Exécuter un programme à une heure différée. Utiliser groff. Introduction Comme Monsieur Jourdain fait de la prose, la plupart des nouveaux utilisateurs et utilisatrices de notre OS libre préféré utilisent un puissant outil de formatage et génération de documents. Cet outil a tendance à se faire oublier, tellement il est discret malgré sa participation vitale au quotidien de tout utilisateur ou utilisatrice, et cela concerne même les plus chevronné(e)s. Cet outil, c'est groff Que peut-on faire avec groff ? La commande groff permet à partir d'une même source de : générer des documents mis en page : livre, lettre, documentation, rapport...etc. créer des images de ces documents en format : postscript, man (Latin 1 formatés), html, dvi, Textes (Latin1 formatés)... Quelles sont ses origines ? Au départ, cet environnement de formatage de documents appelé troff a été développé en assembleur par Joe Ossanna vers 1973, pour piloter une imprimante graphique (Graphic System CAT Typesetter) branchée sur un bon vieux PDP-11.
Les forces et faiblesses de groff dvi lbp. Admin Linux » Blog Archive » “find” : Quelques rappels. Parmi les commandes qui font la puissance de Linux, nous comptons la commande “find” destinée à effectuer des recherches en lignes de commande. Rares sont les jours ou elle n’est pas sollicitée sur un système… Ses possibilités sont telles que ça méritait bien une petite brève… Ce post n’est pas une ré écriture des man et autres docs sur “find”, il s’agit juste de quelques exemples rappelant l’usage de fonctionnalités plus ou moins fréquemment utilisées. N’hésitez pas à proposer vos exemples d’utilisation de “find”… Rappels Les appels à “find” sont schématiquement et en simplifiant structurés comme suit : où [où] est le point de départ de la recherche ; [critères] sont les critères de sélection des fichiers ;[opérations] sont les opérations éventuelles à effectuer sur les résultats de la recherche.
Par exemple : recherche dans “/etc” les fichiers (“-type f”) commençant par “syslog” (‘-name “syslog*”‘) et ne finissant pas par “.conf” (‘! Exclure des fichiers/des répertoires d’une recherche. Fichiers. Généralités Un fichier est un paquet d'informations : ce peut être aussi bien du texte, que de la musique ou une image. Chaque objet que vous manipulez en informatique (une page Web, la musique de Casimir, vos photos de vacances, un logiciel, etc.) correspond à un fichier. Quand vous écrivez un texte avec OpenOffice.org et que vous le sauvegardez sous le nom « Rapport de maîtrise », vous créez un fichier à ce nom, écrit sur le disque dur. Chaque fois que vous écrivez quelque chose sur le disque, vous créez un ou plusieurs fichiers.
Créer un fichier texte Une des opérations les plus courantes consiste à écrire du texte. Brick ~/www/ $ kwrite index.html Si vous êtes pressé, la commande cat peut faire office d'éditeur minimaliste. Brick ~ $ cat > notes Faire les courses Passer à la bibliothèque Et finissez par Ctrl+D. Créer un fichier vide On peut aussi créer un fichier à l'aide de la commande touch. touch toto crée un fichier vide appelé « toto ».
Brick ~/www/ $ touch .last_modified Application. Find. Ces exercices sont des questions de cours : les solutions se trouvent toutes dans les pages de man des commandes en question. On suppose donc connues les commandes de less, qui servent à se déplacer dans les pages de man... et la commande servant à chercher un mot. Testez les commandes sur des fichiers et répertoires d'essai pour vous faire la main et comprendre ce qui se passe. Les options de find Comment chercher tous les fichiers dont les noms commençent par un «a» majuscule ou une minuscule, suivi d'éventuellement quelques lettres ou chiffres, et se terminent par un chiffre entre 3 et 6 ? C'est l'option -name qui permet de spécifier le nom du ou des fichiers recherchés.
Exécuter des commandes sur les fichiers trouvés Utiliser find pour effacer tous vos fichiers de sauvegarde (terminés par un tilde) qui ont plus d'un mois. La ligne utilisée pour trouver ces fichiers et la suivante : find . -execcommande exécute la commande sur le fichier courant. Sed FAQ, version 014. Man ping(8) Rechercher une page de manuel Langue: fr Version: 23 juin 2002 (fedora - 25/11/07) Section: 8 (Commandes administrateur) ping, ping6 - envoyer des datagrammes ICMP ECHO_REQUEST à des hôtes sur un réseau ping [ -LRUbdfnqrvVaA] [ -c nombre] [ -i intervalle] [ -l préchargement] [ -p motif] [ -s taille-paquet] [ -t ttl] [ -w heure-limite] [ -F étiquette-flux] [ -I interface] [ -M conseil] [ -Q tos] [ -S tampon-émission] [ -T option-horodate] [ saut ...] destination ping utilise le datagramme obligatoire ECHO_REQUEST du protocole ICMP pour requérir une réponse ICMP ECHO_RESPONSE d'un hôte ou d'une passerelle.
-a ping audible. ping adaptatif. -b Permettre de « pinger » une adresse de diffusion (broadcast). -c nombre S'arrêter après l'envoi de nombre paquets ECHO_REQUEST. -d Spécifier l'option SO_DEBUG sur la socket utilisée. -F étiquette-flux Allouer et spécifier une étiquette de flux (sur 20 bits) dans les paquets de requête d'écho (ping6 uniquement). -f Mode inondation. -i intervalle -I adresse-interface. LINUX-TRACK :: Groupe d'Utilisateurs de GNU/Linux. Mke2fs - Créer un système de fichiers ext2 ou ext3. Gérer un pilote USB avec UDEV | Linux Embedded. Les périphériques USB sont de plus en plus fréquemment utilisés dans les systèmes industriels car la plupart des périphériques récents privilégient cette interface par rapport à d’autres bus comme PCI, FireWire (en cours d’extinction) et bien entendu l’antique lien RS-232.
Plusieurs raisons sont à l’origine de cette tendance, citons le coût de production (faible pour l’USB) la facilité d’utilisation (insertion/suppression à chaud) et bien entendu la compatibilité USB de la quasi-totalité des systèmes existants des plus réduits (téléphonie) aux plus imposants (serveurs) en passant par les nombreuses cartes mères utilisées pour les systèmes embarqués. L’API de programmation USB dans Linux est d’un abord relativement aisé, et nous reviendrons sur le sujet dans de futures publications. Il existe deux manières de piloter un périphérique USB : Ecrire un pilote de périphérique à charger dans l’espace noyau (.ko)Ecrire un programme en espace utilisateur utilisation libusb.
Décompressions d'achives sous Linux et FreeBSD. Lorsque vous téléchargez un programme qui n'est pas dans les sources de votre distribution, vous tombez le plus souvent sur des archives tarées. Ces fichiers sont réunis en un seul fichier tar puis compactés en archive gunzip. Nous allons faire simple, je vais simplement vous énumérer deux ou trois petites commandes que vous allez connaître par coeur avec l'habitude. Les archives tar.gz Pour décompacter une archive tar.gz il y a une commande typique qui marche tout le temps. La voici: tar xzf votre_archive_.tar.gz Que dire de plus? Les archives tar.bz2 Les archives tar.bz2 sont plus compressées que les tar.gz.
Tar xjf votre_archive.tar.bz2 Les fichiers .gz Les fichiers simplements .gz sont plus rares. Gunzip -dq votre_fichier.gz J'espère que ce tutoriel vous permettra de décompresser ce que vous voudrez! Affichage optimal sur les navigateurs de type Mozilla Firefox - 2006 - 2014 - PLF-Nicolarius. Les commandes fondamentales de Linux — Linux France. Premier auteur (jusqu'à 1998): Armand Delcros Wikisé et étendu par (depuis 2009): Nat Makarevitch Contributions et remerciements Nat Makarevitch pour ses nombreuses critiques et corrections, Thomas Ortega pour ses bienveillantes remarques et la remise en forme HTML du document, Kim Ashue pour sa relecture, Philibert de Mercey pour son aide à la mise en page, Fanthomas pour sa relecture.
L'objectif de ce document est d'enseigner les commandes fondamentales de Linux (et donc d'Unix). Objectifs Nous explorerons ce qu'offre le shell nommé « bash », le plus utilisé sous Linux, donc une partie de ce que peut faire un utilisateur capable de diriger la machine en créant des lignes de commandes plutôt qu'en se contentant d'un cliquodrôme. Manœuvres préliminaires Pour apprendre il faut pratiquer, donc disposer d'une machine fonctionnant sous Linux qui n'est pas sérieusement exploitée. Si vous en avez déjà une négligez la présente section (passez à la suivante). Émulateur Services Linux de Windows 10 Live x.
Commandes à connaitre. Administration du système depuis la console. Ce didacticiel est la suite logique du document Commandes à connaître sous GNU/linux. Je propose ici de faire un zoom sur certaines commandes qui me paraissent particulièrement utiles lorsqu'on administre ou surveille un système GNU/Linux. Mes commentaires sur les commandes sont volontairement courts, cela me permet d'aborder le maximum d'outils tout en conservant un document compact.
Si vous avez besoin de plus de détails sur une commande n'hésitez pas à utiliser les pages de manuel (ex : man ls donne une description complète de la commande ls). Je signale également que la quasi-totalité des commandes abordées ici accepte l'option --help. Cette option liste les options qu'accepte ladite commande. 1. Liste des fichiers ouverts : lsof La commande lsof appelée sans paramètre retourne tous les fichiers actuellement ouverts, ce qui est rarement utile. . $ lsof | grep CHR Pour afficher la liste de tous les fichiers ouverts par le processus dont le PID est 13239, tapez : $ lsof -p 13239 2. 3. 4. Petit guide des commandes Unix. Mount_fstab - Documentation Ubuntu Francophone. Quand un clé USB est connectée, elle est normalement montée automatiquement. Idem pour la partition qu'on vient de démarrer et qui porte votre OS. Par contre, les autres partitions du disque ne seront pas montées automatiquement.
Il peut être intéressant de monter manuellement ou automatiquement ces partitions. Il peut aussi être intéressant de spécifier des options de montage (mettre une partition en lecture seule, par exemple). Les montages automatiques (au démarrage) sont définis dans le fichier /etc/fstab. Ce fichier peut-être modifié soit manuellement, soit automatiquement (le logiciel de référence étant gnome-disk-utility, normalement installé par défaut). Nous allons découvrir ces outils, ainsi que quelques commandes utiles. Quelques liens : montage, les systèmes de fichiers sous Linux ainsi que le portail Partitions.
Le montage des partitions a un impact sur le système et nécessite donc les droits d'administration. Liste des partitions sudo fdisk -l Note sur les UUIDs sudo blkid #! Udev. Préambule Comme vous l'aurez compris, ceci est un tutoriel sur UDEV. Il est très complet, il explique en détail le fonctionnement de la bête. Je vous conseille de ne pas le lire en diagonale: il contient beaucoup d'informations, toutes nécessaires pour faire fonctionner correctement vos règles. En général une règle s'écrit en quelques lignes dans un fichiers .rules, mais nécessite beaucoup de rigueur pour qu'elle fonctionne. Donc prenez votre temps pour tout lire jusqu'au bout et comprendre ce que vous faites !
Les concepts Terminologie: devfs, sysfs, nodes, etc. Voici une introduction basique. Sur les systèmes à base de Linux, le répertoire /dev sert à contenir les périphériques sous forme de fichier, les "nodes", qui se rapportent aux périphériques système. Le répertoire original /dev contenait tous les périphériques du système, c'est pourquoi il était si volumineux. Sysfs a été officialisé avec les noyaux de la série 2.6. Pourquoi ? Les règles udev sont flexibles et très puissantes. ? JoVal - Commandes Linux. Shell linux, creation des makefiles, commande make. Introduction Ce tutoriel s'adresse aux débutants programmeurs sous Linux. Il vous présente la commande make et la création de fichier « makefile ». Je précise sous Linux, mais sachez qu'ils existent aussi sous Windows, vous pouvez demander à VC++ de vous les construire. Alors qu'est ce qu'un fichier makefile?
C'est un fichier nommé « makefile » qui permet, en ne tapant que « make » , dans le répertoire où il se trouve de compiler tout votre projet. Par conséquent il rassemble toute les directives de compilation de votre projet. Vous imaginez bien qu'à partir d'un certain nombre de fichier source, il devient tout à fait indispensable. Imaginez-vous taper gcc fichier.c -Wall -c etc... pour chacun de vos fichiers!!! L'édition d'un fichier Makefile Un fichier « makefile » s'édite à l'aide d'un éditeur de texte. Les Commentaires sont unilignes et commencent par #: # commentaire... Un tel fichier contient un ensemble de règle, un règle se compose de la manière suivante: Remarque : Les macros Exemple: Fdisk. Fdisk est un outil de base pour réaliser des opérations sur les tables de partitions des disques durs. Pré-requis Installation fdisk est présent par défaut dans les distributions GNU/Linux [root@localhost /]# umount /dev/hda5 [root@localhost /]# tune2fs -O ^has_journal /dev/hda5 [root@localhost /]# fsck /dev/hda5 [root@localhost /]# mount -t ext2 /dev/hda5 /usr/local Utilisation fdisk permet de manipuler les tables de partitions.
Il permet de créer, de supprimer, de lister les partitions sur un disque dur. Voyons la syntaxe des différentes opérations : Lister les partitions : sudo fdisk -l nous donnera un résultat de ce type : Modifier le type d'une partition Le type d'une partition facilite l'identification correcte de celle-ci par le système. les options suivantes sont accessible après un : sudo fdisk /dev/sda (pour toutes opération sur le disque sda) L'option L de fdisk permet de voir l'ensemble des types de partitions connus par l'outil. L'option t permet de changer le type d'une partition. Gestion de partitions avec la commande Fdisk. Dans cet article, nous allons voir comment utiliser la commande fdisk sous linux, afin de créer deux partitions primaires (40 Go et 120 Go) sur un disque dur rajouté à une machine. Avant de commencer, je rappelle que la notion de partition étendue n'intervient que si l'on veut plus de 4 partitions sur un disque.
A noter également, qu'après détection du nouveau disque au démarrage, celui-ci a pour chemin /dev/sdb dans notre exemple. 1. Création des partitions Lancer l'interface de partitionnement fdisk en ligne de commande, en précisant le disque à modifier : fdisk /dev/sdb Si on appuie sur la touche p, on obtient alors des informations sur notre disque : Command (m for help): pDisk /dev/sdb: 160.0 GB, 160000000000 bytes 255 heads, 63 sectors/track, 19452 cylinders Units = cylinders of 16065 * 512 = 8225280 bytes On va alors créer une première partition primaire, de 40 Go (soit 40960 mo), via la touche n : On vérifie les informations via la touche p : Command (m for help): p ... 2. Ligne De Commande. Compression de fichiers sous linux en console gzip, bzip, zip et tar – ubuntu – fedora – mandriva Sous les systèmes GNU-Linux, les outils permettant de créer des archives compressées sont généralement installés par défaut sur la plupart des distributions.
Dans cet article, je vous présente un simple mémo sur l’utilisation des outils de compression / décompression de fichiers sous GNU/Linux en ligne de commande. A lire en entier avant de tester par vous même ! Dans la plupart des cas, la transmission de fichiers se fait dans des formats compressés, particulièrement pour le téléchargement de programmes à compiler, souvent disponible en format .gz .tgz (ou .tar.gz, c’est équivalent) et parfois .bz2. Sous Linux, on va principalement utiliser « tar » pour créer l’archive de base, puis compresser celle-ci avec un outil au choix.
On va donc créer une archive du home de toto appelée « home_toto.tar », afin de la restaurer ultérieurement : Tout simplement. Puis est lançable directement : Voilààà! [Résolu] activer la coloration syntaxique sous vim. Dd (Unix) Vim. Vim-fr. Unix. Linux Command Line.