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Les armes secrètes d'Hitler

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Vidéo Les armes secrètes d'Hitler

Fusée V1. V2: la fusée A4. Mimoyecques V3. La Coupole D'HELFAUT-WIZERNES. Avions Allemand 39-45. Bombe Fritz X. Chars Allemand 39-45. Les armes secrètes d'Hitler. Regarder les vidéos - Les armes secrètes d'Hitler. Bande-annonce de l"émission Les armes secrètes d'Hitler.

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Fritz X Des experts de l'aviation ressuscitent une arme de pointe nazie pour percer son mystère. (00:30) Site secret nazi Au nord de la France se cache un site secret d'Hitler destiné à bombarder Londres avec des miss... (00:30)Toutes les vidéos. Les armes secrètes d'Hitler. L'arme ultime du IIIème Reich Cet article détaille avec le plus de rigeur et d'honnêteté possible les technique antigravitationnelles Allemandes sous le régime nazi.

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Etant donné qu'il n'existe que très peu de documents et de photos de ces prototypes, certains de ces documents peuvent se révéler innexacte avec le temps et les déclassifications de document. Ci-dessus, image rare d'une Haunebu I en couleur Historique des techniques d'antigravité Nazies : En 1922, la Thulé gesellshaft (société de Thulé), un groupe pré-nazi occulte, crée en son sein un groupe d'étude de l'antigravité, la Vril gesselshaft.

Ci-dessus, la Jenseitsflugmaschine en 1922 Un apareil piloté utilisant ce disque sera testé en 1934 mais se révelera tellement catastrophique que ce système antigravitationnel mécanique sera définitivement abandonné la même année. Ci-dessus, Hans Kholer Ci-dessus, le rapport top secret des moyen Nazi a la fin de la guerre. Les armes secrètes nazies. Peenemünde - Les armes secrètes développés. Le V1 est l'appellation donnée par Hitler et qui est l'abréviation de vergeltungswaffe 1 ou arme de vengance 1.

Peenemünde - Les armes secrètes développés

Association Fort de Litroz. Me 262 : Développement [6] Les plans du « P.1065 » (futur Me 262), achevés dès le mois de juin 1939, servirent de base pour la construction d’une maquette qui fut achevée le 1er mars 1940.

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Peu après, le Reichsluftfahrtministerium (RLM) passa commande de trois prototypes et les études de détails débutèrent sous la direction de l’ingénieur Rudolf Seitz. Le premier prototype, achevé dès 1941, fut désigné Me 262 V1, pour « Versuch 1 » (essai n°1). Association Fort de Litroz. Bases secrètes du IIIe Reich [3] Durant la seconde guerre mondiale, pour tenter de développer de nouvelles « armes miracles » (Wunderwaffen), les Allemands procédèrent à des essais d’armes secrètes sur divers sites, non seulement en Allemagne mais également dans les territoires occupés.

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Ils construisirent également un certain nombre de bases secrètes en béton armé, souvent souterraines, destinées à abriter les nouvelles armes de représailles, qu’il s’agisse du V1, du V2 ou du V3. La plupart sont situées dans le Nord de la France, le long du littoral de la Manche, dans les départements du Pas-de-Calais ou du Cotentin, mais il en existe également en Allemagne, notamment pour la production et la fabrication. Ces sites, dont le périmètre était interdit à la population locale sous peine de mort, n’avaient de secret que le nom, car les gigantesques travaux entrepris ne passèrent pas inaperçus et furent vite repérés par la Résistance et les avions de reconnaissance anglo-américains. Autresarmessecretes. Autres Armes Secrétes Allemandes La reproduction des textes et photos est rigoureusement interdite sans l'autorisation écrite de l'auteur ou des propriétaires des documents concernés (loi de 1957) Mise à jour le 23 / 9 / 06 Dans cette rubrique je vous propose un rapide aperçu de la technologie militaire dévelloppée par les scientifiques Allemands durant le second conflit mondial.

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Sous le termes "Armes Secrètes" ou "Armes nouvelles" se trouvent souvent regroupés de nombreux projets dont certains ne dépassèrent pas le stade de la planche à dessin. Si le terme de propagande "Armes V" est souvent repris (V1, V2 et V3), d'autres systèmes d'armes furent également développés certains ayant atteint le niveau prototype ou une mise en service opérationnelle trop limitée pour être connus du grand public.

La Libération (17) : les loups déguisés en agneaux. Revenons-en pour l'instant aux navires, si vous le voulez bien.

La Libération (17) : les loups déguisés en agneaux

Dans toute histoire de mer, il a des corsaires ou des pirates. Pendant la seconde guerre mondiale, il y en a eu aussi, dont quelques uns, surtout, et un en particulier. Une histoire de flibuste remontant au premier conflit mondial, en 1915, notamment, lorsqu'on s'aperçut que les premiers U-boot allemands avaient une prédilection pour les attaques en surface au canon. A l'époque, il n'y avait pas de mine ni de charges de profondeur pour les combattre, et ils avaient pris l'habitude d'attaquer ainsi, jusqu'au jour où l'amirauté anglaise camoufla sur un cargo ordinaire des canons : une invention de l'amiral Hedworth. Surnommés Q-Ships, les cinq navires ainsi modifiés firent des ravages, en commençant par l'U-36 coulé à coups de canon le 24 juillet 1915.

Cela commence ainsi : "l'Atlantis s'appelait à l'origine "Golden Fels". Les prisonniers de Rooge furent transférés sur le Storsad, qui arrivera le 5 février 1941 à Bordeaux.