TP TL Images et realites du modele americain dans West Side Story copie. ‘Avatar’ - De : James Cameron.
Avec : Sam Worthington, Zoé Saldana, Sigourney Weaver, Stephen Lang, Michelle Rodriguez, Giovanni Ribisi, Joël Moore, Laz Alonso. Durée : 2h40. Sortie le mercredi 16 décembre 2009. Avatar. Avatar, James Cameron. * Sortie au cinéma en décembre 2009, le film est disponible en DVD (20th Century Fox). 2 Martel, Frédéric, 2011, Mainstream, enquête sur la guerre globale de la culture et des médias, Pari (...) 3 Avatar est le plus grand succès de l’histoire de l’industrie cinématographique avec près de 3 milli (...) 1C’est après une maturation de plus de dix ans faisant suite au succès colossal de Titanic (1997), que James Cameron revient, cette fois, en prophète pionnier.
Autant sa mise en image du plus célèbre naufrage de l’humanité annonçait la fin d’un monde, d’un certain cinéma aussi, autant Avatar se veut une œuvre de défrichement dans l’univers de possibles ouvert par le progrès technologique. Le cinéma américain : un impérialisme culturel ? 1En ces temps d’unilatéralisme américain souvent honni, le cinéma est un sujet fréquemment choisi pour malmener la toute puissance américaine.
Cet article entend montrer que la domination américaine des écrans mondiaux n’est pas nouvelle et qu’elle est d’autant plus indéniable qu’elle s’est accrûe du fait de la mondialisation des échanges commerciaux. Cependant, cette domination peut paradoxalement être utile à certains pays, leur permettant, par exemple, de développer ou d’améliorer leurs infrastructures cinématographiques, de former ou perfectionner leurs techniciens et de financer leur propre cinéma. Cela permet alors de tirer profit sur le plan culturel d’une domination qui est avant tout économique et qui suit l’évolution d’un marché devenu mondial.
West Side Story : une mythologie de passage initiatique des temps modernes. Le film West Side Story met en images, dans une ambiance d'intense émotion dans laquelle chacun peut se retrouver, une description presque parfaite du fonctionnement psychologique de la sortie de l'adolescence.
Bien que l'histoire s'achève sur un échec, West Side Story nous fournit un exemple moderne du triple passage initiatique de la vie de groupe de l'adolescence à la vie individuelle d'adulte. Ainsi se termine (mal) la belle histoire de deux adolescents qui ont échoué dans leur passage initiatique vers la vie individuelle, vers la vie sexuelle, vers la vie de travail et vers la vie sociale. Ce film nous montre qu'il y a un Idéal et un Surmoi individuels : ceux de Tony et de Maria. Il y a aussi un Idéal et un Surmoi de groupe : ceux des "Jets" et des "Sharks".
Ils servent à faire la transition entre individu et société. Tout conflit de groupe se fait entre le narcissisme et l'analité non intégrés. Laacwssdossier. Laacwssdossier. Fp westsidestory. TP TL Images et realites du modele americain dans West Side Story copie. Festival de Marseille West Side Story. Cinememoire westsidestory. Sans titre. Sans titre. Sans titre. LA FIN DU RÊVE AMERICAIN AU CINEMA (1/2) - Le Ciel, la Terre, l'Eau et le Feu. Selma un film de Ava DuVernay. Professeur des universités à l'Institut d'études politiques de Paris, Pap Ndiaye est spécialiste de l’histoire sociale des États-Unis où il a étudié et enseigné.
Il s’intéresse également aux situations minoritaires en France (histoire et sociologie des populations noires). Parmi ses publications : La condition noire. Essai sur une minorité française, Calmann-Lévy, 2008, 436 p. Édition de poche en septembre 2009 (Gallimard, collection Folio) ; Les Noirs américains. La couleur des sentiments - Graine de Culture. Dans la petite ville de Jackson, Mississippi, durant les années 60, trois femmes que tout devait opposer vont nouer une incroyable amitié.
Elles sont liées par un projet secret qui les met toutes en danger, l’écriture d’un livre qui remet en cause les conventions sociales les plus sensibles de leur époque. De cette alliance improbable va naître une solidarité extraordinaire. À travers leur engagement, chacune va trouver le courage de bouleverser l’ordre établi, et d’affronter tous les habitants de la ville qui refusent le vent du changement. Tate Taylor, 2h26, usa, 2011 Télécharger le dossier en pdf INFORMATION PRATIQUE : tous les minutages sont calculés avec le logiciel VLC. Préambule Avant d’aborder le travail sur le film, nous vous conseillons d’aborder quelques informations essentielles sur le contexte historique et politique se rapportant aux Etats Unis d’Amérique dans les années ’60. voir bas de la fiche.
Le mouvement des droits civiques aux Etats-Unis - Plans Américains : le cinéma américain des années 70. « They murdered folks in Alabama, they shot Medgar in the back » (Barbara Dane avec les Chambers Brothers dans la chanson "It Isn't Nice") NAACP : National Association for the Advancement of Colored PeopleSCLC : Southern Christian Leadership ConferenceKKK : Ku Klux Klan Etats du sud ségrégationnistes : Mississippi, Alabama, Arkansas, Floride. 2 dates essentielles dans le processus d'abrogation des lois ségrégationnistes - 2 juillet 1964 : abrogation par le Civil Rights Act qui interdit toute forme de ségrégation dans les lieux publics.
Est déclarée illégale la discrimination reposant sur la race, la couleur, la religion, le sexe ou l’origine nationale. Conçue au départ pour protéger les droits des Afro-américains, la loi fut élargie à tous, hommes et femmes, à la suite d'un amendement déposé par Howard W. Smith. - 6 août 1965 : abrogation par le Voting Rights Act qui supprime les tests et les taxes pour devenir électeur. 5 décembre 1955 : début du boycott des bus de Montgomery (Alabama) France Culture : Histoire du "Soft power" (4 émissions) - THEATRUM BELLI.
I / Un grand entretien avec Sandra Schulberg, historienne du cinéma du Plan Marshall, pionnière du financement international pour les films indépendants, fille de Stuart Schulberg, chef de la Section du Plan Marshall Motion Picture de 1950 à 1952.
Depuis 2003, elle préserve et fait revivre les films du Plan Marshall. Elle est actuellement professeur agrégé adjoint à la Division du film de la Columbia University Graduate School of the Arts, où elle enseigne le financement des films. Cliquer ICI pour écouter la première émission (54 mn) Le précédent des accords Blum-Byrnes, par Geneviève Sellier. Le dimanche 4 janvier 1948, plus de dix mille personnes défilaient sur les grands boulevards, à Paris, avec, à leur tête, les cinéastes Jacques Becker, Jean Grémillon, Louis Daquin, Yves Allégret et les acteurs Jean Marais, Simone Signoret, Madeleine Sologne, Raymond Bussières, pour défendre le cinéma français contre les accords Blum-Byrnes.
Quarante-cinq ans avant la bataille pour l’"exclusion culturelle", le monde artistique se mobilisait déjà pour les mêmes raisons : le droit à l’existence face au rouleau compresseur américain... Dans les années 30, les écrans français étaient régis par des accords de contingentement avec l’étranger, qui n’autorisaient que 188 films américains doublés par an (plus une cinquantaine de films en version originale). Mais, à la Libération, son appareil de production et d’exploitation était largement obsolète et très endommagé par la guerre. Taille de l’article complet : 823 mots. Hollywood, faiseur d'Histoire. Le cinéma est sans doute l’arme la plus puissante de la dernière super puissance planétaire.
Film après film, les Etats-Unis réécrivent l'histoire, effacent les aspérités, disculpent l'humanité de ses erreurs. RÉCEMMENT, DEUX FILMS HOLLYWOODIENS de science-fiction revisitent l’histoire du monde en prenant soin de donner aux Etats-Unis le beau rôle. Que ce soit dans X-Men: le commencement ou Transformers 3, le spectateur assiste à une nouvelle version d’événements mondiaux connus de tous mais dont on aurait ignoré les véritables ressorts.
Sans entrer dans les théories du complot à la mode, il est essentiel de constater une fois de plus la puissance narratrice exceptionnelle des Etats-Unis. Et de chercher à comprendre comment Hollywood représente sans doute l’arme la plus puissante de la dernière super puissance planétaire. Le cinéma américain, une histoire d'influence. 34e Festival du Cinéma Américain de Deauville : Conférence de presse de Samuel L... Un jeune couple emménage dans leur maison de rêve en Californie. Ils seront bientôt la cible de leur voisin, qui désapprouve leur relation interraciale. Soft power: la fin d'une légende et la mort d'un concept Le gouvernement ukrainien suspend soudainement les négociations sur un accord d'association avec l'UE préparé depuis plusieurs années et en passe d'être finalisé.
Remise en question du terme de soft power – annezeno
Kiev relance dans le même temps les relations économiques avec Moscou et les négociations sur l'Union douanière. L'opposition accuse aussitôt le gouvernement d'avoir cédé à la pression de la Russie. Cela déclenche des manifestations de l'opposition pro-européenne à Kiev. Les plus importantes depuis la Révolution orange en 2004. Des manifestants qui tentent de bloquer les places fortes du gouvernement sont repoussés par la police à coups de matraques et de gaz lacrymogènes. L’hégémonie du cinéma américain en Europe et le rôle des accords Blum-ByrnesInfoguerre. Mercredi 16 novembre 2011, 9 nouveaux films sont à l’affiche dans les salles de cinéma françaises. Parmi eux, on retrouve 3 films français, 3 films américains, un film issu d’une collaboration européenne (France, Belgique, Luxembourg), un film japonais et un film australien. Le film phare de la semaine est le dernier épisode de la célèbre saga Twilight, très attendu par les fans des premiers épisodes et des romans Best-sellers de Stephenie Meyer.
Les films américains et les films français partagent donc 70% de l’affichage. La distribution sur les écrans semble encore très marquée par l’histoire et le contexte des accords Blum-Byrnes. En quoi la signature de ces accords a permis l’influence culturelle américaine massive au lendemain de la seconde guerre mondiale ? Contexte et enjeux de la signature des accords Blum-Byrnes 1946, au lendemain de la seconde guerre mondiale, l’Europe est en ruine. L’exercice du Soft Power US en France depuis 1945. Voici le retour sur une série d’émissions (50 min. chacune) diffusées la semaine passée sur France Culture dans l’émission « La fabrique de l’histoire ».
Le thème ? L’exercice du Soft Power US en Europe, et particulièrement en France, au sortir de la seconde guerre mondiale. Rétrospective… Le très bon blog Cassus Belli s’en était déjà fait l’écho. Scenario pedagoqique enseigner HG avec le cinema 3. Dossier N%C2%B08 Cine%CC%81ma et soft power USA Chine. Dossier n°8 – Le cinéma, instrument du soft power des États-Unis et de la Chine.
Le cinéma, instrument du soft power des nations. Hollywood, faiseur d'Histoire.