Planning-green-paper. Hackney planning row exposes faultlines in orthodox Jewish area. Hackney resident Isaac Liebowitz, who says local people need larger houses to accommodate their families.
A democratic design for the future of Britain's communities. Preserving the greenbelt will be part of planning policy.
Photograph: David Levene for the Guardian Good planning helps build places that people are proud to call home, protects natural beauty and gives communities a voice. England needs a system that is fair, transparent and timely. At the moment, we don't have one. After years of central prescription – with some 3,250 pages of guidance issued in the five years to 2010 alone – the system has become painfully bureaucratic. Simon Jenkins, on these pages, questioned the economic case for reform. But the system is not only inefficient, it is undemocratic. L’invention de l’autopromotion à Strasbourg. Dossier : Effervescences de l’habitat alternatif Dans la nébuleuse des projets d’habitat alternatif qui émergent dans les années 2000, les initiatives strasbourgeoises se distinguent à plusieurs titres.
Alors que les termes désignant ces projets se multiplient, c’est à Strasbourg que celui d’autopromotion s’est imposé, en référence aux Baugruppen allemands. C’est aussi là qu’est sortie de terre en 2010 une des premières réalisations concrètes de cette nouvelle vague participative : l’immeuble Éco-Logis a fait l’objet à ce titre d’une forte médiatisation. Enfin, l’autopromotion bénéficie depuis 2009 d’une politique de réservation de terrains par la ville de Strasbourg, qui favorise ces réalisations et participe à en normaliser le processus.
La recherche menée sur ce terrain fertile nous a permis de saisir comment y a émergé un milieu composite promouvant un habitat « durable », écologique et participatif [1]. L’autopromotion, de Fribourg à Strasbourg ? L’immeuble Éco-Logis, un emblème. Accompagner les projets d’habitat alternatif. Hervé Saillet © Bertrand Huet Dossier : Effervescences de l’habitat alternatif On observe depuis quelques années la valorisation d’un échelon d’intervention peu présent dans la production traditionnelle de la ville : une place plus grande donnée à la médiation, à la fonction d’intermédiaire entre, d’un côté, les habitants et les usagers de la ville, et de l’autre, les prescripteurs et producteurs plus directs de la ville.
Les projets d’habitat alternatif florissant aujourd’hui constituent l’un des domaines de la construction où se développent largement ces nouvelles professionnalités. Urbaniste et architecte de formation, Hervé Saillet a fait de la posture de facilitateur le cœur de ses activités professionnelles. Expérimenter avec les habitants : vers une conception collective et progressive des espaces publics. Dossier : Espaces publics urbains et concertation Crise économique, crise sociale, crise de la démocratie, crise énergétique, crise de l’éducation, crise du logement...
Nous sommes aujourd’hui dans une situation de crise généralisée, globale. Si le retour de la gauche au pouvoir sur l’ensemble du territoire peut être porteur d’un changement, il n’en reste pas moins qu’une refonte structurelle de notre système politique s’impose. Changer la manière de penser et de concevoir notre environnement et notre cadre de vie est une première réponse pour que nos quartiers et nos villes retrouvent les conditions d’émergence d’une société plus juste et plus égalitaire.
Peut-être un peu rêveurs mais bien ancrés dans le réel, le Collectif Etc tente d’inventer les outils pour redonner aux citoyens un rôle moteur dans la vie collective. La démocratie participative en butte à la grande échelle. Quartier Fátima, Cordoue ©H.
Nez Dossier : Espaces publics urbains et concertation Si l’urbanisme est le principal thème mis en débat dans les dispositifs participatifs qui se multiplient depuis une quinzaine d’années en Europe (Bacqué et al. 2006 ; Sintomer, Herzberg et Röcke 2008), il y est rarement question des grandes transformations urbaines. Participatory democracy in France: subsumed by local politics. Participatory democracy has in recent years become a standard part of local public action. Local councillors consider it is essential to involve citizens in decisions regularly – and not just at election time – and to make this involvement known.
The continual decrease in turnout rates in France, which weakens the legitimacy of elected officials, has further reinforced the pervasiveness of the “participatory fever” that has taken hold of all local tiers of government (municipal, departmental and regional). While the legal requirements incumbent upon councillors to encourage the participation of their constituents are minimal, there has nonetheless been a veritable proliferation of measures of various sorts that have accumulated, often without any real coherence, at multiple territorial levels. La réforme du gouvernement local à Londres : association ou abandon des citoyens. La coalition conservateurs/centre (Conservative/Lib-Dem) au pouvoir au Royaume-Uni depuis 2010 a mis en place une réforme du gouvernement local : le Localism Act.
Promulguée en novembre 2011, la loi propose d’introduire d’avantage de « localism » dans la gestion des services municipaux [1]. Le localism, dans le discours politique britannique, désigne une idéologie politique qui encourage les habitants à participer à l’élaboration et à la mise en œuvre des politiques locales [2] et promeut une gestion des services collectifs à l’échelle du quartier. Le discours conservateur associe le localism au concept de Big Society, qui désigne les institutions non-étatiques composant la société civile et inclut les acteurs du secteur privé. Dans le contexte actuel de réduction drastique des dépenses publiques, il incombe à la Big Society de se substituer en partie à l’État pour assurer la fourniture des services publics [3].
Une participation citoyenne partielle et contrainte Bibliographie. Will local-government reform in London involve or abandon its citizens? The Localism Act in London: institutionalising urban divisions. “Good fences make good neighbours,” goes an English proverb.
Introduced by the coalition government in December 2010, and having completed its third reading on 31 October 2011, the Localism Act received royal assent on 15 November 2011, opening the way to a profound shift in local policy for England and Wales.