Bobler lève 500 000 euros pour lancer son application LiPP à l’international. C’est la deuxième application pour la start-up française Bobler. Sa plateforme permettait jusqu’à maintenant d’échanger des messages audio de 36 secondes avec ses amis. Avec LiPP, Bobler permet aux utilisateurs de poser leur voix sur de courtes vidéos et de les partager sur la plateforme Bobler et les autres réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Instagram, etc.). Pour financer l’expansion de son nouveau produit, l’éditeur vient de collecter 500 000 euros auprès de ses investisseurs. "Nous voulions lancer un nouveau projet, nous avons donc fait un hackathon en interne, se souvient Marc-Antoine Durand, le fondateur de la société.
Dépasser le million d’utilisateurs en allant à l'international La start-up ne réalise pas encore de chiffre d’affaires, les solutions pour monétiser ses applications étant encore en test. Cette levée de fonds d’amorçage auprès de business angels doit permettre de financer le lancement international de la start-up. Arnaud Dumas. #ConsoCollab : L'économie collaborative, un marché qui pourrait peser 100 milliards de dollars d'ici 3 ans. L’étude « Ubérisation : partager ou mourir ? » menée par Monitor Deloitte donne de la substance à ce terme aujourd’hui galvaudé. Le cabinet en dévoile les grandes caractéristiques et livre quelques pistes aux entreprises traditionnelles pour qu’elles luttent, ou plutôt qu’elles embrassent ce phénomène. Impactant de nombreux secteurs économiques, l’ubérisation ne se résume pas qu’à un terme choc inventé par un publicitaire de renom et utilisé à toutes les sauces par les jeunes pousses qui pensent ainsi mettre l’accent sur le coté disruptif de leur idée.
C’est un véritable phénomène qui signe l’avènement d’une nouvelle économie, dans laquelle les petits n’ont plus peur de s’attaquer aux gros acteurs et où la bonne idée parvient parfois à primer sur les gros moyens. L’économie collaborative, un marché qui double de taille tous les 18 mois… Tiré vers le haut par l’innovation mais plombé par la réglementation.
L’innovation bancaire, nouveau terrain de chasse des start-up africaines. En 2030, selon le philanthrope américain Bill Gates, deux milliards d’individus dans le monde utiliseront leurs téléphones mobiles pour épargner, emprunter et effectuer des paiements. En Afrique, le mobile est devenu un outil puissant d’e-inclusion qui permet, en l’absence d’infrastructures bancaires, de recevoir des salaires et d’en verser, faisant sortir du secteur informel des pans entiers de la population africaine, absente des statistiques officielles. De Nairobi à Mombasa, 75 % des adultes kenyans règlent toutes leurs factures de la vie courante directement via l’application M-Pesa : frais de scolarité, factures d’électricité et même de simples courses en taxi, comme je le fis quotidiennement lors de mon passage à Nairobi dans le cadre du projet #TECHAfrique.
Avec M-Pesa, un simple SMS envoyé depuis ou vers un téléphone low-cost suffit. AfriMarket (France) : le « Cash to Goods » pour casser le monopole des transferts de fonds. #Innovation : Le Big Data est-il le nouvel eldorado des entreprises européennes. Il est sur les lèvres de tous les managers et entrepreneurs, fait les gros titres des journaux et anime des conférences entières. Le « Big data » s’est peu a peu imposé à tous, particuliers et entreprises, dans les dernières années. Tous ont le pressentiment que ce Big Data est vraiment un sujet central, qui préoccupe, tant ses impacts peuvent être importants, notamment au niveau micro-économique.
Article rédigé par Astrid Laplanche, Growth Analyst pour La Belle Assiette. Le Big data serait-il la nouvelle formule magique pour assurer des croissances d’entreprises plus vigoureuses et, surtout, durables? Une étude Xerox, menée par Forrester en mai 2015 auprès de 330 entreprises dans 5 pays européens tente de faire le bilan. S’appuyer sur le Big Data pour améliorer les performances business: les attentes des managers Mais comment définir le Big Data? À l’échelle des entreprises, ceci se traduit concrètement de façon différente, les applications variant bien entendu selon les secteurs. Communication : une nouvelle génération d'agence va-t-elle apparaître ? Depuis peu apparaît dans le giron des pubards de nouveaux concurrents, comme les boites de production ou les studios. Jusque là ces entités faisaient office de prestataires de services. Mais ça, c'était avant... La scène se passe en 2012, un jour (pas si) anodin de printemps ensoleillé à Brooklyn.
Elle est contée par notre consœur Shareen Pathak dans Digiday. Sur le coup sa réponse est révélatrice de l’imprégnation culturelle de son milieu professionnel : il suggère à Qualcomm de le mettre en contact avec une de ses agences partenaires. Sentant le filon, le directeur créatif ouvre alors Special Guest, en partenariat avec 1stAveMachine, pour répondre en direct aux besoins créatifs des marques. Et dans l’hexagone ? Certes le modèle qui fait foi aujourd’hui fonctionne bien. En matière d’agilité, cela va dans les deux sens. De nouvelles structures pour de nouveaux besoins « La frontière est devenue floue » Deux questions à Areski Ferhat, co-fondateur de Studio Lumini. Les Rendez-Vous du Futur / Eric Sadin 30.06.2015. Médecins, banquiers... ces métiers qui pourraient bientôt être "uberisés" Médecins, plombiers, banquiers… le spectre de "l’uberisation" - la transformation rapide d’un secteur professionnel suite à une innovation technologique - plane sur de nombreuses professions.
Olivier Ezratty, conseil en stratégies de l’innovation et spécialiste du sujet, revient sur les domaines qui pourraient être chamboulés dans les prochaines années. Peut-on prévoir aujourd’hui quels secteurs sont susceptibles d’être "uberisés" ? - La meilleure manière de prévoir les domaines qui risquent d’être uberisés consiste à identifier ceux qui génèrent de l'insatisfaction client.
Les consommateurs sont de plus en plus exigeants : ils cherchent notamment à gagner du temps, une qualité de service, un choix, des prix raisonnables et prédictibles, qu'ils estiment correspondre à la prestation demandée. L’insatisfaction peut par exemple tenir aux délais d’attente de consultation de certains médecins ou à la difficulté d’accéder à certains types de service. . - Bien au contraire !
Quel est le vrai visage de l'économie collaborative ? - Les Echos. Accueil Les hérauts de l'économie collaborative, en trahissant ses fondements, risquent d'ébranler la confiance nécessaire à son développement.(...) Cet article est réservé aux abonnés, pour en profiter abonnez-vous. Et aussi sur les Echos Les articles à la une Automobile Renault double presque son bénéfice net Le résultat net du groupe au premier semestre s’établit à 1.469 millions d’euros, contre 801 millions d'euros un an plus tôt.
Industrie & Services Renault : le poids de l'Europe au plus haut depuis cinq ans (08/07) Les ventes du groupe restent quasi stables grâce au Vieux Continent.Le poids de l'international (38,3 %) recule et revient à son niveau de 2010. Tourisme - Transport Vol MH370 : Malaysia Airlines prudente sur le débris d’avion Un débris d’avion a été retrouvé, mercredi sur le rivage oriental de La Réunion, qui ressemble à un morceau d’aile. À lire également sur les echos Recommandé par Les articles les plus lus Tiré par l'Europe, Renault double quasiment son bénéfice net. Objets connectés : Misez sur la suprématie française. La France assure du côté des objets connectés. Et ce n’est pas moi qui le dit, ni Eric Lewin notre spécialiste des petites valeurs, mais… le Financial Times, journal pourtant pas particulièrement connu pour son amour immodéré pour notre pays.
Et depuis que les socialistes sont au pouvoir, c’est encore pire. Mais passons car, pour une fois, la France est louée pour son avance en matière d’objets connectés, s’arrogeant même la deuxième place (après les Etats-Unis) dans le domaine. A chaque conférence, salon ou événements organisé sur l’Internet des Objets (IoT, pour Internet of Things), les entreprises françaises s’arrogent la part du lion. Lors du dernier International Consumer Electronics qui s’est déroulé en janvier dernier à Las Vegas, un tiers des 350 entreprises non-américaines présentes étaient françaises. Même chose au London Innovator of the Year de cette année où 39 des 50 nominés étaient des entreprises françaises.
Qu’est-ce que cela signifie pour vous ? Cécile Chevré. Intrusio 6 au 8 octobre Mobility For Business. On le sait, la transformation numérique est en marche et, aujourd’hui plus que jamais, la mobilité est un des enjeux essentiels car le nomadisme touche tous les secteurs d’activités, elle est même un vecteur de compétitivité vital pour l’entreprise. D’après une étude d’Accenture : 79% des professionnels informatiques voient la stratégie mobile comme créatrice de valeur ; 73% pensent qu’elle aura des retombées comparables ou supérieures à la révolution Internet, dans les années 90 et 84% qu’elle est indispensable pour améliorer la relation client. 2014 a vu éclore un nombre impressionnant d’applications mobiles.
Mobility For Business 2015 est le rendez-vous des experts et des professionnels du secteur, un lieu idéal pour faire le point. Pour ce faire, le salon propose, cette année encore, des Conférences et Keynotes qui permettront de répondre à certaines questions, dont (liste non exhaustives) : • Comment identifier et gérer les applications métiers dédiées ? Avec sa nouvelle enseigne Mood, Orange met le turbo sur les objets connectés. La première boutique Mood a ouvert à Bordeaux en septembre puis Paris et Dijon début juin. L’enseigne appartient à Générale de Téléphone, filiale à 100% d’Orange, connue pour ses magasin Photo Service et Photo StationPierre Jacobs, directeur général de l'entreprise, nous dévoile sa stratégie Que trouve-t-on dans une boutique Mood ? Notre enseigne a vocation à faire découvrir tout ce que l’on peut faire avec et autour de son mobile grâce aux objets connectés.
On retrouve donc en magasin plusieurs familles de produits. D’une part, assez classiquement, ce qui permet de protéger son mobile mais avec une gamme de marque inédite sur le marché. On trouve également l’ensemble des connectiques avec de nouveaux objets comme des batteries de secours, des clés de transferts et puis une gamme audio portative. Et puis, d’autre part, une gamme d’objets connectés où l’on propose à la fois un accompagnement de nos conseillers et surtout une démonstration de ce que l’on peut faire avec ces objets.