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La Chine pourrait faire face à une crise financière. Un rapport de la Banque des règlements internationaux s'inquiète du risque d'explosion de la dette de la deuxième économie chinoise. De notre correspondant à Pékin Vous utilisez un bloqueur de publicité Pour poursuivre la lecture de nos articles, nous vous proposons deux solutions : Tout Le Figaro en illimité Le journal en numérique dès 22h Le site Premium, sans publicité L’information sur tous les écrans 1 MOIS D’ESSAI GRATUIT Le sujet inquiète de plus en plus les instances financières internationales. Selon la BRI, la «différence entre le ratio crédit / PIB de la Chine et sa tendance à long terme» a atteint 30,1% au premier trimestre 2016. » La Chine crée un groupe public géant du BTP Principal motif de préoccupation, les compteurs chinois s'affolent: la dette totale, comprenant les ménages, les entreprises (hors banques), l'État et les collectivités locales est déjà passée de 151% à 255% du PIB entre fin 2006 et fin 2015. » lire aussi: Pékin étouffe les révoltés de Wukan.

Inquiétant ! La chute des valeurs bancaires est plus rapide que pendant la crise des subprimes. Les banques européennes ont perdu près d'un quart de leur valeur en Bourse depuis le début de l'année, soit plus de 240 milliards de dollars. En France, les actions Société générale, Crédit Agricole et BNP Paribas ont perdu près de 30%. Les actions des grandes banques européennes sont au coeur des préoccupations des investisseurs et dégringolent plus brutalement qu'elles ne l'avaient fait en 2008, au début de la crise financière.

L'indice bancaire du STOXX Europe 600 a perdu 24% depuis le début de l'année, contre 17% sur la même période il y a huit ans. L'accumulation des inquiétudes macro-économiques menace ainsi de défaire ce qui avait été construit en huit ans pour réduire les coûts, équilibrer les bilans et se protéger contre le risque. La chute des cours du pétrole, l'explosion des coûts technologiques et la volatilité des marchés ne sont que quelques-uns des facteurs qui placent les banques au centre des préoccupations des investisseurs. La BCE en partie responsable ? >>> Vidéo. Les marchés actions craquent de Tokyo à Wall Street. L’Asie et le pétrole font de nouveau valser les Bourses européennes et américaines. En France, le CAC 40 a chuté de 4,05%, sous 3.900 points. Lanterne rouge, l'action Société Générale a perdu 12,5%. Un nouveau vent de panique a frappé les marchés actions de la planète.

Dans le rouge dès l'ouverture, le CAC 40 (PX1-4 117,07 0,04 %) a finalement abandonné 4,05% jeudi, à 3.896 points, totalement aplati par la déroute des valeurs financières. Au plus bas de la journée, vers 10h15, l'indice vedette de la Bourse de Paris est même tombé à 3.892,46 points (correspondant à une chute de 4,15%) un niveau jamais revu depuis le mois de juillet 2013. Ailleurs en Europe, ce sont les marchés d'actions italien (-5,6% pour le FTSE MIB) et espagnol (-4,88% pour l’Ibex 35) qui ont été les plus affectés.

Comme depuis plusieurs semaines, le krach boursier qui touche les marchés asiatiques se propage à l’Europe et aux Etats-Unis. Et naturellement, ce contexte profite à l' Les inquiétudes sur la croissance mondiale plombent de nouveau les Bourses. Tokyo (AFP) - Les Bourses ont été emportées une nouvelle fois en ce début de semaine par les incertitudes autour de la croissance mondiale, Tokyo chutant mardi de plus de 5%, alors que les investisseurs fuyaient vers les placements sûrs, tels que le yen et les obligations d'Etat. A Tokyo, l'indice Nikkei a chuté de 5,40% à la clôture sur fond de nette remontée de la devise nippone, valeur refuge prisée en cette période tourmentée. Le dollar a même glissé sous la barre des 115 yens pour la première fois depuis novembre 2014.

Parallèlement, le taux des nouvelles obligations de l'Etat japonais à échéance dix ans est tombé au-dessous de zéro. Du jamais vu dans une économie du G7, selon l'agence Bloomberg. Dans cette même quête de sécurité, l'or s'est apprécié de 1,3%. Sur la place de Tokyo, les groupes exportateurs ont accusé le coup, du géant automobile Toyota (-6,11%) à la firme d'électronique Panasonic (-8,75%) . - Début d'année calamiteux - - Des banques centrales impuissantes ? Pourquoi le yuan fait trembler la planète. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Marie Charrel et Claire Guélaud Krach boursier, sorties massives de capitaux, transition économique délicate… L’année 2016 commence mal pour la Chine.

D’après les chiffres publiés dimanche 7 février par la Banque centrale de Chine (PBoC), les réserves de change du pays ont fondu de 99,5 milliards de dollars (89,2 milliards d’euros) en janvier, pour tomber à 3 230 milliards de dollars. Le bas de laine monétaire chinois est au plus bas depuis 2012, symptôme du combat que Pékin mène pour soutenir sa devise, le yuan. Alors qu’il y a quelques mois encore, la deuxième puissance économique mondiale inspirait confiance, elle suscite aujourd’hui l’inquiétude. Le ralentissement de sa croissance comme la capacité des autorités communistes du pays à le maîtriser font régulièrement trembler les Bourses mondiales. Et les informations contradictoires que Pékin distille sur le sujet n’arrangent rien. A quoi joue donc la Chine avec le yuan ? Jusqu’où... La troisième crise financière a commencé! Le 24 août 2015, la Bourse de Shanghai chute brutalement. Un processus de crise financière mondiale se déclenche.

L’onde de choc atteint les Bourses de tous les pays développés. Comme à l’habitude depuis l’entrée dans la crise systémique en août 2007, les banques centrales sont les seules à réagir. Elles augmentent la création monétaire pour alimenter les marchés financiers en liquidités permettant la poursuite de la spéculation à la hausse. Dans un premier temps les marchés financiers se redressent et la peur disparaît. Quelles sont les causes de cette nouvelle secousse ? Il faut d’abord comprendre le contexte. Fort logiquement, depuis la récession, profonde, de 2008-2009, le monde capitaliste n’a pas renoué avec la croissance. Désormais les pays émergents ne servent plus de roue de secours.

La déflation a aussi des raisons internes à chaque pays développés. Des réponses ? FMR FLASH ECONOMY 2016 087 27 01 2016 FR. L'Angola en crise financière après l'effondrement des prix du pétrole | Brèves | L'Antenne - Les transports et la logistique au quotidien. Italia teme un desplome bancario por créditos morosos. La economía italiana esconde una bomba de relojería que ni las hábiles maniobras de distracción puestas en práctica por el primer ministro, Matteo Renzi, pueden ya ocultar. Desde principios de año, el valor bursátil de sus bancos ha disminuido una media del 20% —alcanzándose incluso caídas del 40% como en el caso del Monte dei Paschi (Mps)—, un dato especialmente grave si se tienen en cuenta dos aspectos conectados entre sí.

Por un lado, el sector constituye el 30% de la bolsa de Milán y, por otro, supone el primer recurso —muy por delante del mercado de capitales— al que acuden las pequeñas y medianas empresas para financiarse. No es de extrañar por tanto que la crisis —desde 2008, Italia ha perdido ocho puntos del PIB y un cuarto de la producción industrial al tiempo que se duplicaba la tasa de paro— haya provocado una morosidad casi imposible de asumir. Bourses: une dernière embellie avant le krach?

Ce mois de janvier, les marchés boursiers se sont fait peur. Une plongée de 10% depuis le début de l'année, qui a rappelé à l'investisseur américain George Soros la crise de 2008. La remontée du prix de baril de pétrole au dessus des 30 dollars, ainsi que l'engagement du président de la Banque centrale européenne (BCE) Mario Draghi à continuer et à intensifier son soutien à l'économie ont permis aux cours de remonter hier jeudi et ce vendredi.

Simple répit ou embellie durable? "Il n'y a pourtant rien de très enthousiasmant dans un rebond d'un dollar des cours du pétrole", ironise Mace Blicksilver, un investisseur new-yorkais. "Des espoirs d'inondation de liquidités" Quant à la politique d'assouplissement monétaire de la BCE, que Mario Draghi s'est engagé jeudi à poursuivre "sans limites" pour réveiller l'inflation en zone euro, elle est à la fois un médicament et un poison. Croissance, la grande absente "Le vrai danger se situe aux Etats-Unis" La chute du pétrole laisse craindre une nouvelle crise financière. VIDÉO - Selon de nombreux observateurs, une bulle spéculative liée au secteur du schiste serait sur le point d'exploser aux États-Unis en raison de la dégringolade des cours du brut. Plus les cours du pétrole chutent et plus le scénario devient réaliste. Selon plusieurs analystes, une nouvelle bulle spéculative serait sur le point d'exploser aux États-Unis.

Elle serait liée au très fort endettement des entreprises du secteur du schiste qui voit leur rentabilité affectée par la dégringolade continue des prix du brut. Ce jeudi encore, le baril de WTI, la référence américaine, valait 28,69 après être tombé sous la barre des 28 dollars hier. De son côté, le Brent valait 28,26 dollars après être lui aussi tombé sous ce seuil lundi pour la première fois depuis novembre 2003.

Depuis mi-2014, les cours se sont effondrés de plus de 75%. • Pourquoi cette situation devient-elle périlleuse? À moins de 60 dollars le baril, la survie des sociétés de forage devient incertaine. Malgré la crise financière/L'Algérie va recruter encore des policiers. L’Algérie souffre d’une crise financière à cause de la chute vertigineuse des prix du pétrole. Et en dépit de cette conjoncture très défavorable où les ressources financières de l’Etat s’effondrent, les autorités algériennes ont décidé de lancer une nouvelle campagne de recrutement au sein de la Police nationale.

Oui, la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) vient d’annoncer qu’elle va recruter des jeunes policiers au cours de cette année 2016. Le nombre exact des policiers qu’il faut recruter n’a été encore communiqué. Ceci dit, la DGSN a fait savoir, dans un communiqué parvenu à notre Rédaction, que les candidats qui veulent entrer dans la Police doivent être âgés d’au moins 19 ans. Leur âge ne doit dépasser les 23 ans. Concernant, le niveau d’études exigé, il n’est pas nécessaire d’être bachelier. Il est à note que les dates du concours de recrutement n’ont pas encore été communiquées.

Comprendre la crise du rouble en trois questions. Alors que le rouble vient de connaitre son premier "léger" rebond depuis le début du mois de janvier 2016 - un euro s'échange désormais contre 86,12 roubles contre 89,99 roubles jeudi - la crise monétaire russe continue malgré tout d'inquiéter les marchés et place le pays dirigé par Vladimir Poutine dans une posture économique délicate. La monnaie russe a en effet atteint des records de faiblesse ces deux derniers jours en atteignant son niveau le plus bas depuis décembre 2014 (plus de 93 roubles pour un euro). Soit une perte de plus de 12 % de sa valeur depuis le début du mois.

Comment en est-on arrivé là ? # Quelle est l'origine du problème ? Le prix du baril de pétrole, actuellement à 31 dollars, ne fait pas que des heureux (les automobilistes français et les caisses de l'Etat). La Russie voit d'un très mauvais œil cette baisse spectaculaire de l'or noir. La crise monétaire russe est une répercussion de la crise actuelle du prix du baril de pétrole.

. # Quelles conséquences ? Lagarde : il y a des "raisons d'être inquiet" pour l'économie mondiale. La prochaine crise financière approche : la salle de shoot mondiale est devenue incontrôlable. Les régulateurs semblent s’être penchés assez peu sur les prochains risques qui se profilent à l’horizon. Ils sont au nombre de trois : les plateformes échappant à la surveillance d’un marché centralisé, les taux zéro pratiqués par les banques centrales et la déflation.

Revue d'analyses financières Ajouter au classeurSuivre ce contributeurLecture zen Intéressé par cet auteur ? Pour retrouvez facilement ses articles dans votre compte et recevoir une alerte à chacune de ses contributions : Lire ou relire plus tard Pour classer cet article et le retrouver dans votre compte : Besoin de vous concentrer Pour lire cet article dans sa version zen : Je m'abonne La prochaine crise sera pire que les précédentes.

La régulation renforcée des banques a en effet diminué en grande partie le risque systémique qu’elles portent. Vous avez atteint le nombre d'articles que vous pouviez lire gratuitement ces 30 derniers jours Abonnez-vous enquelques clics Pas le temps de nous lire tous les jours ? Elvenar - jeu gratuit. A Davos, les craintes d’une « récession mondiale » en toile de fond. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Sylvie Kauffmann (envoyée spéciale à Davos) Il y a dix ans, il avait prédit la crise financière américaine et il faut juste espérer que « Dr Doom » (Docteur Catastrophe), comme on l’a surnommé depuis, ait perdu ses talents de devin. Arrivant mardi soir à Davos, pour participer au Forum économique mondial annuel qui s’ouvre mercredi 20 janvier, l’économiste Nouriel Roubini nous a fait cette comparaison inquiétante : « On vient ici pour discuter des solutions à long terme, a-t-il observé.

Mais comme en 2008, on va être rattrapés par les problèmes de court terme. Les gens se posent la même question : sommes-nous au bord d’une récession mondiale ? » Car où que l’on regarde, depuis cette montagne suisse où se réunissent jusqu’à la fin de la semaine près de 3 000 représentants des élites globalisées, l’horizon est très sombre. Ralentissement de la croissance en Chine Lire aussi : La croissance chinoise à son plus bas depuis 25 ans @SylvieKauffmann. La crise financière qui vient sera plus violente que celle des subprimes. FIGAROVOX/TRIBUNE - Dans un contexte de grande instabilité des marchés, Benjamin Masse-Stamberger analyse les risques de retour d'une crise financière mondiale. Et évalue les conséquences qui pourraient en découler pour notre pays. Benjamin Masse-Stamberger est journaliste, membre fondateur du Comité Orwell.

Ancien grand reporter à L'Express, il est co-auteur de Casser l'euro pour sauver l'Europe aux éditions des Liens qui libèrent. Il tient le blog basculements. Souvenons-nous des subprimes. Or, c'est justement un phénomène semblable que les observateurs attentifs ont pu noter, en décembre dernier, de l'autre côté de l'Atlantique. Bien sûr, cela pourrait n'être qu'une coïncidence, si les deux événements n'intervenaient dans un contexte extrêmement similaire. Autre similarité: les déséquilibres de l'économie mondiale, dont le symptôme principal réside dans les difficultés chinoises.

Même constat du côté du secteur financier. Tous les ingrédients d'une nouvelle crise sont donc réunis. Le pétrole et les métaux sont au plus bas depuis la crise financière de 2008. INFOGRAPHIE - Le ralentissement de la Chine et une offre surabondante font plonger les cours des matières premières. La tendance à la baisse du pétrole depuis plusieurs mois s'est encore amplifiée ces derniers jours. Le baril de brent, principale référence du marché, est momentanément passé, dans la journée de mardi, sous le seuil symbolique de 40 dollars, tombant à un plus bas depuis près de sept ans (février 2009). Les marchés réagissent à la décision, vendredi dernier, de l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) de ne pas fermer les vannes ce qui aurait pu soutenir les prix de l'or noir.

L'offre abondante se conjugue à une progression moins importante de la demande, effet d'une conjoncture mondiale en demi-teinte marquée par le ralentissement des émergents, Chine ... «Crise financière, la prochaine est-elle à venir ?» - 29/11/2015 - ladepeche.fr. La Réserve fédérale américaine s'apprête à tourner la page de la crise financière. Pourquoi nous allons droit vers une nouvelle crise financière mondiale - 29 septembre 2015. Les cinq signes qui font craindre une nouvelle crise économique mondiale. A la veille d'une nouvelle crise financière...