Business Model Canvas - Design your business - Stormz - Workshop Facilitation Solution. The CPS Process - Creative Education Foundation. If you search the Internet for “Creative Problem Solving,” you’ll find evidence of many variations, all of which may be traced back to the work that was started by Alex Osborn in the 1940s, developed with Sid Parnes in the 1950s, and nurtured at SUNY Buffalo State and the Creative Education Foundation.
The diversity of approaches to the creative problem solving process that have developed since is a testimony to the power of the idea. While many models exist, the Creative Education Foundation focuses on an evolution of the Osborn-Parnes Creative Problem Solving process called the CPS Learner’s Model. Based on the Osborn-Parnes process, the CPS Model uses plain language and recent research. The basic structure is comprised of four stages with a total of six explicit process steps. Each step uses divergent and convergent thinking. Learner’s Model based on work of G.J.
Core Principles of Creative Problem Solving CPS begins with two assumptions: The core principles are: Creative Problem Solving - Stormz - Workshop Facilitation Solution. Formulate a plan is the sixth and last step of the Creative Problem Solving process.
Its purpose is to explore acceptance and identify resources and actions that will support implementation of the selected solution(s). In this workshop, the team will go through: A) A divergent phase to generate as many actions as possible. To do so, they will use the Assistor/Resistor, technique followed by a reverse brainstorming. B) A convergent phase to formalise an action plan with short term, medium term and long term actions. About the CPS process. There are many models of the Creative Problem Solving process. The basic structure is comprised of four stages with a total of six explicit process steps.
Brainstorming and beyond - Stormz - Workshop Facilitation Solution. Le règne des IKWIWAIWIN. Aujourd’hui, la créativité est devenue le talent n°1 valorisé au sein des entreprises mais également des communautés de la sphère sociale.
Après les amateurs qui se sont libérés durant l’aire de la Longue Traine, nous avons vu naître les crowdfunders (My Major Company, Kickstarter, etc ) qui nous ont tout droit menés à l’ère des makers, plus libres que quiconque. Quelles sont les raisons poussant l’humanité à toujours vouloir créer et innover ? Défier sa propre mortalité ? Gagner l’approbation de ses pairs ? Améliorer ses conditions de vie ? Kevin Kelly a écrit « What technology wants », Douglas Rushkoff a écrit « Program or be programmed », Philippe Borrel s’interroge sur « Un avenir sans humains »… Hélas, il n’est pas anodin de se demander si nous parvenons à maîtriser ce dynamique de destruction créatrice qui nous habite.
Une nouvelle génération de créateurs, de hackers et de makers est donc en train de s’enflammer sous nos yeux. . - je suis curieux Nesem Ertan. Méthode des six chapeaux. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour cela, chaque participant prend un « chapeau » d'une couleur particulière, lui assignant ou lui reconnaissant un rôle. Ce chapeau peut changer durant la réunion. Il peut aussi être identique à celui d'autres participants. La méthode[modifier | modifier le code] Quand il s'agit d'utiliser la méthode lors d'une réunion, le principe est de faire l’effort d’endosser tous les modes de pensée à tour de rôle (ou de les reconnaître chez les autres intervenants).
Ce système a pour vocation de créer un climat de discussion cordial et créatif et facilite la contribution de chacun. On peut résoudre les problèmes plus rapidement en concentrant sa pensée sur la tâche à accomplir. Quand il s'agit d'un management personnel, l'effort se porte sur le changement successif des modes de pensée. Les différents chapeaux[modifier | modifier le code] Chapeau blanc[modifier | modifier le code] Chapeau rouge[modifier | modifier le code] Portail du management.