Master 2 professionnel - Journalisme Culturel. Admission 25 places Admissibilité : Epreuve écrite (durée : 2 heures) consistant en 2 exercices : exercice rédactionnel (coefficient 4) et questionnaire sur la culture (coefficient 1).
A l'issue de l'épreuve écrite, le jury établit la liste des candidat.e.s autorisé.e.s à prendre part à l'épreuve orale d'admission. Admission : Epreuve orale (durée : 20 minutes) : pour les candidat.e.s déclaré.e.s admissibles à la suite de l’épreuve écrite, l’épreuve d’admission consiste en un entretien visant à évaluer la cohérence et l’adéquation du projet du/de la candidat.e. A l'issue de l'épreuve orale, le jury établit la liste définitive des admis.e.s sur la base de l’évaluation de l’épreuve orale.
Le jury établit, dans le même ordre, une liste complémentaire afin de pourvoir des désistements intervenus en liste principale. Toute absence à l'une des épreuves écrite ou orale est éliminatoire. - Début de candidature : mercredi 26 avril 2017 - Proclamation des résultats : mercredi 12 juillet 2017 Inscription. La diversité culturelle, nouvelle frontière de la mondialisation ? Comme nous le montre l'exemple de la Chine, qui a opté pour une traduction en anglais, et en anglais seulement, des calicots ayant trait aux Jeux olympiques, se battre pour obtenir l'enseignement d'une deuxième langue obligatoire au lycée (peu importe laquelle) en addition à l'anglais, est une lutte politique de premier ordre.
Lors du sommet sino-africain de novembre 2006, on avait alors à l'inverse vu Pékin se couvrir de traductions françaises, la Chine recevant de nombreux dirigeants francophones. Ces deux exemples précis montrent que la Francophonie doit continuer et renforcer la bataille pour les langues, parmi lesquelles la bataille pour le français. Ce chantier de la Francophonie est fortement lié à celui des investissements culturels et de la connaissance. En effet la bataille pour la diversité culturelle va rapidement évoluer vers le domaine de l'industrie culturelle et de la connaissance. On rêve, on pense, on crée dans une langue, qui n'est pas seulement parlée. Service d'Authentification de l'Université Paris 8.
Service d'Authentification de l'Université Paris 8. Cadres du Témoignage historique et médiatique, Frontières disciplinaires. 1 Une première version de ce texte a été présentée au 23e Congrès mondial AIECS/IAMCR/AIERI, « Commun (...) 1C’est un lieu commun de constater que le témoignage est omniprésent dans l’univers médiatique ou dans l’espace public, sans que ses enjeux soient clairement identifiés en termes sociaux et politiques (François, Neveu, 1999), quand bien même dispose-t-on du beau travail sociologique de Renaud Dulong (1998) sur les « conditions sociales de l’attestation personnelle », qui définit – sous une forme ramassée – le témoignage oculaire comme « un récit autobiographiquement certifié d’un événement passé, que ce récit soit effectué dans des circonstances informelles ou formelles » (ibid. : 43), sans que, pour autant, la dimension médiatique soit abordée frontalement, alors qu’elle assure une forte visibilité dans l’espace public1.
Ceci explique peut-être un accueil assez faible dans le champ des études en communication. Cadrage de la temporalité mémorielle et sociétale Cadrage herméneutique. Service d'Authentification de l'Université Paris 8. Service d'Authentification de l'Université Paris 8. Service d'Authentification de l'Université Paris 8. “Identités” dominantes et dominées :L’État d’Arizona contre les études ethniques. 1 « Arizona, in the classroom », éditorial du New York Times, 16 janvier 2011. 1En mai 2010 la gouverneure de l’État d’Arizona Mme Jan Brewer a converti en loi, par sa signature, un projet (dit « HB 2281 »), porté par quelques personnalités très motivées de la droite républicaine locale, qui visait la suppression du programme d’Études mexicaines-américaines enseigné dans certains lycées de la ville de Tucson, deuxième ville de l’État (environ 520 000 habitants).
Les autorités scolaires locales sont menacées d’une perte significative de fonds publics s’ils ne suppriment pas le programme. Un groupe d’enseignants a alors porté plainte mais le conseil élu local qui veille aux affaires scolaires (School Board) n’a pas suivi la démarche, ce qui augmente les chances d’une suppression durable1. 2La loi ne venait pas de nulle part. 4De quoi cette affaire est-elle le symptôme ? 2 Observation faite également par Éric Fassin et par bien d’autres. 6 Voir le site web de l’organisation :