Pour Jean Tirole, « le bitcoin n'a aucune valeur intrinsèque » Arnaque à la taxe carbone : les escrocs du siècle de retour à la barre - Le Parisien. Marco Mouly et Arnaud Mimran sont rejugés dans un dossier d'arnaque à la taxe carbone qui leur a permis d'afficher un train de vie sans limite.
Le procès qui démarre ce mardi devant la cour d'appel de Paris s'annonce haut en couleur. Dans le box des prévenus, deux hommes liés par l'un des volets de «l'escroquerie du siècle» à la taxe carbone, mais au style diamétralement opposé. D'un côté, Arnaud Mimran, 45 ans, visage poupin, fils de bonne famille, né à Saint-Mandé (Val-de-Marne) et qui, après des études de «troisième cycle en finance», s'est lancé dans les placements en bourse et dans l'immobilier avant d'y faire fortune. De l'autre, Mardoché «Marco» Mouly, 51 ans, traits creusés, natif de Tunis, qui a grandi à Belleville à Paris, pro de la «tchatche» — ou de la «déballe», comme il aime à le dire —, sorti du circuit scolaire à 9 ans avant de devenir «vendeur de vêtements» puis «commercial dans la téléphonie».
> A LIRE AUSSI. Gouaille et garde-robes bien garnie. Lsa-conso. Immobilier 2017 : prix au m2 et taux, le marché s'emballe - Challenges.fr. La pierre n'aime pas les urnes… Les périodes électorales n'ont jamais été favorables à l'immobilier : en 2007 et en 2012, le marché s'était progressivement gelé pendant les six à huit mois qui avaient précédé l'élection présidentielle.
Mais ces derniers mois, pourtant marqués par les rebondissements des primaires, le contraire s'est produit : le marché a mis le turbo. L'année 2016 s'est conclue par des chiffres de ventes records : plus de 845 000 transactions dans l'ancien (+ 5,2 %) et 120 000 ventes individuelles dans le neuf (+ 20 %). A Toulouse, l'activité a bondi de 15 %, selon les notaires. A Lille, naguère très tranquille, le marché s'est aussi emballé : " 2016 a été extrêmement dynamique, notamment grâce au retour des primo-accédants ", observe Anne-Sophie Hebert-Vidal, associée chez Arsenal Notaires. Ménages optimistes Dans le neuf, la hausse des ventes (+ 20 %) est, elle aussi, spectaculaire.
Ruée sur les prêts Nouvelles assurances. Cours sur le PIB. L’autocar, BlaBlaCar et le chemin de fer. Il était une fois un chemin de fer, BlaBlaCar et plein d’autocars.
Longtemps, le train avec l’auto-stop fut le seul moyen de transport pour les non-automobilistes. Puis, vint le co-voiturage à la portée d’un clic permettant de se déplacer en voiture sans permis et à meilleur marché. Enfin, des autocars aux carrosseries bariolées se mirent à sillonner les autoroutes. Mais dans la concurrence en transport, contrairement à la fable, il sert de courir et il faut partir à point. L’autocar s’est élancé après BlaBlaCar. La course à l’ouverture de nouvelles lignes a connu un départ explosif. Six opérateurs dans les starting-blocks, cela fait beaucoup car tous ne seront pas présents à l’arrivée. Un marché évolutif et modulaire Le petit nombre d’opérateurs dans les marchés nationaux stabilisés ne s’explique pas fondamentalement par des économies liées à la taille et au réseau. En réalité, le transport par autocar est évolutif et modulaire. Une entrée dans la course très coûteuse.
Libéraliser ou réglementer les professions. Adopté par l’Assemblée nationale – sans vote, par utilisation de l’article 49-3 – le projet de loi « Macron » pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques a été voté par le Sénat le 12 mai dernier.
Pas moins de 133 heures de débat en séance ont été nécessaires à cette adoption (après 111 heures à l’Assemblée) pendant lesquelles les mesures initialement annoncées concernant les professions réglementées ont été remaniées vers une plus forte libéralisation. Les débats vifs autour de ce projet s’inscrivent dans une longue controverse française sur les professions réglementées depuis plus d’un demi-siècle [1]. Une telle modernisation est aussi réclamée par les instances européennes.
En 2006, la directive Bolkenstein réaffirme la libre prestation de service au sein des États membres de l’Union, inscrite dès 1957 dans le Traité de Rome, mais non réalisée jusqu’alors. Réformer pour amplifier la concurrence Régimes de concurrence parfaite et imparfaite. Limites de la concurrence : 3 leçons de ski pour un économiste débutant. Les vacances de neige sont propices à l’enseignement de l’économie de la concurrence.
Des monopoles locaux, les écoles de ski, battus en brèche ; des fournisseurs de chaussures, fixations et planches qui détiennent un pouvoir de monopole ; des opérateurs de remontées mécaniques qui jouent leur survie par manque de neige. Si vous lisez cette série de leçons jusqu’au bout, vous obtiendrez votre première étoile d’économie. Leçon 1 : Il y a des bons et des mauvais monopoles Sur la Côte Ouest des États-Unis, une seule école de ski est présente dans les stations, qu’elles soient de grande étendue comme Vail ou de taille plus modeste comme Beaver Creek.
L’enseignement du ski ou du snow-board bénéficie d’un monopole local. La situation américaine s’explique par une raison géographique et juridique. Les youtubeuses beauté.