The cloud drove Q1 results for Google, Amazon, and Microsoft. Six mistakes in your OpenStack monitoring process…and how to fix them | Dynatrace blog. Many cloud admins unwittingly sabotage their OpenStack monitoring processes. I collected a few common mistakes and what to do instead to make your OpenStack troubleshooting easier. Mistake #1: Investing a lot of time and effort into configuration Let’s get this straight: most commercial and open source monitoring tools avoid talking about how much effort you must invest in their configuration, let alone in their maintenance.
So first try to find out if you’ll have to modify files. Set permissions. Quick fix Given the fact that Dynatrace works with one agent, out-of-the box, and requires zero configuration, setting it up for monitoring OpenStack is easy. Mistake #2: Using too many different tools for different monitoring use cases As an OpenStack user, you might be interested in resource utilization metrics, how your OpenStack services perform, their availability, and of course you want to see the log files. Quick fix Mistake #3: Overloading yourself with too many problem alerts Quick fix: Forbes Welcome. Forbes Welcome. Next Wave Of SaaS Growth – Machine Data | Send Your Unstructured Data To The Cloud. If we’re to segment Enterprise Software-As-A-Service (SaaS) customers, we would roughly put them into two buckets: Departmental Units or Line of Businesses (LOB’s) – Sales, Finance, HR, Marketing etc.IT & Security Teams – Operations, Security, Infrastructure, Windows, Unix etc. When it comes to the former, the question whether to go Software-As-A-Service (SaaS) or not is largely settled in favour of SaaS based platforms.
This is the case for companies of all sizes. SaaS seems to be the way forward for Departmental Units or Line of Businesses who require solutions for their different functions: CRM, HR, Payroll, Employee Expenses, Travel, Marketing etc. These Lines Of Business functions seems be quit happy to store internal employees and customer information, marketing information etc in the Cloud and deal with any concerns around data privacy, compliance and security. Why is this happening? Diagram 1: Lines of Business are already way on their way to the Cloud.
Summary and Key Takeaways: Virtustream's µVM. Diane Greene, la star du cloud recrutée par Google pour 150 millions de dollars. Dans la Silicon Valley, on appelle cela un "acqui-hire" - l'acquisition d'une start-up dont le principal but est de recruter ses dirigeants ou ses équipes d'ingénieurs. Fin novembre, Google a procédé à l'une de ses plus importantes opérations de ce type. La société de Mountain View, désormais filiale de l'entreprise chapeau Alphabet, a mis la main sur Bebop, une petite start-up californienne, jusque-là très discrète, spécialisée dans le cloud computing, l'informatique dématérialisée. Objectif: débaucher sa fondatrice, Diane Greene. Pour attirer sa nouvelle recrue, le moteur de recherche n'a pas hésité à signer un très gros chèque. Mme Greene, 60 ans, est une figure de la high-tech américaine. “Diane possède une inestimable expérience opérationnelle qui va aider notre entreprise”, assure Sundar Pichai.
Si Google est prêt à dépenser autant, c'est parce que la société est entrée dans une phase de transition. Photo: Robert Scoble Signaler ce contenu comme inapproprié. L'informatique libérée, ce n'est pas si facile — Pilot Systems. Snapshot Compaq a rêvé du Cloud en 1996 [1] et Amazon l’a fait en 2006 . En 2014, Amazon propose 16 cas d’usage, allant du simple hébergement d’application web au traitement à grande échelle d’importantes données (Big Data), en passant par la diffusion multimédia, le traitement par lots, la reprise après sinistre, la grille de calcul, les jeux en ligne, etc [2]. Certes, il est toujours possible d’acheter ses propres équipements informatiques, de trouver un hébergeur et d’établir un contrat qui nous lie avec lui pour 10 ans. Mais cela devient de plus en plus anecdotique. Un décideur d’un grand groupe pétrolier a expliqué que le Cloud est devenu la norme et l’achat des ressources informatiques soigneusement justifié.
Pour autant, beaucoup de questions subsistent pour les les dirigeants de PME : quelles sont les applications éligibles ? Les enjeux d’une migration Les opérations telles que le démarrage et l’arrêt de serveur sont simples dans le Cloud. Centrée sur les besoins exprimés. Robert Leblanc nommé à la tête d'IBM Cloud. Robert Leblanc est responsable de la stratégie cloud d'IBM au niveau mondial. Il est arrivé chez Big Blue il y a 34 ans. (crédit : D.R.) Jusque-là responsable du groupe Software & Cloud Solutions d'IBM, Robert Leblanc devient vice président senior de l'activité Cloud, de plus en plus stratégique pour big blue. C'est aussi lui qui pilote l'agenda technologique.
IBM vient de nommer Robert Leblanc vice président senior de son activité cloud. A ce poste, il est responsable au niveau mondial du portefeuille de technologies et services cloud de big blue. Le nouveau patron du cloud veut aller vite, c'est son maître-mot. Le mobile tire le cloud Robert Leblanc a une vision très claire sur l'année en cours. Âgé de 56 ans, ce vétéran de big blue est arrivé dans la société il y a 34 ans, au Canada. Gartner: Why private clouds fail. Most businesses believe their private clouds have failed, according to a survey by research firm Gartner. Gartner analyst Tom Bittman says 95% of respondents reported that some aspect of their IaaS private cloud has gone wrong. In other words, 19 out of 20 private cloud implementations are leaving something to be desired.
The obvious question is: why? +MORE AT NETWORK WORLD: Cloud jumping: When to switch providers + In a recent blog post Bittman lists the top six reasons he believes private clouds fail. Here’s a link to his blog, but in summary they are: -Focusing on the wrong benefits: Many times cloud projects are pursued as a money-saving endeavor. -It’s not really a cloud: Many people mischaracterize highly virtualized environment as a private cloud. -Getting nitty-gritty: A cloud project will require infrastructure and operations teams to work together. -Align IT and business: As Bittman notes: “Optimizing for everything means optimizing for nothing.” LinkedIn. Le transhumanisme en cinq questions. 01net. le 20/11/14 à 12h17 C'est quoi, le transhumanisme ? A l'occasion du colloque Transvision, qui a lieu à partir d'aujourd'hui à Paris, nous consacrerons quelques articles et interviews dans les jours à venir à ce mouvement très peu connu en France, mais très populaire outre-Atlantique.
Il est à notre avis important d'avoir quelques notions de la pensée transhumaniste, car de nombreuses innovations actuelles en sont le fruit et elle est courante dans de nombreuses entreprises et universités américaines que nous évoquons sur ce site régulièrement. Voici une courte FAQ pour débuter. • C’est quoi, le transhumanisme ? Le transhumanisme, c’est un mouvement d’idées qui affirme que les technologies émergentes représentent une opportunité de changer notre nature humaine, voire notre condition de mortel. • Quand ce mouvement a-t-il été fondé ? Le transhumanisme est né dans les années soixante en Californie. Mais il faut attendre les années 80 pour qu'il soit revendiqué comme tel et théorisé. Facebook. Cloud : HP et Akamai dominent, Microsoft décroche. Comparatif cloud : Numergy détrône Google sur les performances. Le comparatif Cloud JDN / CloudScreener / Cedexis fait peau neuve. Aux côtés des indices de performance et de prix, il intègre désormais un indice de niveau de service.
Le comparatif CloudScreener / Cedexis pour le JDN affine une nouvelle fois sa méthodologie dans l'optique de proposer un classement toujours plus représentatif de la réalité du terrain. En complément des indices historiques de performance technique et de prix, il intègre à l'occasion de cette nouvelle édition un indice de niveau de service. Conçu par CloudScreener, ce nouvel indice est calculé à partir de plusieurs critères : la capacités du cloud à monter en gamme (en termes de RAM et vCPU), sa présence géographique en matière de zones de disponibilité, ses engagements de disponibilité (SLA), sans oublier sa conformité avec les grandes certifications du marché.
OVH est toujours en cours d'intégration dans le classement. Classement général SoftLayer, le cloud d'infrastructure d'IBM, fait son entrée dans le palmarès. IBM présente son offre de sécurité pour le Cloud. Le groupe vient de présenter un portefeuille de produits et de services pour sécuriser « personnes, données et applications » dans le Cloud, intégrant une couche analytique. Baptisé Dynamic Cloud Security, la gamme vise à « combler les trous de sécurité qui peuvent exister entre Cloud interne, applications SaaS, et applications mobiles », en intégrant des composants de gestion des identités et des accès, de contrôle des données, d’amélioration de la traçabilité, et d’optimisation des opérations de sécurité pour le Cloud.
Et de revendiquer avoir mobilisé 200 ingénieurs au cours des douze derniers mois afin de développer cette offre. Pour le volet traçabilité et visibilité, IBM mise sur sa plateforme analytique de sécurité QRadar, en l’ouvrant à son cloud Softlayer ainsi qu’à des services de Cloud publics tels qu’AWS. Enfin, IBM propose une plateforme de services de sécurité managés dédiée à supervision des environnements Cloud. Plus d'actualités et de tutoriels. IT Cloud Spending Going Skyward, IDC Predicts.