Planning familial. Il existe plusieurs techniques efficaces pour réguler les naissances.
Les moyens utilisés à cet effet sont appelés moyens de contraception ou moyens contraceptifs. Mais le meilleur moyen contraceptif, s'il est mal supporté ou mal utilisé, peut se révéler inefficace. Pour recevoir l'aide et les conseils nécessaires quant à l'utilisation des moyens contraceptifs, mieux vaut consulter votre médecingénéraliste ou votre gynécologue. Si vous habitez en Wallonie ou que vous êtes bruxellois francophone, vous pouvez vous adresser à un centre de planning familial (link is external).
Si vous habitez en Flandre ou que vous êtes un bruxellois néerlandophone, vous pouvez également vous adresser à un Centrum voor Algemeen Welzijnswerk (link is external). Ces centres disposent de médecins, de psychologues, d'assistants sociaux, de juristes ... Fertilité. L'IVG plaide toujours coupable. Régine est arrivée un peu en avance.
Pour justifier son absence au travail en cet après-midi du milieu de semaine, elle a dit "plus ou moins" la vérité : interruption de grossesse, c'est audible. Volontaire, un peu moins. Dépénalisation ou pas de l'IVG, les femmes préfèrent rester discrètes sur ces trois lettres - qu'importe qu'elles aient, comme Régine[1], un mari, trois enfants et presque quarante ans. Dans la salle d'attente du centre Louise Michel, cette grande brune parvient mal à cacher son anxiété.
Le souvenir de sa première IVG, réalisée dans un hôpital liégeois, l'a durablement marquée. Les centres de planning familial demandent de retirer l’avortement du code pénal. Les centres de planning familial affiliés au GACEHPA (Groupe d’action des Centres extra-hospitaliers pratiquant l’avortement) et à son homologue flamand Luna demandent la dépénalisation totale de l’avortement, ont-ils fait savoir mercredi dans une résolution publiée à l’occasion des 25 ans de la loi sur l’avortement le 3 avril prochain.
Parmi leurs revendications, figure également la prolongation du délai légal de 12 semaines de grossesse. Le GACEHPA et Luna regroupent la majorité des centres de planning familial belges qui pratiquent l’avortement. En Belgique francophone, seuls les centres liés aux Femmes prévoyantes socialistes (FPS) ne font pas partie de ces coupoles. Dans une résolution qu’elles transmettront à la ministre de la Santé Maggie De Block le 3 avril, les deux associations demandent le retrait de l’avortement du code pénal. Source: Belga. L’IVG hollandaise attire les jeunes Belges - L'avenir.
Pour pratiquer un avortement au-delà de 12 semaines de grossesse, de plus en plus de Belges prennent la direction des Pays-Bas.
Traverser la frontière hollandaise pour y pratiquer une interruption volontaire de grossesse, c’est de plus en plus courant. Pour certaines femmes, ce déplacement est nécessaire quand la grossesse dépasse les 12 semaines qui correspondent à la limite légale en Belgique. Aux Pays-Bas, la loi autorise de pratiquer une IVG jusqu’à 22 semaines. En Belgique, les centres pratiquant l’avortement en appellent à une extension du délai légal au-delà de 12 semaines.
Cela permettrait ainsi d’éviter d’envoyer des jeunes femmes se faire opérer ailleurs. À Liège, le SIPPS est un centre de planning familial qui s’adresse aux jeunes de moins de 25 ans. Cette épreuve physique et psychologique est particulièrement bien accompagnée: que ce soit par le SIPPS ou par le personnel médical hollandais. Avortement: allonger les délais, une solution? Les centres de planning familial demandent de retirer l’avortement du code pénal. "Il est urgent de former de nouveaux médecins qui pratiquent l'IVG" Par: rédaction 5/12/14 - 16h00 Source: Belga © thinkstock.
La Fédération des centres de planning familial des femmes prévoyantes socialistes a notamment réclamé vendredi que davantage de médecins soient formés à l'Interruption volontaire de grossesse (IVG) et a demandé la création d'un site officiel d'informations sur l'avortement émanant des autorités fédérales, lors d'un point presse à Namur. Environ 20.000 IVG sont pratiquées annuellement en Belgique et la moyenne d'âge des femmes qui y ont recourt est de 27 ans. Contrairement a une idée reçue, ce ne sont pas les adolescentes qui ont le plus souvent recourt à l'IVG mais les femmes de 27-28 ans.Les raisons de leur choix sont multiples mais elles sont souvent liées à des causes économiques, au fait d'avoir déjà un ou des enfant(s) ou aux relations de couple.Sur 20.000 IVG, 17.000 sont pratiquées en centre extrahospitalier par 90 médecins.
80 femmes posent contre la stigmatisation de l'avortement. 80 femmes courageuses s’affichent pour lutter contre la stigmatisation de l’avortement. Un appel avait été lancé fin septembre aux femmes belges ayant avorté et qui souhaitaient se faire photographier pour la campagne.
"Le premier jour, nous comptabilisions déjà 26 inscriptions. Et aujourd'hui, nous en sommes à 80, soit beaucoup plus que nous n'osions l'espérer", se félicite Tom Nys, le responsable de cette action. La plus jeune des femmes volontaires a 20 ans, tandis que la plus âgée affiche 75 printemps. Elles sont originaires de tout le pays et de toutes les couches sociales. "Elles illustrent parfaitement ce que nous voulons démontrer avec cette campagne: qu'une grossesse non planifiée fait partie de la vie et que cela peut arriver à tout le monde", poursuit Tom Nys.
Tous les portraits obtenus seront fusionnés et combinés dans une affiche avec le slogan suivant "25 ans de la loi sur l'avortement en Belgique - Pour votre soeur, votre amie, votre fille, vos collègues, votre mère". La brochure : « Le droit à l’avortement : état des lieux 2013 » est téléchargeable ici : - Abortion Right. Documentaire "Le corps du délit - 20 ans du droit à l'avortement en Belgique'' Dossier pédagogique 20 ans du droit à l'avortement en Belgique - Abortion Right.
Bruxelles défend l’aide au développement concernant l'avortement. Panik sur la ville se penche sur l’accès à l’IVG en Belgique et en Europe. Avortement, interruption volontaire de grossesse, peu de mots existent en somme pour nommer cette réalité à laquelle une femme est confrontée pour mettre fin à une grossesse non désirée.
Le droit des femmes de choisir a été au centre de l’émission Panik sur la ville de ce 23 avril, à laquelle ont participé Cédric Vallet et Julien Winkel, journalistes d’Alter Échos (Lire notre dossier l’IVG en danger ?). Ce droit, gagné au prix d’une longue lutte et d’une lente évolution des mentalités en Europe comme en Belgique semble aujourd’hui mis en danger, tout comme les conditions élémentaires dans lesquelles il doit s’exercer. Manifestation en faveur du droit à l'avortement - Wake up Bruxelles. Détails Publié le 3 février 2014 Le 20 décembre 2013, un projet de loi limitant le droit des femmes à l’avortement a été adopté par le Conseil des ministres espagnol.
Cette réforme est particulièrement inquiétante tant elle vise à faire reculer les droits des femmes durement acquis et à mettre en péril leur santé. Face à cette attaque envers la liberté des femmes à disposer de leur propre corps, de nombreuses manifestations ont été organisées partout en Europe, et notamment à Bruxelles ce 29 janvier. Manifestation en faveur du droit à l'avortement - Wake up Bruxelles. Accueil.