Bicentenaire du Code civil - exposition virtuelle. Napoléon Ier en costume de Sacre par Jacques-Louis David. Les apports de la Révolution française. L'ère napoléonienne. Résultats / Recherche / Moteur Collections. Comment Napoléon est-il devenu roi d'Italie. Liberté d'expression, liberté de la presse, de quoi parle-t-on ? La question centrale posée par ces débats est celle de la possibilité de mettre en cause les autorités.
En effet, dès juillet 1789, nombre de publications sont attaquées par les autorités municipales parisiennes pour incitation à la désobéissance ou à l’émeute. Marat est particulièrement visé. Il est ainsi obligé de vivre et de produire son Ami du Peuple dans une clandestinité quasi complète jusqu’en 1792. En janvier 1790, Sieyès propose une loi — ajournée — sur la presse qui prévoit des poursuites contre les périodiques incitant à la sédition, insultant le roi, outrageant les bonnes mœurs, ou proférant des accusations calomnieuses. Le débat ressurgit à plusieurs reprises. Maximilien Robespierre. Le mystère Louis XVII - 03/11/2014 - News et vidéos en replay - L'Ombre d'un doute. 21 janvier 1793, sur la place de la révolution à Paris, Louis XVI est guillotiné. 9 mois plus tard, Marie Antoinette est décapitée à son tour.
Marie Thérèse, leur fille aînée et son frère Louis Charles, duc de Normandie, sont tous deux détenus dans la prison du Temple à Paris. Louis Charles, fils Capet, devient alors l’héritier du trône sous le nom de Louis XVII. Deux ans après la mort de ses parents, le 8 juin 1795, Louis XVII meurt dans sa cellule de la prison du Temple à Paris.
Le fils de Louis XVI et Marie Antoinette a 10 ans. Napoléon : le défi de trop - 06/10/2014 - News et vidéos en replay - L'Ombre d'un doute. Que fête-t-on le 14 juillet - L'ombre d'un doute (Fr3 11 07 2012) Robespierre, bourreau de la Vendée ? L'ombre d'un doute - Franck Ferrand. Archives numériques de la Révolution française. Les Archives numériques de la Révolution française (ANRF) sont issues d’une collaboration de plusieurs années entre les bibliothèques de l’Université de Stanford et la Bibliothèque nationale de France (BnF), visant à créer une version numérisée des principales sources d’étude de la Révolution française et à les mettre à disposition de la communauté académique internationale.
Les Archives s’appuient sur deux sources principales, les Archives parlementaires et un vaste corpus d’images réuni pour la première fois en 1989 et intitulé Images de la Révolution française. Archives parlementaires / Parliamentary archives. Portraits de la Révolution Française jeux quizz gratuits d'histoire. La machine à produits dérivés : la prise de la Bastille et ses souvenirs. Après l’immense succès du premier billet croisé sur Paris et les excréments, Marine et moi réitérons l’exercice autour du thème de la Révolution.
Sur le blog "Raconte-moi l’histoire", Marine parle des portraits des Capitouls tandis que je vous dévoile quelques détails surprenants sur la démolition de la Bastille. Le bon docteur Guillotin. Portrait de Joseph-Ignace Guillotin (1738-1814).
Médecin, franc-maçon, député du Tiers état. Destin étrange et paradoxal que celui de cet esprit libéral et philanthrope, mort il y a deux cents ans. Croyant faire œuvre de salut public en officialisant un nouveau procédé lors des condamnations à la peine capitale, il n’en récoltera que de la haine ou des railleries de la part de ses contemporains. Son nom est certes passé à la postérité, mais son principal apport à la société de son temps lui vaudra d’être honni à tout jamais. Guillotin expose lors d’une séance de l’Assemblée nationale dès 1789 une idée « révolutionnaire » : une réforme du mode d’exécution capitale, dans un but philanthropique et une vision égalitaire de la société. L’épisode est également relaté en détails dans La Guillotine en 1793 : documents inédits des Archives nationales, ainsi que dans La guillotine et les exécuteurs des arrêts criminels pendant la révolution.
Une histoire médicale de la guillotine (Anne Carol) AHRF. Archives de Vendée. Nathan_livret4e_nov2014.pdf. Histoire des deux Empires napoléoniens : les Essentiels, le Calendrier républicain - convertisseur. Fouché. Les silences de la pieuvre - livre de Emmanuel de Waresquiel - Critique. Un serpent enroulé autour d'une colonne : les armoiries de Joseph Fouché (1759-1820), duc d'Otrante, n'auraient pu mieux symboliser le pouvoir qu'exerça cet homme redoutable et redouté, de la Révolution à la Restauration en passant par l'Empire.
Portant la soutane dans sa jeunesse, montagnard à la Convention, votant la mort du roi Louis XVI, mitrailleur de la ville de Lyon, ministre de la Police, traître, comploteur, informé de tout et de tous, il a traîné sa légende noire jusque chez ceux qui, plus tard, l'ont évoqué : Victor Hugo, Balzac ou Stefan Zweig.
Il fallait bien qu'Emmanuel de Waresquiel, spécialiste du premier xixe siècle, bénéficiant d'archives inédites, se frottât à Fouché. C'est chose faite, avec cette somptueuse biographie où le roman d'espionnage s'insinue entre les analyses. Suivre Fouché, c'est fréquenter les riches bâtisses et filer par des portes dérobées et, toujours, être témoin de son machiavélisme. Fouché n'aurait-il été qu'un technicien du secret ?