La Fin de l'Eternité. Balade Choreïale. Nouvelle incursion dans le Cycle de l'Homéocratie d'Ayerdhal (l'expression est de moi) grâce à cette Balade Choreïale dévorée en une petite semaine...
Résumé : Cette fois-ci est la bonne : l'espèce humaine a réalisé son premier contact. Sur Azir, il existe une espèce indigène humanoïde n'utilisant qu'une technologie rudimentaire. L'identification joue à plein et l'humanité, ou les Yoomans comme le disent les Aziris, veut que ces derniers soient intégrés à la communauté galactique... Le retard technologique pose néanmoins problème : pour les Aziris, les premiers humains sont les "Nobles Donneurs" qui guérissent et protègent les moissons...
Dehors les chiens, les infidèles. Gagné dans le cadre du concours de Valunivers, voici ma critique de ce livre de Maïa Mazaurette, auteur que je découvre ici... pour mon plus grand bonheur.
Résumé : Les Ténèbres et le Mal ont triomphé. Le ciel s'est obscurci, faisant courir la famine et la misère sur les gens. Il y a pire encore : les enfants deviennent malingres et même difformes, atteints d'horribles malformations. Tout indique la proximité de la fin des temps. Voilà un bon petit roman de fantasy épique, bien comme on peut les aimer. Parce que cet univers relève plus du cauchemar que du rêve... Interworld. Un roman SF pour le jeune public, découvert lors d'une récolte, mais non acheté alors parce que j'ai eu l'intention de le lire en VO.
Il se peut donc bien que certains termes ou expressions ne correspondent pas à la traduction française : ne vous en étonnez donc pas si vous l'avez déjà lu... Résumé : Evadés de l'Enfer. Gagné dans le cadre d'un concours du Traqueur Stellaire, j'ai lu la semaine dernière ce livre de Hal Duncan, auteur que je ne connais pas du tout.
Le billet sera court pour deux raisons, la première étant que je ne travaille pas sur mon ordinateur en ce moment, la deuxième étant que je n'ai pas du tout accroché avec ce livre. Résumé : Quatre personnages, des portraits de paumés (un clochard, un tueur à gages, une pute et un jeune type arrivant dans un hôpital dans un sale état suite à un tabassage en règle), arrivent à la suite logique de leur triste parcours puisqu'ils meurent à la fin du prologue. Gravité. Récolté lors de la soirée inaugurale de l'exposition Science (et) Fiction, il s'agit du premier Stephen Baxter que je lis pour de vrai.
J'ai eu l'occasion d'en feuilleter un certain nombre par le passé, en particulier le fameux Evolution, sans jamais avoir eu envie de franchir le pas. C'était donc une belle occasion pour partir à la découverte de cet auteur. Résumé : Les êtres humains sont arrivés dans la Nébuleuse il y a longtemps. Leur vaisseau a failli être détruit dès les premières heures, non conçu, de toute évidence, pour cet univers où les lois physiques ne sont pas tout à fait les mêmes que celles de l'univers où existe la Terre. L'Enfant tombé des Etoiles. Résumé : John Thomas est un jeune homme américain normal pour son époque.
Il vit en effet dans un futur pas trop éloigné où la Terre s'est insérée dans une communauté d'intelligences extraterrestres. De la sorte, pas mal de créatures étranges sont amenées à transiter voire même à résider sur le sol terrien. Le Chant du Drille. Le Canal Ophite. Voilà un livre qui était en souffrance dans ma PàL depuis l'Eté 2009.
J'ai décidé au mois d'Août de le ranger dans la colonne "urgent" et je viens (ce matin, avant de me lever) de le terminer. De John Varley j'avais déjà lu la trilogie Titan, il y a de cela plusieurs années, d'une façon morcelée (le premier tome de la série, je l'ai dans un vieux Présence du Futur dont je ne me souviens plus si je l'ai acheté en bouquinerie ou si je me suis contenté de le piquer à la collection de mon père ; les deux autres, je les ai en Folio SF). J'en ai retenu la capacité de cet auteur à produire des mondes délirants, bourrés de références et chargés en humour. Une porte sur l'Eté. Dans le cadre du défi Robert Heinlein de Guillaume le Traqueur Stellaire, j'ai choisi de lire Une porte sur l'Eté, un roman assez court.
Heinlein est un auteur que je connais assez peu bien que j'aie lu son Histoire des Temps Futurs il y a quelques années (parue en intégrale, sous coffret, tout à fait le genre de chose que je me dois d'avoir dans ma bibliothèque). Noô. Space Opera. Pour ma dernière participation au Summer Star Wars de Lhisbei du RSFBlog, pourquoi ne pas terminer avec un Vance, qui plus est, avec un roman portant ce titre-là ?
Il est vrai que Vance est un auteur que je ne connais pas du tout, parce que je n'avais jamais ouvert l'un de ses livres auparavant... Résumé : Dame Isabel Grayce est une riche mécène quelque peu excentrique. Dans un futur assez proche, les voyages spatiaux permettent à la Terre de découvrir les talents de civilisations extraterrestres. La Neuvième Compagnie de Rlaru est une troupe de musiciens itinérants qui séduit les gens de la Terre. L'Heure du Taureau. J'avais présenté iciLa Nébuleuse d'Andromède, un roman de SF d'Ivan Efremov, auteur soviétique décédé dans les années 1970.
L'Heure du Taureau est en quelque sorte une séquelle de La Nébuleuse d'Andromède et il convient d'en resituer le contexte. Dans un avenir lointain, après un désastre écologique, la réforme socio-psychologique a permis à l'espèce humaine de construire un système économique et politique communiste efficace et viable. La Terre et l'humanité sont guéries et entrent dans une nouvelle ère, prenant bientôt contact avec des civilisations extraterrestres amies par l'intermédiaire du Grand Anneau, un réseau de communications informatique d'envergure galactique. Les expéditions spatiales entre les différents systèmes stellaires sont encore très dangereuses mais la civilisation humaine, tout comme ses soeurs de l'espace, est désormais patiente et sait que la science finira par proposer de nouvelles solutions..
Mytale. Paul of Dune / Paul le Prophète. Les Ailes de la Nuit. Et voici donc ma contribution à la lecture commune Silverberg sur Les Ailes de la Nuit... Axiomatique. Voici donc le résultat de ma première participation à une lecture commune, en l'occurrence, celle de LadyScar sur le recueil de nouvelles Axiomatique de Greg Egan. Greg Egan est un auteur décrit sur la quatrième de couverture comme étant "le plus éblouissant et le plus novateur de sa génération" d'auteurs de science-fiction.
J'ai deux livres de lui dans ma pile de livres, L'Enigme de l'Univers et Teranesia (en anglais) auxquels je n'ai fait que donner un coup d'oeil et sur lesquels je ne me suis pas penché pour de vrai depuis des années. J'attendais beaucoup de cette lecture commune, comme une occasion d'y trouver la motivation pour me lancer avec plus de sérieux dans deux ouvrages dont j'entends parler ici ou là. La nouvelle est un genre difficile. Le créateur chimérique. Antarctique. J'ai déjà parlé ici d'Exoplanète, le premier tome de la trilogie "Intelligences" de Martial Caroff.
Dans un futur proche (le deuxième tiers du XXIème siècle), l'espèce humaine continue son chemin quelque peu chaotique vers un progrès technique mais peut-être aussi psychologique. Fournaise. Jennifer Morgue. La Trilogie Atlante, tome 1 : Aquatica. Parfois, en explorant les rayons d'une librairie, on tombe sur des livres que l'on aurait peut-être pas songé à lire dans un premier temps. Mais, attiré par la couverture, on finit par les feuilleter. Puis, en les feuilletant, on tombe sur un détail qui peut inciter à s'y intéresser de plus près. La Nébuleuse d'Andromède. Exoplanète. Chez les auteurs, il y a ceux que tout le monde connaît. Ceux dont on parle trop. Ceux qui sont trop peu méconnus. Et ceux qui sont méconnus tout court... Et parmi ceux-là, il y en a pour qui c'est un peu à tort.
Anges déchus. Il y a des romans qui ont une ambiance. La Nuit des Temps. Il est des auteurs qu'il est difficile de classer dans un genre, ou même dans une famille de genres. Leurs travaux peuvent se classer, au fil de leur carrière, d'un genre bien défini à un autre tout en conservant leur style caractéristique. The Temporal Void / Le Vide Temporel. Peter F. Hamilton poursuit, dans ce deuxième tome, sa Trilogie du Vide déjà évoquée ici, qui faisait elle-même suite à la dilogie L'Etoile de Pandore (rien à voir avec Avatar, bien entendu, car Peter F. Hamilton a publié ses livres bien avant que le film de Cameron ne soit annoncé). Il y confirme, une fois de plus, son talent de grand maître contemporain du space-opera. Fondation. Il fut un temps où l'un des "visages" de Fondation, en France - ou en tout cas, de l'une de ses éditions de poche - était celui de cette couverture, celle du premier tome de la série. Frère Kalkin. The Dreaming Void / Le Vide qui rêve.
Dune. Un jour, à une époque lointaine à présent, j'ai suivi des cours de latin. Mon professeur, qui était aussi celui que j'avais en français en Quatrième/Troisième, nous a expliqué un jour que les Romains désignaient parfois Rome par le mot "Urbs" : "la Ville". En d'autre termes, pour les Romains, Rome n'avait pas besoin de nom particulier : dire "la Ville" suffisait.
Notre professeur avait conclu en substance et avec franc-parler : les Romains avaient les chevilles enflées. Vous l'avez compris, cette courte introduction a pour intention de magnifier l'importance de l'oeuvre dont je vais parler ici, à savoir, le Dune de Frank Herbert. Dès le début, soyons clairs.