La sonde américaine Osiris-Rex a réussi sa manœuvre sur l’astéroïde Bénou. « Contact confirmé », « échantillonnage terminé » : la sonde américaine Osiris-Rex est brièvement entrée, mardi 20 octobre, en contact avec l’astéroïde Bénou, comme prévu, a confirmé la NASA lors d’une retransmission des opérations en direct, déclenchant une ovation parmi l’équipe après cette étape de quelques secondes, plus de quatre ans après le lancement de la sonde.
Lire aussi Une sonde américaine devrait toucher l’astéroïde Bénou pour en prélever un échantillon « Tout s’est passé parfaitement, a annoncé quelques minutes plus tard Dante Lauretta, le chef de la mission, submergé par l’émotion. Nous avons écrit une page d’histoire, ce soir. » A cette distance, le signal met dix-huit minutes et demie pour aller de la Terre à Bénou, et inversement.
Le premier message de confirmation de l’opération est arrivé sur Terre comme prévu à 0 h 12 (heure de Paris) mercredi, puis l’appareil a confirmé avoir réalisé l’échantillonnage et être reparti à distance sûre de Bénou. Aurait-on confondu matière noire et effet de marée ? Une étude parue hier dans The Astrophysical Journal contredit les modèles de physique de la matière noire.
Cela fait bientôt 50 ans que l’on tente de détecter cette hypothétique matière noire. Elle expliquerait le comportement des galaxies entre elles et les anomalies de vitesse de rotation d’étoiles. À partir des nouvelles données du satellite Gaia, une équipe franco-chinoise a réexaminé les étoiles et la dynamique des galaxies naines proches de notre Voie lactée. Les chercheurs se sont aperçus que leurs orbites étaient - non pas circulaires comme on le pensait, comme des satellites autour de notre galaxie - mais radiales, c’est-à-dire qu’elles viennent vers la Voie lactée de façon brutale.
À partir de là, l’étude montre que ce qui est établi pour être de la matière noire est en fait un phénomène physique beaucoup plus simple : un effet de marée, celui que la Voie lactée exerce sur les galaxies naines qui l’entourent. Vivons-nous dans un trou noir ? Remontons le temps : avant la venue de l’Homme, avant l’apparition de la Terre, avant la formation du soleil, avant la naissance des galaxies, avant toute lumière… il y a eu le Big Bang.
C’était il y a 13,8 milliards d’années. Mais avant cela ? De nombreux physiciens avancent qu’il n’y avait rien avant cela. Le temps a commencé à s’écouler, insistent-ils, au moment du Big Bang et méditer sur tout ce qui aurait pu se produire avant ne relève pas de la science. Nous ne comprendrons jamais à quoi pouvait ressembler le pré-Big Bang, ou bien ce dont il était constitué, ou encore qui a provoqué son explosion ayant mené à la formation de notre univers. Pourtant, quelques scientifiques non-conventionnels ne sont pas d’accord.
On imagine cette graine d’une taille incroyablement petite, peut-être des trillions de fois plus petite que n’importe quelle particule observable par l’Homme aujourd’hui. S’il n’y avait qu’une chose à appeler la particule de Dieu, cela y ressemble bien. La première image d'un trou noir vient d'être révélée. L'image de M87 correspond à cette prédiction, bien que l'anneau de lumière soit un peu inégal, le faisant ressembler à une sorte de gros beignet.
La matière qui tourne autour d’un trou noir forme un disque incandescent et, puisqu’une partie de ce disque se déplace vers nous, une partie du cercle devient un peu plus lumineuse. Sur la base de l'horizon des événements de M87, l'équipe de recherche a également mesuré sa masse à environ 6,5 milliards de soleils, ce qui la situe bien dans les estimations indirectes dérivées des mouvements des étoiles en orbite.
Problème cependant : cette estimation de masse est beaucoup plus grande que le nombre dérivé du mouvement du gaz en orbite, technique plus simple et plus couramment utilisée pour tenter de « soupeser » un trou noir. Si cette méthode ne fonctionne pas précisément, il est temps pour les scientifiques de comprendre pourquoi. Personne ne sait vraiment ce qui se trouve au cœur d’un trou noir, appelé singularité gravitationnelle. Le pôle Nord magnétique perd la boussole. Home. Vivons-nous dans un trou noir ? Physique : le Cern propose un accélérateur de 100 km. Après la découverte du boson de Higgs, comment poursuivre la quête de l’infiniment petit ?
Alors que le Large Hadron Collider, le collisionneur de protons du Cern pourrait continuer à explorer l’intimité de la matière jusqu’en 2035, les physiciens savent déjà qu’il a peu de chance de bousculer les limites actuelles de la physique. Des scientifiques ont mesuré la « couleur » de l'antimatière. Watch. Théorie de la relativité d'Einstein. Copyright Arte 2005. Key Dark Matter Detection Experiment Again Comes Up Empty-Handed. Une plongée en 3D à l’intérieur de la grande nébuleuse d’Orion. Les meilleures images des télescopes spatiaux Hubble et Spitzer ont été utilisées pour réaliser cette visite en 3D de l’une des plus vastes régions de formation stellaire de notre galaxie.
Ce plongeon dans la nébuleuse d’Orion a été réalisé par une équipe d’astronomes et de spécialistes du traitement et de l’analyse des images du STScI (Space Telescope Science Institut) et de l’IPAC (Infrared Processing and Analysis Center/Caltech). Ces chercheurs ont travaillé avec les meilleures images disponibles à ce jour en lumière visible et en infrarouge, prises avec les télescopes spatiaux Hubble et Spitzer, pour reproduire le modelé et le relief de cet immense nuage interstellaire, avec ses zones inertes et sombres et ses clairières lumineuses, dégagées et éclairées par l’intense rayonnement de jeunes étoiles géantes. Image de la nébuleuse d’Orion réalisée avec le télescope spatial Hubble. Crédits : NASA/ESA/M. Lire aussi : Les nébuleuses d’Orion Mercredi 17 janvierNouvelle lune aujourd’hui.
Chasse aux exoplanètes : l'IA associée à Kepler va rendre ses résultats. La NASA a annoncé la tenue d'une téléconférence pour révéler les nouvelles découvertes faites par le télescope spatial Kepler.
La conférence se déroulera le jeudi 14 décembre à 10h PT, donc à 19h en France et sera retransmise en direct sur le site web de la NASA. Les chercheurs importants discuterons de ce qui a été appris via l'utilisation de l'apprentissage de l'intelligence artificielle de Google pour analyser les données de Kepler. On pourra écouter le compte rendu du directeur de la division astrophysique de la NASA, Paul Hertz, l'astronome Andrew Vanderburg, la scientifique du projet Kepler Jessie Dotson et l'ingénieur informaticien spécialisé dans l'IA de google Christopher Shallue. Le téléscope chasseur de planète Kepler a été lancé en 2009 et a livré une pléthore d'information ayant permis de nombreuses découvertes. Grace à Kepler, les astronomes ont pu vérifier la présence de nombreuses planètes en dehors de notre système solaire.
Team that found Proxima b exoplanet is looking for a neighbor - CNET. Kepler shows small exoplanets are either super-Earths or mini-Neptunes. Small worlds come in two flavors.
Astrobiologie. La vie sur Terre pourrait avoir commencé par des molécules venues du Soleil. L’observation d’une jeune étoile similaire à notre Soleil a permis de détecter des traces des éléments chimiques qui sont les ingrédients de base de la vie telle que nous la connaissons sur notre planète.
These seven alien worlds could help explain how planets form. We are saddened by the loss of Sen. John Glenn, the first American to orbit Earth. A true American hero. Godspeed, John Glenn. Ad astra. Inside the secretive Chinese space program that could threaten NASA's dominance. About 3.8 billion years ago, huge impacts created the moon's Orientale impact basin. Moon mission shares insights. Day 1 of the #Proxima mission and already one of the new experiments is running! MATISS tests innovating smart surfaces in space #FrenchTech. 1er jour de la mission #Proxima et déjà des expériences de lancées! Avec MATISS je teste des surfaces innovantes dans l'espace #FrenchTech. When humans reach Mars, we're going to need power. Molten salt reactors could provide it.
The @Space_Station is amazing: better than in my best dreams. I wish everybody could get the chance to come up here! #Proxima. The Soyuz launch sequence explained. Gaia mission’s Milky Way map pinpoints locations of billion-plus stars. Merci #Cygnus pour la livraison! Le bras robotique a manœuvré le véhicule cargo pour son départ de l’#ISS il y a quelques minutes. #Proxima. Here’s the most detailed map of the galaxy to date #GaiaMission. .@PlumGeek's mini Mars rover teaches you to program as you stage missions to unexplored regions of your living room. While Elon Musk is taking care of the rockets, these people are leading the next phase of America's space boom.
NASA Social on Periscope: "NASA Administrator Charles Bolden chats with the #NASASocial group!" NASA just released hundreds of stunning new images of Mars — here are some of the best. The death toll from #HurricaneMatthew tops 1,000 in Haiti. Chandra Finds Evidence for Violent Stellar Merger. Data from NASA's Chandra X-ray Observatory has been used to discover 26 black hole candidates in the Milky Way's galactic neighbor, Andromeda.
Credits: X-ray: NASA/CXC/SAO/R. Barnard, Z. Lee et al.; Optical: NOAO/AURA/NSF/REU Program/B. Schoening, V. Harvey and Descubre Foundation/CAHA/OAUV/DSA/V. Using data from NASA's Chandra X-ray Observatory, astronomers have discovered an unprecedented bonanza of black holes in the Andromeda Galaxy, one of the nearest galaxies to the Milky Way. Using more than 150 Chandra observations, spread over 13 years, researchers identified 26 black hole candidates, the largest number to date, in a galaxy outside our own. "While we are excited to find so many black holes in Andromeda, we think it's just the tip of the iceberg," said Robin Barnard of Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics (CfA) in Cambridge, Mass., and lead author of a new paper describing these results.
Incredible! After a 5-year journey, we're up close and personal with our solar system's largest planet. Welcome to Jupiter, @NASAJuno! Juno snaps its first pic of Jupiter.