Iaito Débutant Ajiro Koshirae (Osier et bambou) - En Stock. Le revêtement protège le bois de magnolia dont est faite la Saya.
Même si le laquage n'a aucune influence sur la pratique, nous conseillons généralement de choisir "Ishime" (Kuroishime, Chaishime), car ils sont plus résistants aux égratignures. Les différences entre les revêtements "Chaishime", "Kuroshime" et "Hon Chaishime" résident dans le nombre et l'épaisseur des couches appliquées. Les modèles "Hon" (signifiant "réel" en japonais) sont composés de plusieurs couches et par conséquent, le temps de traitement est plus long que celui des modèles classiques. Il en va de même pour toutes les Saya de luxe avec laquage complexe. La Saya est composée de deux morceaux de bois de myrtille japonais qui sont collés ensemble. Le Kurikata est la pièce située à 8 cm du Koiguchi (trou dans la Saya) du côté Omote de la Saya, utilisée pour glisser le Sageo. ŌNO KAZUO. Le chorégraphe japonais Ōno Kazuo (Ohno en translittération anglo-saxonne) a contribué, avec Hijikata Tatsumi (1928-1986), le fondateur du butō, à développer cette forme de danse apparue au Japon à la fin des années 1950.
Celui qui affirmait « danser pour se tuer et se retuer sans cesse » s'est éteint le 1er juin 2010 à l'hôpital Senin Hoken de Yokohama, dans la banlieue de Tōkyō. Il avait cent trois ans. Aîné d'une famille de onze enfants, Ōno Kazuo est né le 27 octobre 1906 à Hakodate, port du Hokkaidō, l'une des îles les plus septentrionales du Japon. Son père était directeur d'une coopérative de pêche. Sa mère, une femme très cultivée et musicienne, lui donna très jeune le goût de la musique et de la littérature occidentales, ainsi que celui des récits fantastiques. Studio de danse de kazuo ohno yokohama at DuckDuckGo. Studio de danse de kazuo ohno yokohama at DuckDuckGo. About the Studio ― Kazuo Ohno Dance studio official Website. Patrimoine culturel du Japon. Le logo de la protection des propriétés culturelles est symbolisé par un tokyō (en)(斗きょう?)
, élément d’architecture japonaise. Le patrimoine culturel du Japon (文化財, bunkazai?) Trésor impérial du Japon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Répliques du trésor impérial du Japon. Les Trois trésors sacrés du Japon (三種の神器, Sanshu no jingi?) Sanctuaire d'Ise. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Trésor impérial du Japon. LE JAPON TRADITIONNEL - Temples et Palais. DAIKAKU JI : ** Ce temple, situé sur les hauteurs ouest de la ville, fait partie de l'histoire du Japon.
Bâti en 830 par le deuxième empereur régnant à Kyoto, l'Empereur Saga ( 786-842 ), il fut à l'origine un palais Impérial. Les joutes littéraires et les promenades en bateau sur le célèbre étang de style Osawa furent parmi les plus connues de Kyôto. En 876, l'Empereur Seiwa décida de convertir ce palais en temple, en l'honneur de Kukai, fondateur de la secte Shingon. Mais le vrai destin de ce temple va surgir en 1336, quand les Shogun Ashikaga prennent le pouvoir et nomment un nouvel empereur Kômyô. L'ancien Empereur destitué s'installe au Daikaku-Ji et y débute une révolte contre le nouveau pouvoir. Le destin ne s'arrêta pas là.
Japon : Comment les monuments historiques ont été anéantis - MycrazyJapan.fr. Pourquoi ce sanctuaire japonais est-il détruit puis reconstruit à l'identique tous les 20 ans ? Rivière d'ise jingu naiku sanctuaire© coward_lion / iStockphoto.com Tous les 20 ans, le sanctuaire d'Ise au Japon est détruit puis reconstruit à l'identique, mais pour quelles raisons ?
C'est ce que l'on vous propose de découvrir aujourd'hui... Un endroit tenu secret... C'est le lieu le plus important et aussi l'un des plus secrets de la culture shintô au Japon. Focus sur le sanctuaire d'Ise qui prend place dans la ville du même nom et appartient à la préfecture de Mie au sud de l'île de Honshū, l'île principale du pays. L’Himalaya physique et spirituel du photographe Naoki Ishikawa. Tsukioka Yoshitoshi -Blood and the Bewitching. 2020, August 1st-October 4th [1st Term] August 1st-30th.
MOROHOSHI Daijirô. Une mythologie des ténèbres, de l’étrange au monstrueux Dans le continent encore largement inexploré que constitue en France (amateurs et détracteurs réunis) la bande dessinée japonaise contemporaine, l’œuvre de MOROHOSHI Daijirô se présente comme un territoire aussi peu accueillant que dérangeant, aussi abrupt que fascinant.
Pléthorique, foisonnante, l’œuvre de MOROHOSHI s’organise en un certain nombre de directions et thématiques, recoupant autant de registres génériques cardinaux de la production dessinée japonaise : récits fantastiques, d’horreur, de science-fiction, mythologiques, historiques… Dessinateur au travail inscrit dans le cadre traditionnel des magazines de prépublication à grand et moyen tirage, loin des revues de bande dessinée indépendante ou « alternative » où il aura fait ses débuts, il apparaît pourtant comme profondément singulier dans son parcours comme dans son rythme de publication au sein d’un cadre éditorial avant tout commercial.
Ilan NGUYÊN Retour. Sous l’effet du Covid, l’« hanko », le sceau ancestral si cher aux Japonais, pourrait disparaître. La pandémie due au coronavirus a mis en évidence les contrastes du Japon, en pointe sur les nouvelles technologies, en retard sur les procédures administratives.
L’archipel a repris la tête du classement des superordinateurs avec l’entrée en service, le 23 juin, de Fugaku, conçu par l’institut de recherche publique Riken et le géant de l’électronique Fujitsu. La machine installée à Kobe affiche une puissance pratique de 415,5 pétaflops (les flops sont les opérations en virgule flottante par seconde), 2,8 fois supérieure à celle de son premier concurrent, l’Américain IBM Summit. Voilà donc l’archipel armé d’un nouvel outil ultramoderne dont la première tâche est, à titre expérimental, de travailler sur les diagnostics et la propagation du Covid-19. L’hanko sert à valider son arrivée et son départ du bureau et à « signer » un document officiel, voire une modification, dudit document. Tatsumi, l’anti-Tezuka. On a peine à imaginer aujourd’hui le choc que provoquèrent les premières bandes dessinées de Tatsumi parues en français.
C’était dans le légendaire Cri qui tue de Takemoto Atos, dans les années 1978-1981. Enfers et fantômes d'Asie. Mort d’Isao Takahata, réalisateur du « Tombeau des lucioles » Cinéaste engagé, il avait créé en 1985 le studio d’animation Ghibli avec Hayao Miyazaki. Il était âgé de 82 ans.