Les massacres de la guerre de Vendée furent pire que tout ce que la propagande attribue aux nazis. Tu es, cher "dieudonné" un avocat du diable ici ... il y a des éléments comparables entre les deux.
P-ex que la République considérait les Vendéens comme des ennemies du pays, en bloque, tous, sans exception. Si p-ex la Révolution échouait, il y aurait eu certainement d'accusation que c'est à cause d'eux. Comme en Allemagne hitlérienne, les boucs émissaires étaient les Juifs. C'est à cause d'eux (aussi) que l'Allemagne était dépouillée, était à terre ... où tu as tort, ou au moins tu n'as pas raison, c'est que la République était encore désordonnée et en détresse, tandis qu'au moment du cheminement vers la solution finale, d'extermination, c'est un état, une régime bien en place qui agissait.
Il ne faut pas oublier que le racisme (la classification de l'humanité en des races), qui était la base même de persécution des Juifs (et d'autres) par les Nazis ... viens (à ma connaissance) de la France. Liste de massacres de la guerre de Vendée et de la Chouannerie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
De nombreux massacres furent commis pendant guerre de Vendée et de la Chouannerie contre des prisonniers de guerre et des civils. L'ensemble des exactions fit, entre 1792 et 1801, de plusieurs dizaines de milliers à peut-être plus de 100 000 victimes. La guerre fut particulièrement brutale et meurtrière de l'automne 1793 au printemps 1794 lors de la Virée de Galerne et des colonnes infernales. Les Vendéens[modifier | modifier le code] Lorsque la révolte éclate en mars 1793, de nombreuses violences sont commises par certains groupes d'insurgés. Des chefs vendéens, comme Charette, proposent alors des échanges de prisonniers, mais ces propositions sont rejetées par les Républicains qui refusent toute négociation avec les rebelles[2],[3]. En Anjou et dans le Haut-Poitou, les habitants patriotes sont soumis à une très étroite surveillance tandis que les soldats républicains sont maintenus en prison.
Les Républicains[modifier | modifier le code] 27 février 1794, le Grand Massacre de La Gaubretière. L'histoire des Guerres de Vendée reste très présente à La Gaubretière, au cœur du Haut-Bocage.
On y trouve le souvenir de Sapinaud (son logis du Sourdis, sa croix monumentale devant l'église et sa tombe au cimetière), celui de Bonchamps et d'Elbée au château de Landebaudière, mais aussi celui des massacres que les soldats républicains commirent dans la commune. Le plus grand carnage que La Gaubretière endura eut lieu le jeudi 27 février 1794. Guerres de Vendée : après le génocide, le mémoricide… Rarement la page de titre d’un livre aura si bien annoncé ses intentions. Tout y est, il suffit de décrypter : « Reynald Secher, Vendée. Du génocide au Mémoricide, « Mécanique d’un crime légal » Préface de Gilles-William Goldnadel. Postfaces de Hélène Piralian et Stéphane Courtois. Cerf Politique. Démocratie ou totalitarisme. Préface au Livre du noir du communisme (1997) qu’il avait coordonné avait suscité de violentes controverses par sa comparaison entre nazisme et communisme.
Colonnes infernales et massacres pendant la Guerre de Vendée , Le Puiset-Doré 06/08/2012. Lundi 06 août 2012 Une plaque au bas du monument rappelle les massacres. C'est un petit monument, une croix sur un socle qu'on peut voir dans le milieu du bois de Leppo, au bord de la route de Montrevault. Ce monument, installé par le Souvenir vendéen en 1983, témoigne des heures sombres de la Guerre de Vendée, au début de l'année 1794. Les grandes batailles sont terminées, place à la répression avec les Colonnes infernales. Un nom très parlant dont le but était de ravager par le feu et la baïonnette la Vendée militaire pour supprimer toute résistance. Massacres d'enfants C'est ainsi, qu'en février, une trentaine de personnes sont massacrées dans le bourg du Puiset. Parfois il peut y avoir un rayon de soleil dans ces histoires de massacre.
Cette histoire, on ne la trouve dans aucun livre. « Robespierre, bourreau de la Vendée ? » : une splendide leçon d’anti-méthode historique. Pour l’occasion, le site internet de la chaîne a proposé une bibliographie généreusement composée de trois ouvrages.
Elle donne le ton. Ainsi parmi des dizaines de biographies disponibles le choix s’est porté sur le Robespierre de Jean Artarit, un psychiatre qui s’égare sur le terrain de l’histoire de la Révolution française. Comme l’a souligné Historia, Robespierre c’est d’abord une pathologie. Le visiteur du site est ensuite encouragé à lire Anne Bernet. Sur Wikipédia elle est présentée comme une « femme de lettres » qui collabore à des revues « proches des milieux royalistes », « réhabilite l’insurrection royaliste de Vendée » et dont les livres « sont empreints d’un catholicisme traditionnel, voire royaliste pour certains ». Jean-Clément Martin est également présent dans le documentaire avec Jean Artarit, Stéphane Courtois et Reynald Secher.