Let’s copy (party) ! CDlyceerabelais : #copyparty au forum des... Calimaq : La #CopyParty se prolonge par... Copy Party ! 1ère mondiale le 7 Mars 2012 à La Roche sur Yon. (Vous pouvez aussi télécharger une version courte de ce cadre juridique : cadrage-juridique-2pages.pdf ou retrouver ce même texte avec de nombreux liens et commentaires sur le blog de Lionel Maurel) Qu’est-ce que la copie privée ?
Veni, vidi, Copy. Si vous gravitez un tant soit peu par conviction, par affinité ou par obligation autour du petit monde des bibliothèques, vous n'avez donc pas pu manquer "the big thing", le truc dont tout le monde parle (encore), je veux bien sûr parler de la Copy-party du 7 mars 2012 organisée à la bibliothèque universitaire du pôle universitaire yonnais (= la roche sur yon).
Chose promise, chose dûe, un billet pour faire le point et répondre à la question : Que retenir de tout cela ? C'EST PAS MOI C'EST EUX. Avec mes deux petits camarades, Silvère Mercier et Lionel Maurel, on s'est gourmandement partagé les diverses interventions médiatiques (j'y reviens plus tard). And the winner is ... Copy Party ! Je suis actuellement en déplacement.
De la copie en bibliothèque (suite) La première #copyparty dans un lycée a eu lieu ! Vous souvenez-vous de la première #copyparty intersidérale ?
Organisée à la Bibliothèque Universitaire de la Roche-Sur-Yon, elle proposait aux participants de copier pour leur usage privé n’importe quel document de a bibliothèque, en s’appuyant sur l’article L 122-5 du code de la propriété intellectuelle, à condition de le faire avec ses propres moyens de copie et sans briser de DRM, en toute légalité, tout simplement. Attentifs aux usages et aux enjeux soulevés par la copie, nous avions été récompensés par le prix Bibliothèque et documentation du futur pour cette initiative, avec Lionel Maurel, Olivier Ertzscheid et votre serviteur. Nous sommes donc particulièrement fiers de vous dire aujourd’hui qu’une #copyparty a eu lieu dans un lycée, le Lycée Rabelais en Vendée.
Peut-on copier en toute L-égalité ? A l’instar de ce qui va suivre je dois le titre de cet article à ma collègue Anne Sophie Domenc qui a assuré l’essentiel de la préparation et du suivi de la copy party qui va, comme je vous l’avais annoncé il y a quelques mois, se dérouler au lycée, ce vendredi.
J’en profite, par ailleurs, pour remercier, en notre nom, Olivier Ertzscheid, Lionel Maurel et Silvère Mercier pour la disponibilité et l’attention dont ils nous ont fait la sympathie. Nous savons l’intérêt qu’ils portent à cet événement qui constitue tout de même une première et, au delà du clin d’oeil, pour sa dimension pédagogique dans le contexte spécifique d’un lycée.
Point sur lequel je vais concentrer l’essentiel de mon propos. Nous avons mis en oeuvre ce projet dans le cadre de l’option littérature et société de seconde avec un groupe de 22 élèves, à raison de 2 heures par semaine sur une séquence de 9 séances. MàJ : Pour un compte-rendu de cette copy party sur Bibliobsession. Une copy party en lycée. Le 7 Mars 2012, à La Roche sur Yon avait eu lieu la première copy party en bibliothèque universitaire.
Le concept même de copy party été né de la réflexion sur le droit de copie privée de deux bibliothécaires Lionel Maurel et Silvère Mercier : « Puisque les bibliothèques peuvent prouver la licéité des sources, la notion de copie privée peut s’appliquer à la copie par les usagers d’œuvres acquises par la bibliothèque elle même. » Une première copy-party organisée par Olivier Ertzscheid, a eu lieu sur le campus de l’Université de Nantes à La Roche sur Yon, le 7 mars 2012.Les CDI ont eux aussi la même spécificité d’acquisition d’œuvres légales à partager ; ce qui a été fait en bibliothèque universitaire peut être appliqué au CDI. Voilà qui est fait. Peut-on copier en toute L-égalité ? Cactus Acide 4 décembre. Scénario pédagogique : Objectifs, modalités, notions abordées.
Peut-on copier en toute L-égalité ? J’en profite, par ailleurs, pour remercier, en notre nom, Olivier Ertzscheid, Lionel Maurel et Silvère Mercier pour la disponibilité et l’attention dont ils nous ont fait la sympathie.
Nous savons l’intérêt qu’ils portent à cet événement qui constitue tout de même une première et, au delà du clin d’oeil, pour sa dimension pédagogique dans le contexte spécifique d’un lycée. Point sur lequel je vais concentrer l’essentiel de mon propos. Nous avons mis en oeuvre ce projet dans le cadre de l’option littérature et société de seconde avec un groupe de 17 élèves, à raison de 2 heures par semaine sur une séquence de 9 séances.
Nous avons choisi pour domaine d’exploration le livre et la littérature numérique que nous avons souhaité aborder sous l’angle des normes appliquées au regard du Code de la propriété intellectuelle.