Plan antipollution de Paris : quels véhicules sont concernés ? La maire de Paris, Anne Hidalgo, a décidé de déployer par palliers, d’ici à 2020, des mesures de restriction des véhicules anciens et polluants.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Service planète C’est un véritable plan de guerre contre les véhicules polluants que déploie progressivement Paris pour tenter d’améliorer la qualité de l’air dans la capitale. Les premières mesures sont entrées en vigueur en septembre 2015, mais elles ne concernaient que les poids lourds, cars et bus anciens (avant 2001). A partir du 1er juillet, les interdictions de circulation vont s’appliquer à une gamme beaucoup plus large d’automobiles. Tous les véhicules particuliers et utilitaires, essence ou diesel, mis en circulation avant 1997, seront interdits en semaine de 8 heures à 20 heures, ainsi que les deux-roues d’avant 1999. Ségolène Royal annonce un plan d’action pour lutter contre la pollution de l’air - Ministère de l'Environnement, de l'Energie et de la Mer.
Ségolène Royal a présenté ce matin devant le Conseil national de l’air un plan d’action pour lutter contre la pollution atmosphérique.
Son objectif : rendre les villes respirables d’ici 5 ans en réduisant de manière pérenne les niveaux de pollution. Le plan présenté par la ministre s’appuie sur quatre grandes orientations : 1. Offrir des avantages aux utilisateurs des véhicules moins polluants grâce au « certificat qualité de l’air » : le dispositif prévoit le classement des véhicules en fonction de leur niveau de pollution polluants, sur une échelle de 1 à 6. Mesures antipollution à Paris : les automobilistes contre-attaquent - Le Parisien. Dès le 1er juillet prochain, plus de 513 000 propriétaires de voitures en Ile-de-France vont devoir scruter à la loupe leur carte grise avant de traverser Paris intra-muros.
Pour faire baisser la pollution, la capitale a décidé de bannir les modèles immatriculés avant 1997. Mais l'association 40 Millions d'automobilistes a décidé de se rebiffer. Elle annonce aujourd'hui dans nos colonnes le lancement d'une action en justice collective contre la mairie de Paris. Objectif : obtenir une indemnisation du préjudice financier subi par les automobilistes franciliens. Des mesures uniques en France Les lobbyistes pro-auto appellent donc tous les propriétaires des véhicules concernés à se faire connaître sur le site Internet Remboursemabagnole.com. Dans les villes de moins de 10 000 habitants, il n’y aura plus de panneaux publicitaires.
L’interdiction, qui est entrée en vigueur lundi 13 juillet, est destinée à lutter contre la « pollution visuelle » et à « protéger le cadre de vie ».
L’entrée en vigueur, lundi 13 juillet, d’une loi adoptée dans le cadre du « Grenelle de l’environnement 2 » risque de bouleverser nos habitudes. Les petits panneaux d’affichage publicitaire de services – hôtel, restaurant, station-service – sont désormais interdits dans les communes de moins de 10 000 habitants, afin de lutter contre la « pollution visuelle » que constituent ces publicités. Cette loi, votée en 2010 après avoir été âprement disputée, interdit ainsi les « pré-enseignes » sur pied (scellées au sol), annonciatrices d’activités qui, jusqu’ici, bénéficiaient d’une autorisation d’affichage dérogatoire pour « service rendu aux personnes en déplacement ». « Une signalétique conforme au code de la route » L’interdiction a cependant ses exceptions. En théorie, le maire doit porter plainte quand les panneaux ne sont pas retirés.
La Cour suprême valide une loi contre la pollution de l'air. Une coalition de six juges progressistes et conservateurs a approuvé les mesures de contrôle de la qualité de l'air, dites du «bon voisinage», mises en place en 2011 par l'Agence fédérale de l'Environnement (EPA) mais qu'une cour d'appel avait suspendues à la demande du Texas et de treize autres États.
L'objectif du gouvernement est de limiter les émissions de dioxyde de soufre et autres gaz à effet de serre de 28 Etats, qui traversent les limites étatiques et vont empoisonner les Etats voisins, dans l'Est du pays. Soutenue par neuf États et six villes, l'administration Obama a argué que ces émissions sont responsables d'un décès sur 20 aux Etats-Unis et de milliers de cas d'asthme. En conséquence, l'EPA exige des États «contre le vent» qu'ils réduisent leurs émissions qui contribuent à la pollution d'autres Etats «sous le vent», conformément à la loi sur la pollution de l'air (Clean Air Act). «Ce n'est pas une tâche facile», a-t-elle ajouté à l'audience, en rendant son arrêt.