Underground parisien «L’enthousiasme est de retour» L’année 2015 est-elle le bon moment pour célébrer la vitalité de la musique dans nos contrées ? En bons Parisiens, on pourrait être tenté de grimacer et d’avancer quelques arguments comme quoi fêter les forces en présence quinze ans plus tôt ou trois ans plus tard aurait été tout aussi pertinent ou indécent. Mais en admirateurs épatés des divers remugles, tous genres confondus ou presque, qui agitent les cités parisiennes depuis trois ou quatre ans, on se doit d’affirmer : mieux vaut trop tard ou trop tôt que jamais. C’est en tout cas le parti pris enthousiaste qu’a choisi Vincent Cavaroc quand il a lancé l’idée du Paris Musique Club. Born Bad Records JB Wizz, label manager «Personne ne peut dire que la scène musicale française n’est pas plus intéressante aujourd’hui qu’il y a dix ans. Il n’y a qu’en France qu’on pense qu’on est la troisième roue du carrosse.
La Souterraine Benjamin Caschera, cofondateur Antinote Quentin "Zaltan" Vandewalle, patron Olivier Lamm. Nicolas Godin : "La pochette a une énorme influence sur la perception de la musique". Nicolas Godin, la moitié du groupe Air a attaqué cette fin d'année 2015 avec un album personnel surprenant, dans lequel il réinvente plusieurs morceaux tirés de l'œuvre de Jean-Sébastien Bach. "Contrepoint", signé chez Because, est un disque de pop expérimental, un sacré défi que s'est lancé l'artiste pour ce premier projet solo.
En solo pas totalement, puisque c'est avec sa femme Iracema Trevisan que nous l'avons rencontré. Sa moitié dans la vie, l'a accompagné sur la direction artistique et particulièrement la pochette du disque. Une occasion pour nous de creuser un sujet peu évoqué dans les médias : celui de l'univers visuel qui englobe un projet musical. Pour suivre Nicolas Godin & Iracema Tr vous présenter à nos lecteurs ? Nicolas : Je suis Nicolas Godin, musicien français et l'un des deux membres du groupe de musique Air, avec Jean-Benoît Dunckel. Iracema : Je m'appelle Iracema Trevisan, je suis Brésilienne. JOHN LYDON A l’heure PIL. C'est pas parce qu'on a été un Sex Pistols qu'on est forcément mort. La preuve : après avoir sorti ses mémoires, John Lydon dégaine un dixième LP de PIL. Pour fêter ça, le vétéran du punk a même dessiné une pochette toute pourrie. Rencontre avec l'homme le plus mal coiffé de la planète. Lydon…Un nom qui fait désormais parti du Hall of Fame de ce qu’on appellera pompeusement l’univers du rock.
On avait déjà eu de ses nouvelles il y a peu avec « La rage est mon énergie », deuxième et cocasse volume de ses mémoires. Rage. Car Lydon est avant tout un pur. Après 40 ans de bons et loyaux sévices sonores, le chanteur de PIL remet donc ça avec « What the world needs now », un dixième LP enregistré dans le studio de Steve Winwood, l’homme du Spencer Davis Group, de Traffic et de Blind Faith (Non, non, ne partez pas encore). Gonzaï : Bonjour John. John Lydon : Je sens avec mes mains. G : A quoi ça rime un nouvel album de PIL en 2015 ? JL : Et pourquoi pas ? JL : La pochette ? JL : Quoi ??? Vis ma vie de label indie - Le Turc Mécanique. Dans l’ombre laissée par la lumière factice émise par Universal, Sony et Warner, cette hydre à trois têtes qui se répartit plus de 70% du marché de la musique, certains idéalistes consacrent encore une partie de leurs journées à faire perdurer le fantasme selon lequel il peut encore exister, en 2015, une place pour le concept de «label indépendant».
À la tête de ces projets à but lucratif mais aux revenus rachitiques se trouvent des individus en forme de véritables couteaux-suisses, bien souvent à la fois label managers / directeurs artistiques / chargés de communication / commerciaux / attachés de presse / responsables du café. Vie de labeur, vie de label, vie de romantiques radicaux : le marginal du jour est Charles Crost, fondateur du label Le Turc Mécanique (Strasbourg, Marble Arch, Empereur, Last Night, Balladur…) Qui êtes-vous ? Charles, fondateur du label Le Turc Mécanique. Qui a trouvé le nom du label et le regrettez-vous ? On a vocation à être des amplificateurs. Charles Crost Non. Quand naît le son enregistré : « Nous ne serons pas dupes d’un ventriloque ! » A la fin du XIXe siècle, avant qu’il devienne un divertissement, le son enregistré fait peur : les phonographes rendent sourd, dit-on, et les enregistrements vont sonner le glas des musiciens professionnels. 11 mars 1878.
L’amphithéâtre de l’Académie des sciences est plein à craquer. Les hommes de l’art se pressent du coude et parlent avec excitation. On leur a promis de leur montrer une machine étonnante, inventée par un Américain, Thomas Edison. Ce « phonographe » permettrait d’enregistrer les voix et de les retransmettre. Du jamais-vu. Mais quand la machine est activée, un académicien bondit de son siège et saute à la gorge du représentant de la Edison Company en hurlant : « Misérable ! Comme il l’écrirait plus tard d’une plume indignée, il trouvait rigoureusement impossible « qu’un vil métal puisse remplacer le noble appareil de la phonation humaine ».
Making of Chaque technologie a produit ses angoisses et l’attente de grandes catastrophes. Une oreille humaine clouée à un stylet. Never trust a marxist in football ! Au début des années 80, Paris et sa banlieue virent émerger une contre-culture étonnante, anachronique et pourtant déjà urbaine. Les Bandes de fiftos, en face des traditionalistes Teddy Boys, battent le pavé de la capitale ne jurant que par les premiers et authentiques zélotes du rock'n'roll, d'Eddie Cochran à Little Richard.
Une exposition à la galerie Addict et un superbe livre nous racontent la geste de ces derniers esthètes, un tantinet amateurs d'échauffourés, du gomina et du Boogie. Petite Interview de Gilles Elie Cohen, l'homme qui captura cette séquence exceptionnelle d'une jeunesse rebelle à Paname, éternellement nostalgique, et deux de ces clans les plus emblématiques : Les Del Vikings et les Black Panthers.
Que le rock français repose en paix ! 1) Qu'est-ce qui rend si particulier selon vous cette histoire des bandes de fiftos à Paris au début des années 80? Le fait que je les ai pris en photo j'espère. Je me suis donné comme ligne de conduite de ne jamais citer de nom. Simon Reynolds : analyse de la "Rétromania" Rétromania, le dernier livre du journaliste et théoricien anglais Simon Reynolds, est un pavé de près de cinq cents pages dans la mare croupie de la culture pop. Pour le résumer en une phrase : le “c’était mieux avant”, ça suffit maintenant.
Alors que nous lisions ce livre, les deux phénomènes culturels du moment s’appelaient The Artist (un film muet en noir et blanc) et Lana Del Rey (une chanteuse qui semble surgie de 1962). Deux exemples parmi un million, que Rétromania, ouvrage important parce qu’il saisit l’air du temps, recense et analyse. Selon Simon Reynolds, 48 ans (même s’il en paraît quinze de moins), le dernier phénomène novateur dans la culture pop fut le mouvement rave des années 90 (peut-être aussi parce qu’il en était).
Dans un monde de merde (le nôtre), la nostalgie et le futur antérieur semblent être les seules échappatoires, les seuls espaces fantasmatiques. Blur va jouer cet été à Londres avec les Specials et New Order. Simon Reynolds, confidences d'un critique culte. Dans Bring The Noise, votre dernier ouvrage traduit en Français, vous présentez une bonne part de vos chroniques, articles et essais, écrits entre 1985 et aujourd'hui. Il n'a pas dû être facile de faire le tri dans cette masse d'information.
Comment avez-vous réalisé le final cut ? Je me suis principalement débarrassé des parties que je sentais se chevaucher les unes les autres ou qui provoquaient des répétitions des mêmes points. C’était difficile parce que vous êtes généralement attaché aux différentes parties de tout ce que vous avez écrit. Ce fut par exemple le cas pour le papier sur le Grime que j’ai réalisé pour le magazine The Wire, et dans lequel je commentais les "meilleurs morceaux de Grime jamais réalisés". Je ne l’ai pas gardé pour Bring The Noise parce que j’avais déjà pas mal de choses sur le Grime, Dizzee Rascal, etc. Je dirais juste que je ne suis qu’un parmi tant d’autres critiques qui ont osé aborder ce sujet (et certainement pas le dernier).
Oui, merci ! SIMON REYNOLDS [INTERVIEW] Retour vers le passé. Entre quête de sens et d'authenticité, on reconnait un bon critique musical parce qu'il est capable de prendre en grippe presque toute la création actuelle mais y consacre quand même sa vie. Voilà mon diagnostic après la lecture de la bibliographie du critique britannique Simon Reynolds, notamment ses pavés fouillés sur le post-punk ("Rip It Up And'on Start Again", 2005), la culture rave et éléctro ("Energy Flash", 1998) et surtout "Bring The Noise", florilège de ses articles parus dans le Melody Maker et Village Voice.
Sorti initialement en 2007, sa réédition cette année dans une version augmentée m’a donné l’occasion de le coincer dans un salon de thé parisien pour discuter de cette chère musique pop comme d’une amie qui va mal et qu’on aurait envie de psychanalyser. Mais la fidélité de Simon Reynolds envers Miss Pop se devine aussi quand il se montre capable d’en apprécier les sursauts, qu’ils viennent de l’autotune ou… de Skrillex. Vous allez à des concerts ? Pourquoi la musique n’invente plus rien : rencontre avec Simon Reynolds. Critique musical britannique (il a écrit pour Rolling Stone, The New York Times, The Guardian...), Simon Reynolds, 50 ans, est l’auteur de plusieurs livres sur l’évolution du rock, du hip-hop et de l’electro. « Rip it Up and Start Again : Postpunk 1978-1984 » (2006) et « Totally Wired » (2009) se penchent sur la scène post-punk.
Dans « Retromania », il essaie de comprendre cette nostalgie (« remakes » et « revivals » en tout genre) qui a envahi la culture actuelle. « Bring The Noise » tire son titre d’un morceau des rappeurs de Public Enemy. Il était sorti en 2007 et vient d’être édité en français et mis à jour par la maison d’édition Au Diable Vauvert. Le pavé explore les liens entre rock et hip-hop au travers de récits et d’interviews (PJ Harvey, LL Cool J, The Pixies...).
Nous l’avons rencontré à Paris. British et passionné. Rue89 : Dans « Bring The Noise », la partie sur l’avenir du hip-hop, qui date de 2009, est très pessimiste. . « Bring The Noise » de Simon Reynolds (Ed. LES REACS DU ROCK. “Il n’y a rien de plus con qu’un fan de rock” : Nicolas Ungemuth m’avait consolé de ces mots il y a quelques mois, tandis que je pansais mes plaies après la parution d’un papier évoquant la mort de ce mouvement musical et culturel. Les réactions de haine déclenchées suite à cette publication m’avaient d’autant plus surpris que je n’énonçais rien de bien neuf. La formule méritait d’être donc complétée ainsi: “Il n’y a rien de plus con et conservateur qu’un fan de rock”. Je ne parviens pas à comprendre comment un mouvement qui voulait tout casser et changer le monde il y a moins de cinquante ans ait pu devenir aussi mortifère en se référant constamment au passé et en refusant toute critique.
Tous à la Philharmonie ! D’ailleurs ces derniers jours j’ai accompli un truc un peu honteux : je me suis rendu à l’exposition David Bowie qui se tenait à la Philharmonie de Paris. “Paul le Beatle est mort ! Nous serons tous des Paul McCartney cette semaine-là et ça ne sera pas beau à voir. The Idiot ? Psycho Tropical Bruxelles | ARTE. À lui seul, il a défini la patte visuelle d’un label incontournable de la scène rock française, Born Bad Records.
Mais Elzo Durt ne fait pas qu’illustrer des pochettes de disques… On le connaît sans forcément savoir son nom. Il est possible que certains de « ses albums » traînent dans vos bacs à vinyles… le Belge Elzo Durt, depuis quelques années, se fait connaître en tant qu’artiste à la patte singulière, évoluant surtout dans le milieu du garage rock. Le tout sans être bassiste ou joueur de triangle… Elzo travaille uniquement par collages. Galerie : Elzo Durt artworks (1) 5 photos Les disques de PyPy, La Femme ou encore Wall Of Death arborent des pochettes d’Elzo, qui leur offre une partie de son univers, déjà bien défini à la base. Galerie : Elzo Durt artworks (2) Ses armes, il les a aiguisées dès sa sortie d’école d’art en 2003, notamment en ouvrant sa propre galerie un an plus tard.
Galerie : Elzo Durt artworks (3) Rockerill - 136 Rue de la Providence - 6030 - Marchienne (Belgique) PAS DE BRAS, PAS D’INTERVIEW DE CHOCOLAT. Si l'interview d'un groupe n'est certainement pas le sport de combat parfois décrit par des journalistes en mal d'auto-satisfaction, il est aussi très loin de la ballade bucolique qu'on pourrait imaginer. Il arrive que l'instant soit fluide comme la signature d'un chèque par Pierre Bergé. Et parfois, on fait de la merde. Au risque de finir Chocolat. La plupart des pigistes te le dira : la presse musicale est un monde merveilleux. Un champ des possibles où tout semble impossible, une terre promise dénuée de promesses. Pour faire simple, un monde sans pitié où les tartes se perdent, et une certaine idée de la lose.
Mais on s’en branle, car il reste le miel : la rencontre avec les musiciens. Chocolat, si tu n’as pas suivi, est un groupe québécois qui sévit à Montréal. Autant dire qu’avec « Tss Tss », le nouvel album du groupe, la surprise de taille. Interviewer un groupe n’a jamais été une sinécure. Alors quand je me lance, c’est souvent sans filets. GONZAI : Salut Jimmy. Exactement! La résistance du vinyle | Histoires de boîtes. Jadis, à une époque que beaucoup de jeunes ne veulent pas connaître, la musique n’existait pas seulement sur internet, mais aussi pressée sur des disques. Il fallait se lever, aller chez son disquaire, lui parler, soit pour lui demander conseil, soit pour vérifier qu’il avait bien reçu le dernier vinyle des Floyds. Il fallait ensuite se lever à nouveau pour déposer le disque sur la platine, puis s’installer pour l’écouter (avant de se relever pour changer de face!)
, des centaines de fois, jusqu’à en connaître la moindre note (et avoir les cuisses musclées à force de se relever). Aujourd’hui, certains irréductibles tiennent toujours boutique pour perpétuer leur amour du disque. C’est le cas du disquaire indépendant le mieux installé sur Bordeaux, situé à quelques pas de la place de la Victoire : Total Heaven. Les gens en parlent, la presse clame que c’est son grand retour alors qu’en réalité il n’est jamais parti. Pourquoi ce format encombrant refuse-t-il de disparaître? Pas seulement. “La saveur du mouvement des radios libres, c’était son illégalité” Photo par id-iom Des premiers émetteurs clandestins à l’essor du web : retour sur l’histoire du mouvement des radios libres, avec Thierry Lefebvre, maitre de conférences à l’université Paris-Diderot et auteur de La bataille des radios libres : 1971 – 1981, (Nouveau Monde Editions-INA, 2008) et de Carbone 14, l’histoire d’une radio mythique (à paraître prochainement aux éditions L’Harmattan-INA).
Quel était le contexte dans les années 1970, au moment où les premières radios pirates ont émergé ? Nous étions dans une situation de monopole pour la télévision comme pour la radio, ce qui signifiait que l’État était l’unique opérateur agréé sur le territoire. Seul Radio France pouvait émettre depuis le territoire français. De l’autre côté, il existait des radios privées nées à différentes époques, que l’on appelait les radios périphériques, dans la mesure où leurs émetteurs étaient dans des États périphériques à la France. Ces radios utilisent les grandes ondes (AM). Tags: Êtes-vous radio actif ? Interviews - Jean-Pierre Decerf - Space is the Place. TECHNIKART (1991-2015) Une grande aventure de presque écrite. Industrie culturelle: s'hybrider ou mourir. La K7 audio : le retour ? La K7 bande encore | StreetPress. Gonzaï Records : de la culture freak aux bacs à disques.
// born bad. Elzo, le non sérieux | The Red Bulletin. Son vintage, revival : l’avenir est derrière nous? | arbobo. Simon Reynolds Interview. Gonzai » Seul le detail compteLABEL MONOPSONE Monopole de discrétion, mais indisciplinée - Gonzai. Gonzai » Seul le detail compteLA FAUSSE "RE-MORT" DU ROCK - Gonzai. Gonzai » Seul le detail compteLE ROCK CRITIC EST MORT... DE FAIM - Gonzai. Soirée Howlin'Banana Records | Casbah. La découverte du lab #86 : Volage - Les inRocks Lab. Trouve-toi un vrai job ! : Teenage Menopause Records. Gonzai » Seul le detail compteBORN BAD "Bad Music for Bad People" depuis 15 ans - Gonzai. Gonzaï lance son label. Elzo Durt, illustrateur : “Mon processus créatif est purement numérique” - Sortir. Seul le detail compteBANANAS MAGAZINE 5 freaks et légumes par jour.
Seul le detail compteTHE POP GROUP Le no future est de retour. Seul le detail compteDERF BACKDERF [INTERVIEW] Q : Are we not men ? A : we are cartoons. Vinyle : quand la demande dépasse l'offre. Volage : "La scène underground française est enviée en Europe" — Shadazz • La France Indé Se Porte Bien En 2014,... Une année de musique en France, de Christine and the Queens à JC Satan. Le vinyle connaît un tel boom que les fabricants n'arrivent plus à suivre. — Shadazz • Burger Records : l’explosion 2014,... 2014, l'année de tous les records pour le vinyle - MyBandNews. BANZAI - Revue Hybride Indépendante - - Accueil. Seul le detail compteLE ROCK EN FRANCE VA TRÈS BIEN. Seul le detail compteLA SOUTERRAINE Un an d'existence et ils enterrent tout le monde. Seul le detail comptePROFESSION : ROCK CRITIC (4/5) Michka Assayas. Volage, une subtile sauvagerie rock. PROFESSION : ROCK CRITIC (5/5) Lelo Jimmy Batista (Noisey) Expo vikings & panthers à Paris : loubards, vestes en cuir et rockabilly.
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