Les métiers de la Photographie : Photographe indépendant avec Laurent Villeret. Les élèves de terminale bac professionnel photographie se sont interrogés sur le métier de photographe indépendant.
Ils sont allés à la rencontre de Laurent Villeret pour lui poser des questions sur son métier, son parcours, ses projets. Une rencontre très enrichissante qu'ils ont écrite, programmée, filmée, découpée puis montée sur final cut pro. Le Photographe Laurent Villeret interrogé sur son métier par les élèves du lycée de la Photographie Brassaï de Paris de Lycee Brassai sur Vimeo. Travail d'élèves de terminale bac pro photographie : KAHOULI Capucine KHIMOUM Laura-Leila LE MARC'H Valentin LOUETTE Lucie MARECHAL Morgane NJUGUNA Njeri Merci à Monsieur Laurent VILLERET pour la patience dont il aura témoigné envers nous pendant ces moments passés ensemble. Le Photographe Laurent Villeret interrogé sur son métier par les élèves du lycée de la Photographie Brassaï de Paris. Lucille Reyboz : photographe. Avec la suppression du CAP photographe (dernière session d'examen en 2013), le bac pro photographie et le BTM photographe sont désormais les premiers diplômes permettant l'accès au métier.
Ils se préparent en 3 ans après une classe de 3e. Avec un bac, il est possible de préparer le BTS photographie (bac + 2). Trois écoles nationales supérieures forment des professionnels de la photo de niveau bac + 5. L'ENSLL, Ecole nationale supérieure Louis Lumière section photographie recrute sur concours à bac + 2 (BTS, DUT, L2 ou prépa) et forme en 3 ans des spécialistes de la photo.
Plus artistique, l'Ecole nationale supérieure de la photographie d'Arles recrute également sur concours à bac + 2. L'ENSAD, Ecole nationale supérieure des arts décoratifs, plus connue sous le nom d'Arts déco, offre une spécialisation photographie-vidéo. Les écoles des Beaux-arts - une cinquantaine en France - proposent un DNSEP communication (bac + 5) orienté vers la photographie.
Pauline Coste : Directrice de la photographie. Michael Zumstein : reporter-photographe. Outre un ''bon œil'', une formation en photographie permet d'avoir une base technique incontournable.
La compléter par une formation en journalisme aidera à travailler de concert avec un journaliste de presse écrite ou web. Après le bac, il est possible de préparer un BTS photographie ou un diplôme de photographe de l'Ecole de l'image les Gobelins CCIP ou encore un DUT information-communication option journalisme (IUT de Tours, Lannion, Nice). Toutes ces formations donnent le niveau bac + 2. Après un bac + 2 (BTS, DUT, L2 ou prépa, uniquement pour Louis Lumière), il est possible de concourir à l'ENSLL, Ecole nationale supérieure Louis Lumière, section photographie mais aussi à La fémis - Ecole nationale supérieure des métiers de l'image et du son - et à l'Ecole nationale de la photographie d'Arles.
Jérémie, 29 ans, photographe: «la coopérative m’apporte un réseau et un support» Coopaname se présente comme une structure d’entrepreneuriat collectif, où chacun peut adhérer, quelle que soit son activité professionnelle, et mutualiser un certain nombre d’éléments, comme ce qui relève de l’administratif.
Qu’est-ce qui t’a donné envie de rejoindre Coopaname ? Après un photoreportage social en Amérique latine et entre autres une année d’auto-entrepreneuriat, j’ai voulu monter une structure de formation pour cadres via le théâtre. On m’a alors parlé des coopératives. Avant de monter une telle structure, j’ai décidé de passer par Coopaname, qui permet de tester et de s’adapter avant de se lancer. Et cela m’a permis d’exercer plusieurs activités. >> C’est quoi une coopérative ? Quels avantages trouves-tu dans une coopérative ? Déjà, ils s’occupent de la facturation et de la compta : tout ce qui est embêtant ! Et puis une coopérative apporte du réseau : je pense que 20 à 30% de mon chiffre d’affaires de l’an dernier est dû à la recommandation. Je suis associé depuis 2012. Comment je suis devenu photographe de mode - L'Etudiant.
Comment votre passion pour la photo est-elle née ?
Pour mes 15 ans, j’ai reçu un appareil photo en cadeau. Très vite, j’ai commencé à photographier toutes les belles filles de mon lycée. Mon cousin faisait lui aussi de la photo. Un jour, il m’a proposé de venir travailler avec lui en labo pour développer mes clichés. Quand j’ai vu apparaître l’une de mes photos dans le bac révélateur, j’ai eu un déclic. Et pourtant, vous avez pris une autre voie…À l’époque, je pensais que ce métier s’apprenait sur le tas. Lesphotographes.