent les avantages et difficultés. Par Lou Sauvajon Communiquer la science aux citoyens et faire circuler le savoir scientifique est essentiel pour alimenter les débats de société. Patrice Brassard, professeur adjoint au département de kinésiologie à l’Université Laval, a commencé à écrire un blogue spécialisé dans son domaine en 2011. De son côté, Benoit Duguay, professeur à l’école des sciences de la gestion à l’UQAM, s’adresse particulièrement à « monsieur et madame Tout-le-monde pour que le savoir ne reste pas confiné aux universitaires ».

Si ce média permet de diffuser le savoir, il est aussi un vecteur pour véhiculer les pensées de l’auteur, ses opinions, ses indignations. En quête de visibilité Quel avenir pour les blogues? Réseaux sociaux de chercheurs : quelle visibilité ? Accueil > Formations et ressources > Liste des documentaires - conférences > Réseaux sociaux de chercheurs : quelle visibilité ? Réseaux sociaux de chercheurs : quelle visibilité ? L'Université de Poitiers présente une conférence ayant eu lieu dans le cadre de la Journée d'étude ARPIST / URFIST Bordeaux. 15, rue de l’Hôtel DieuPOITIERS 86034FranceTél: (33) (0)5 49 45 30 00Fax: (33) (0)5 49 45 30 5014 Recommander cette page à un(e) ami(e) Aline Bouchard, Conservateur des bibliothèques, unité régionale de formation à l'information scientifique et technique de Paris, présente cette conférence consacrée aux réseaux sociaux de chercheurs et s'interroge sur leur visibilité.

Quels sont les meilleurs outils à leur disposition aujourd'hui ? Crédit photo : asharkyu / Shutterstock.com Niveau : Populaire Mots-clés : Université De Poitiers , Réseaux Sociaux , Chercheurs. Blogs UP | Les blogs de l'Université de Poitiers | Université de Poitiers. Carnets de labos. François-Xavier Coudert, chercheur en simulation moléculaire (avec images, tweets) · EnDirectDuLabo. Réseaux sociaux de chercheurs : quels enjeux et quelle politique pour…

Une liste de chercheurs qui twittent. En Direct du Labo (EnDirectDuLabo) | Twitter... Enquête sur l'utilisation des outils du Web 2.0 par les chercheurs. Les organismes de recherche face aux réseaux sociaux par Mathieu JAHNICH sur Prezi. #IdNum2013 : les points clés ! | Préfixes. Les réseaux sociaux scientifiques sur Internet : compte-rendu d’une courte étude | Sciences de l'environnement : vous dites ! Les réseaux sociaux pour les scientifiques. Réseaux sociaux : pratiques et enjeux dans la recherche et la carrièr… La Puce à l'Oreille veut tweeter // 10 oct. 2013. Observatoire des technologies de l'IST | Un site utilisant Réseau Blogs IST. Twitter’s Role In Science Publication And Communication. Jade Le Maître : « Les réseaux sociaux sont un outil de veille et de collaboration en sciences » - Site de scienceetpartage ! Mise en page 1 - Verdeil-Arabesques74-1. Twitter et les chercheurs, l'exception française ?

Réseaux sociaux pour les chercheurs - A lire ou à relire | CORIST-SHS. Les réseaux sociaux scientifiques, la visibilité et l’open access. Réseaux sociaux et recherche. Communiquer autrement. Raconter la science ensemble. Réseaux sociaux recherche. Un portail source d’innovation collaborative pour les chercheurs de Limagrain.

Vidéo : Mendeley, logiciel bibliographique et réseau social scientifique. Enquête : L'usage des réseaux sociaux par les scientifiques :: “Les médias sociaux à l’heure des identités numériques : quels enjeux pour la recherche scientifique ?” SocialNetworkingForScientists - home. 10.12.12 : Journée d'étude Information Scientifique et Technique, Les enjeux des réseaux sociaux pour la communauté scientifique, Montpellier, Agropolis International, France. Réseaux sociaux scientifiques. Le Top 20 des réseaux sociaux scientifiques.