Revue ESPRIT. Parti Pirate ~ Section locale Île-de-France. Qu’est-ce que le Hackschooling ? Réflexion sur l’enseignement & le hacking. Meet the Hackers Who Want to Jailbreak the Internet | Wired Enterprise. As part of the Indie Web movement, Harlan Wood wants to rebuild the internet — one block at a time.
Photo: Klint Finley/WIRED PORTLAND, OREGON — One guy is wearing his Google Glass. Another showed up in an HTML5 t-shirt. And then there’s the dude who looks like the Mad Hatter, decked out in a top hat with an enormous white flower tucked into the brim. At first, they look like any other gaggle of tech geeks. Packed into a small conference room, this rag-tag band of software developers has an outsized digital pedigree, and they have a mission to match.
They call it the Indie Web movement, an effort to create a web that’s not so dependent on tech giants like Facebook, Twitter, and, yes, Google — a web that belongs not to one individual or one company, but to everyone. On any given day, you’ll find about 30 or 40 of them on an IRC chat channel, and each summer, they come together in the flesh for this two-day mini-conference, known as IndieWebCamp. A Web You Can Call Your Own — Tantek Çelik. - Hacking citoyen - projet de diplôme Geoffrey Dorne - Ensad. 99 hacks pour votre quotidien ! Hello Vous connaissez mon appétence pour le hacking et ce doux mélange que je fais sans cesse entre le hacking et le design. J’ai donc trouvé cette liste de « hack » de tous les jours vraiment très intéressants car ils reflètent bien l’esprit humain et l’ingéniosité mise en place pour détourner les objets de leurs fins initiales. Dans cette liste pas très élégante et très « dirty », ce sont des idées, des choses bien vues, des détournements, des petites bidouilles de la vie quotidienne.
Des idées toujours bonnes à partager, n’hésitez pas à me dire lesquelles ont retenues votre attention source Ces articles peuvent aussi vous intéresser: Mothership HackerMoms | Ideas. Projects. Comrades. Childcare. At Mothership HackerMoms, the Freedom to Be Empowered. Mothership HackerMoms is the first-ever hackerspace devoted to mothers and their children. Going beyond computers and programming, this community taps into the basic philosophy of hacking, explains Lisha Sterling, a professional software programmer, specializing in education and technology, and activist for alternative and experimental education.
Hacking means taking control, together, of our environment, our culture, and our lives. At MotherShip Hackermoms, this also means never having to leave the kids behind. It is well known that mothers in the US often find themselves isolated during the first years of their children’s lives. "Our children learn by watching us. " The fact of the matter is that most hackerspaces, no matter how inclusive, simply were never designed with children in mind. Hacking: A culture of diversity and empowerment Some people ask what makes Mothership HackerMoms different from other craft groups. In order to explain, let’s start with a few definitions. Rebooter les villages. Zone rurale autonome + hackers = hackerland.
Une équation somme toute logique, comme nous l'ont expliqué les habitants d'un de ses "néo-villages" installé dans le Centre. Ils organisaient ce week-end leur deuxième festival, au joli titre en forme de synthèse : electronic pastorale. La sainte trinité du hackerland. Ces deux univers étaient faits pour se rencontrer, s’aimer, s’aider : les hackers et ce qu’on pourrait appeler les zones rurales autonomes. Car le lieu a d’abord rassemblé une poignée de personnes qui voulaient vivre en autosuffisance, constituer un collectif au maximum “résilient” : trois gars du coin et pas des Parisiens en mal de retour à la Nature comme le Larzac en a vu tant passer. Alors, ils ont acheté deux hectares et, partant de ce rien de terre, ont construit pas à pas “un village”. Éloge de la do-ocracy Depuis leurs débuts, ils ont entendu tous les noms d’oiseaux planants : “hippies”, “tarte aux fleurs”, “allumés énergétiques”, etc.
Il est libre, le pixel. Lifehacker, tips and downloads for getting things done. Les Nouveaux Etudiants. « Je me modifie, donc je suis » Cyril Fiévet (@cfievet) ne nous est pas inconnu. Ancien journaliste pour InternetActu de 2003 à 2006, il fut l'un des blogueurs français les plus prolixes du début des années 2000 avec son blog, Pointblog, son livre BlogStory et son magazine, Netizen, qui avaient tout trois l'ambition de montrer au grand public ce qu'était ce phénomène alors naissant.Cyril Fiévet s'intéresse depuis des années aux technologies.
Editeur et traducteur pour Fyp éditions, il vient de signer Body Hacking, un livre très documenté sur la démarche volontaire de modifier son propre corps, "notamment en lui adjoignant des composants artificiels, dans le but de transformer son comportement naturel". En nous amenant à la rencontre de ces premiers pirates d'eux-mêmes, Fiévet ouvre une boîte de pandore, esquissée philosophiquement par les transhumanistes, qui nous fait passer concrètement de la science-fiction à la plus concrète réalité. Qu'est-ce qui change quand les gens se mettent à s'opérer dans leur cuisine ? La petite histoire d’Anonymous à Fantasia. Portrait favorable mais néanmoins franc, We Are Legion - The Story of Hacktivists va à la rencontre de spécialistes d’Internet et des médias, mais également de membres et d’anciens membres d’Anonymous, le plus célèbre collectif de pirates virtuels.
On les imagine vivant cloîtrés dans les sous-sol de leurs parents, leur existence tout entière vécue devant leur ordinateur. Ils sont les premiers à rire du cliché tout en le validant. À l’ère du 2.0, leur terrain de jeu, les pirates d’Internet (communément appelés « hackers ») sont passés ces dernières années de l’anonymat relatif à l’hypermédiatisation. Ironiquement, c’est un collectif nommé Anonymous qui fait le plus de bruit. Au Québec, la nébuleuse virtuelle Anonymous a défrayé la chronique en mai dernier en sommant le gouvernement Charest, par une vidéo, de mettre un terme aux interventions policières dites « musclées ». C’est en effet un document audiovisuel interne de l’Église de scientologie qui serait à l’origine d’Anonymous. Comment tu hackes ta bibliothèque (Toulouse) ? Au sortir de la longue Quinzaine consacrée au Libre par la Bibliothèque de Toulouse , et au vu des réactions très encourageantes exprimées depuis quelques jours, il est intéressant de revenir sur cette opération annonciatrice de beaux développements.
Hacke ton animation : vraiment ? Un programme "augmenté" : merci les réseaux ! Le programme élaboré par les bibliothécaires s'est construit de manière intéressante. A partir d'une demande formulée par l'équipe Musique (2 ateliers sur MAO et PAO et une conférence), on a vu arriver 11 ateliers au final, 3 conférences et 2 espaces de démonstration, ce qui a mis en mouvement pas moins de 12 collègues autour de cette idée centrale : montrer toutes les facettes possibles du Libre.
Les thématiques des conférences, le choix des lieux (3 médiathèques concernées) le "pot" commun de réflexions ont constitué, de mon point de vue, une des expériences professionnelles les plus achevées. Une séquence Animation introduite au chausse-pied : merci SAC et Com' 30 ans de bidouille politique. Le Chaos Computer Club, célèbre et influente organisation de hackers allemands, fête ses trente ans cet automne. Pour comprendre sa trajectoire, rencontre avec Andy Müller-Maguhn, membre du bureau, et longtemps porte-parole. Andy Muller Maghun à Berlin en novembre 2011, (cc) Ophelia Noor pour Owni Trente ans de hack et tous ses bits : depuis septembre 1981, le Chaos Computer Club [en] rassemble des hackers, ces adeptes passionnés de la bidouille et du détournement de finalité, en particulier dans l’informatique.
Le petit groupe créé à Hambourg a ensuite migré à Berlin avant de faire des petits dans tout le pays, et même à l’étranger, au point de devenir la première organisation de ce type en Europe. Ils sont parvenus à acquérir, à coup de hacks restés dans les mémoires, une véritable influence politique dans le domaine des libertés numériques et de la protection de la vie privée. Le CCC vient de fêter ses 30 années d’existence. Quand je suis arrivé, il y avait 300 personnes. Regret ? FabLabSquared. Billet publié le 11 avril par Fabien Eychenne | 5 commentaires Tag : Lexique Les hackerspaces sont des lieux protéiformes regroupant des personnes d’horizons différents dans l’objectif de produire des projets, de nouvelles idées et de les partager. Les technologies et le numérique sont utilisés comme levier. Les activités liées aux différents hackerspaces peuvent varier par rapport aux lieux, aux cultures, aux personnes qui portent le hackerspace.
Les hackerspaces fonctionnent généralement à travers des workshops, des présentations et des cours. Ils proposent des espaces afin que leur membres travaillent sur des projets personnels, collaborent avec d’autres groupes et d’autres projets. Apprendre et partager sont au cœur de l’écosystème des hackerspaces. Les hackerspaces trouvent leurs racines dans la contre culture des années 60 et les mouvements autonomes. Ils fonctionnent grace aux adhésions de leurs membres bien que leur structure juridique puissent varier en fonction des espaces. Hackers. La révolution des hackers. La révolution des hackers est en marche.
Ce mardi soir, nos amis de l'excellent magazine Uzbek & Rica organisent à la Gaîté lyrique à Paris un Tribunal pour les générations futures avec, à la barre, la révolution qui vient. Celle d'une société de l'information libre et gratuite, en opposition à une société construite par des industries dites culturelles. Thème du procès de ce soir: "la culture doit-elle être libre et gratuite ? " Dès à présent, récit de la genèse de cette cooool révolution. [LIVESTREAM] Suivez le tribunal des générations futures en direct sur Dailymotion. Les hackers sont en train de réussir là où les marxistes avaient échoué : bâtir une société fondée sur le partage. Pour la première fois dans l’Histoire, il est donné aux hommes l’occasion de réussir quelque chose de grand, et sans faire de morts. . « À chacun selon ses besoins », écrit Marx dans Critique du programme de Gotha (1875).
De toute façon, la révolution a échoué Un spectre hante le monde : le partage. Wikileaks démasque les espions numériques. C’est un nouveau marché directement issu de l’économie numérique, il pèse aujourd’hui 5 milliards de dollars. Pourtant, il apparaît rarement sur le devant de la scène et préfère une discrétion toute stratégique. L’industrie de la surveillance et de l’interception des communications n’aime en effet pas trop la lumière. Pour une raison bien simple : ses clients sont souvent bien peu recommandables. Si l’utilisation de ces technologies est étroitement surveillée dans les démocraties, leur commercialisation vers les pays moins regardants sur les droits et les libertés n’est pas ou peu réglementée. Rien d’étonnant à ce que ce secteur soit la nouvelle cible de WikiLeaks, qui, pour son retour aux affaires après quelques mois de silence et malgré une situation financière difficile ( lire l'article ), vient de rendre public 287 documents internes et commerciaux de ces acteurs de l’armement numérique.
Mais que disent-ils, tous ces documents ? Pseudos. Lire les réactions à cet article. Anonymous démasque la fachosphère. Le collectif informel Anonymous s'attaque à la fachosphère. En Allemagne, en France ou aux Etats-Unis, les hacktivistes piratent les sites d'extrême-droite, qui répliquent parfois en se réclamant de la même bannière. Anonymous s’est lancé dans une nouvelle bataille, après le soutien symbolique aux révoltes arabes et les protestations contre la fermeture du site de téléchargement MegaUpload.
Le collectif informel a attaqué des sites d’organisations d’extrême-droite en Europe et aux Etats-Unis. En France, l’opération Blitzkrieg a donné lieu à un curieux chassé-croisé. Un message laissé sur antifasciste.info prétend que le site a été piraté et le contenu modifié (défacé) par les Anonymous. Début Janvier 2012, plusieurs sites appartenant à la mouvance d’extrême droite ont été piratés. Une accusation étonnante au vue de l’éthique, certes fluctuante, du groupe éthéré et décentralisé que constituent les Anonymous. Un label sans monopole #OpBlitzkrieg Illustration CC par Loguy pour Owni.